Sauf indications contraires, tous les montants sont en dollars canadiens et se fondent sur les états financiers consolidés intermédiaires résumés (non audités) de la Banque pour le trimestre clos le 31 juillet 2017 et sur les notes connexes préparés selon les Normes internationales d'information financière (IFRS). La version complète du rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2017, y compris les états financiers intermédiaires (non audités) pour la période close le 31 juillet 2017, est disponible sur le site de SEDAR, au www.sedar.com, et sur la section EDGAR du site de la SEC, au www.sec.gov. De plus, le rapport d'informations financières supplémentaires ainsi que le rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2017 sont disponibles à la page Relations avec les investisseurs au www.banquescotia.com. |
Faits saillants du troisième trimestre (contre ceux de T3 2016) |
Faits saillants des neufs premiers mois (contre ceux des neufs premiers mois de 2016) |
||
• |
Bénéfice net de 2 103 millions de dollars, contre 1 959 millions de dollars |
• |
Bénéfice net de 6 173 millions de dollars, contre 5 357 millions de dollars |
• |
Bénéfice dilué par action de 1,66 $, contre 1,54 $ |
• |
Bénéfice dilué par action de 4,85 $, contre 4,20 $ |
• |
RCP de 14,8 %, comparable à celui de l'exercice précédent |
• |
RCP de 14,7 %, contre 13,6 % |
• |
Augmentation de 0,03 $ du dividende trimestriel par action ordinaire qui est porté à 0,79 $ |
||
Faits saillants des neufs premiers mois (contre ceux des neufs premiers mois de 2016, ajustés au titre de la charge de restructuration du deuxième trimestre de 20161) |
|||
• |
Bénéfice net de 6 173 millions de dollars, contre 5 635 millions de dollars |
||
• |
Bénéfice dilué par action de 4,85 $, contre 4,43 $ |
||
• |
RCP de 14,7 %, contre 14,3 % |
TORONTO, le 29 août 2017 /CNW/ - La Banque Scotia a annoncé un bénéfice net de 2 103 millions de dollars pour son troisième trimestre, comparativement à 1 959 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,66 $, comparativement à 1,54 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le rendement des capitaux propres s'est élevé à 14,8 %, ce qui est comparable à celui de la période correspondante de l'exercice précédent. La Banque a annoncé une bonification de 0,03 $ de son dividende trimestriel, qui est passé à 0,79 $.
« La Banque a généré d'excellents résultats trimestriels, les activités du Réseau canadien et des Opérations internationales liées aux services bancaires aux particuliers et aux entreprises ayant affiché une croissance à deux chiffres », a déclaré Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia. « Grâce à la robuste lancée de notre bénéfice, nous avons bonifié notre dividende trimestriel de 0,03 $ par action ordinaire, ce qui représente une augmentation de 7 % par rapport à l'exercice précédent. En outre, nous continuons de déployer des efforts soutenus afin de prendre le virage numérique et d'améliorer l'expérience client.
« Le Réseau canadien a connu un excellent trimestre, comme en témoigne le bénéfice de plus de 1 milliard de dollars traduisant la croissance des prêts et des dépôts, l'élargissement de la marge et la productivité accrue. Nos investissements dans les services bancaires numériques, y compris dans Tangerine, nous aideront à approfondir nos relations avec les clients.
« Le bénéfice des Opérations internationales a été supérieur à 600 millions de dollars. La solide lancée de ce secteur d'activité découle de la robuste croissance des prêts et des dépôts, du levier d'exploitation positif et de l'amélioration de la qualité du crédit.
« Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque est demeuré solide à 11,3 %. Notre situation de trésorerie nous permet de croître, d'investir dans nos activités et d'offrir des remboursements de capital à nos actionnaires.
« Nous sommes ravis de nos résultats. Conjuguée aux niveaux élevés de fonds propres, la robuste performance de nos activités sous-jacentes permettra à la Banque de poursuivre ses investissements stratégiques, d'améliorer l'expérience client et d'offrir des résultats durables à nos actionnaires. »
1 Se reporter à la section « Mesures non conformes aux PCGR ». |
Résultats financiers
Les résultats du troisième trimestre de 2017 sont les suivants :
Pour les trimestres clos les |
Pour les périodes de neuf mois closes les |
||||||||||
31 juillet |
30 avril |
31 juillet |
31 juillet |
31 juillet |
|||||||
(non audité)(en millions de dollars) |
2017 |
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
||||||
Revenus d'intérêts nets |
3 833 |
$ |
3 728 |
$ |
3 602 |
$ |
11 204 |
$ |
10 639 |
$ |
|
Revenus autres que d'intérêts |
3 061 |
2 853 |
3 038 |
9 139 |
8 960 |
||||||
Total des revenus |
6 894 |
6 581 |
6 640 |
20 343 |
19 599 |
||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
573 |
587 |
571 |
1 713 |
1 862 |
||||||
Charges autres que d'intérêts |
3 672 |
3 601 |
3 505 |
10 962 |
10 890 |
||||||
Charge d'impôt sur le résultat |
546 |
332 |
605 |
1 495 |
1 490 |
||||||
Bénéfice net |
2 103 |
$ |
2 061 |
$ |
1 959 |
$ |
6 173 |
$ |
5 357 |
$ |
|
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales |
58 |
64 |
62 |
183 |
179 |
||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
2 045 |
1 997 |
1 897 |
5 990 |
5 178 |
||||||
Actionnaires privilégiés |
29 |
32 |
37 |
100 |
99 |
||||||
Actionnaires ordinaires |
2 016 |
$ |
1 965 |
$ |
1 860 |
$ |
5 890 |
$ |
5 079 |
$ |
|
Bénéfice par action ordinaire (en dollars) |
|||||||||||
De base |
1,68 |
$ |
1,63 |
$ |
1,55 |
$ |
4,89 |
$ |
4,22 |
$ |
|
Dilué |
1,66 |
$ |
1,62 |
$ |
1,54 |
$ |
4,85 |
$ |
4,20 |
$ |
Mesures non conformes aux PCGR
Pour évaluer sa performance, la Banque a recours à diverses mesures financières. Certaines d'entre elles ne sont pas calculées selon les principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »), lesquels sont fondés sur les Normes internationales d'information financière (les « IFRS »), ni définies par les PCGR. Ces mesures n'ont aucune signification normalisée qui assurerait qu'elles sont cohérentes et comparables à celles du même nom ou à des mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La Banque est d'avis que certaines mesures non conformes aux PCGR sont utiles pour évaluer la performance sous-jacente des activités lecteur de mieux comprendre comment la direction évalue la performance. Ces mesures non conformes aux PCGR sont utilisées dans le présent communiqué de presse et elles sont définies dans notre Rapport aux actionnaires pour le troisième trimestre de 2017.
Ajustements au titre de la charge de restructuration du deuxième trimestre de 2016 :
Le tableau suivant illustre l'incidence de la charge de restructuration de 378 millions de dollars avant impôt (278 millions de dollars après impôt1)) engagée au cours du deuxième trimestre de 2016.
Pour la période de neuf mois close le 31 juillet 2016 |
||||||||
Montant |
Charge de |
Montant |
||||||
Bénéfice net (en millions de dollars) |
5 357 |
$ |
278 |
$ |
5 635 |
$ |
||
Bénéfice dilué par action |
4,20 |
$ |
0,23 |
$ |
4,43 |
$ |
||
Rendement des capitaux propres |
13,6 |
% |
0,7 |
% |
14,3 |
% |
||
Ratio de productivité |
55,6 |
% |
(2,0) |
% |
53,6 |
% |
||
1) Montant calculé selon les taux d'impôt prévus par la loi des divers territoires. |
Données par secteurs d'exploitation
Réseau canadien
Comparativement à la même période de l'exercice précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 1 045 millions de dollars, en hausse de 115 millions de dollars ou de 12 %, dont une tranche de 4 % découle des profits plus élevés sur la vente de biens immobiliers. De plus, la forte croissance des prêts et l'élargissement de la marge ont été contrebalancés en partie par l'augmentation des charges autres que d'intérêts et de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 74 millions de dollars ou de 8 %, en raison surtout de la hausse des revenus d'intérêts nets puisque le trimestre comptait plus de jours, de l'élargissement de la marge et d'une solide croissance des actifs. La diminution de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a également contribué à la progression du bénéfice net d'un trimestre à l'autre. Ces hausses ont été atténuées par une baisse des profits sur la vente de biens immobiliers et une augmentation des charges autres que d'intérêts.
Pour les neufs premiers mois de l'exercice, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est élevé à 2 997 millions de dollars, ce qui représente une amélioration de 215 millions de dollars, ou de 8 %. Après ajustement pour exclure un profit sur la sortie d'une entreprise de crédit-bail non essentielle (le « profit sur la sortie ») au cours de l'exercice précédent, le bénéfice net s'est accru de 315 millions de dollars ou de 12 %, dont une tranche de 5 % découle de la hausse des profits sur la vente de biens immobiliers. En outre, l'excellente croissance des prêts et des dépôts a été atténuée par une hausse des charges autres que d'intérêts et de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.
Opérations internationales
Comparativement à la même période de l'exercice précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 614 millions de dollars, soit une hausse de 87 millions de dollars ou de 16 %. Cette hausse reflète la bonne croissance des prêts et des dépôts, de même que l'apport accru des participations dans des sociétés associées, les avantages découlant des mesures de réduction des coûts et l'incidence favorable de la conversion des devises. Ces facteurs ont été atténués par la hausse de l'impôt sur le résultat.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres, établi auparavant à 595 millions de dollars, a progressé de 3 %. La progression traduit l'apport accru des participations dans des sociétés associées, jumelé à la réduction de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et de l'impôt sur le résultat, facteurs qui ont été contrebalancés en partie par la hausse des charges autres que d'intérêts.
Pour les neufs premiers mois de l'exercice, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a atteint 1 785 millions de dollars, soit une croissance de 17 % par rapport à 1 532 millions de dollars. Cette hausse traduit l'augmentation des revenus d'intérêts nets et des frais, du fait de la forte progression des prêts, et les avantages découlant des mesures de réduction des coûts. Ces facteurs ont été annulés en partie par une hausse de l'impôt sur le résultat et par l'incidence défavorable de la conversion des devises.
Services bancaires et marchés mondiaux
Comparativement à la même période de l'exercice précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 441 millions de dollars, en hausse de 20 millions de dollars ou de 5 %, en raison essentiellement de l'apport accru des activités liées aux titres de capitaux propres et des activités de prêts au Canada, aux États-Unis et en Europe. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par la diminution des résultats des titres à revenu fixe, des activités de prêts en Asie et des services bancaires d'investissement, de même que par l'augmentation des frais liés à la réglementation.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 76 millions de dollars ou de 15 %. Ce recul traduit la diminution de l'apport des activités liées aux titres de capitaux propres et aux marchandises et des activités de prêts en Asie, de même que l'augmentation des frais liés à la réglementation.
Pour les neufs premiers mois de l'exercice, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 1 427 millions de dollars, en hausse de 317 millions de dollars ou de 29 %, en raison essentiellement d'une augmentation de l'apport des activités liées aux titres de capitaux propres et aux titres à revenu fixe ainsi que des activités de prêts au Canada, aux États-Unis et en Europe. Ces facteurs ont été atténués par la baisse de l'apport des activités de prêts en Asie et des services bancaires d'investissement, de même que par l'augmentation des frais liés à la réglementation.
Autre
Comparativement à la même période de l'exercice précédent, la perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 55 millions de dollars, contre un bénéfice net de 19 millions de dollars. La diminution des profits nets sur les titres de placement a été atténuée par une baisse des charges autres que d'intérêts. La réduction des revenus autres que d'intérêts et la hausse des économies d'impôt sur le résultat traduisent en partie l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours du trimestre à l'étude.
Par rapport au trimestre précédent, la perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 55 millions de dollars, contre 86 millions de dollars. L'incidence favorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) et la baisse des charges autres que d'intérêts ont été atténuées par le recul de l'apport des activités de gestion de l'actif et du passif et par la diminution des profits nets sur les titres de placement. L'augmentation des revenus autres que d'intérêts et la réduction des économies d'impôt sur le résultat traduisent essentiellement l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours du trimestre à l'étude.
Pour les neufs premiers mois de l'exercice, la perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 219 millions de dollars, contre 246 millions de dollars au cours de l'exercice précédent, ou un bénéfice net de 32 millions de dollars après ajustement pour exclure la charge de restructuration de 278 millions de dollars (378 millions de dollars avant impôt). La diminution des profits nets sur les titres de placement, la diminution des profits sur la vente de biens immobiliers, la hausse des charges autres que d'intérêts et l'incidence défavorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) ont été contrebalancées en partie par la croissance des comptes de correction de valeur collectifs sur les prêts productifs au cours de l'exercice précédent. La diminution des revenus autres que d'intérêts et la hausse des économies d'impôt sur le résultat découlent en partie de l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours de l'exercice à l'étude.
Risque de crédit
Comparativement à la même période de l'exercice précédent, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 573 millions de dollars, en hausse de 2 millions de dollars. L'augmentation des dotations au titre des prêts aux particuliers a été en grande partie annulée par la baisse des dotations au titre des prêts autres qu'aux particuliers dans l'ensemble des secteurs d'activité. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est amélioré pour s'établir à 45 points de base, en baisse de deux points de base.
Par rapport au trimestre précédent, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a reculé de 14 millions de dollars ou de 2 %. La baisse des dotations des Opérations internationales et du Réseau canadien a été annulée en partie par la hausse des dotations des Services bancaires et marchés mondiaux, essentiellement au titre d'un seul compte. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est amélioré pour s'établir à 45 points de base, en baisse de quatre points de base.
Pour les neufs premiers mois de l'exercice, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 1 713 millions de dollars, soit une diminution de 149 millions de dollars ou de 8 % qui s'explique en grande partie par la baisse des dotations au titre des prêts aux entreprises du secteur de l'énergie et par l'incidence de l'accroissement de 50 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif à l'égard des prêts productifs à l'exercice précédent. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est amélioré pour s'établir à 46 points de base, en baisse de six points de base.
Ratios de fonds propres
Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque s'est encore une fois établi à 11,3 % pour le trimestre, la forte autogénération de capital ayant été neutralisée par la croissance des actifs pondérés en fonction des risques, compte non tenu de l'incidence de la conversion des devises. En outre, le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres de la Banque ont légèrement augmenté pour atteindre 12,6 % et 14,8 %, respectivement.
Au 31 juillet 2017, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1, le ratio de T1, le ratio total des fonds propres et le ratio de levier aux termes des dispositions d'adoption tout compris de Bâle III dépassaient amplement les exigences minimales.
Énoncés prospectifs
Nos communications publiques comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à toute autre communication. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol - perspectives », à la rubrique « Perspectives » se rapportant à la performance financière du groupe et à la rubrique « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation, ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États- Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « estimer », « projeter », « pourrait augmenter » et « pourrait fluctuer » et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait ».
De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté et dont l'incidence peut être difficile à prévoir. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des cours du change; les liquidités et le financement; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; les changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales et lignes directrices relatives au capital au titre des risques et aux nouvelles directives de présentation de l'information et directives réglementaires en matière de liquidité, ou les interprétations qui en sont faites; les modifications apportées aux notes de crédit de la Banque, le risque d'exploitation (y compris les technologies) et le risque lié aux infrastructures; le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des conventions et des méthodes comptables utilisées par la Banque telles qu'elles sont décrites dans les états financiers annuels de la Banque (se reporter à la rubrique « Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptable » figurant dans le rapport annuel 2016 de la Banque), et compte tenu des ajouts figurant dans le présent document; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude perpétrée par des tiers en interne ou à l'extérieur de la Banque, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le risque accru de cybercriminalité, y compris le vol d'actifs, l'accès non autorisé à de l'information confidentielle ou des perturbations des activités; le regroupement du secteur des services financiers au Canada et dans le monde; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et réglementaires; les catastrophes naturelles, y compris, sans toutefois s'y limiter, les tremblements de terre et les ouragans et les perturbations des infrastructures publiques, notamment les réseaux de transports, de communications, d'électricité et d'eau; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les activités terroristes et les guerres; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationale; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion des risques » figurant dans le du rapport annuel 2016 de la Banque.
Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol - perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans le présent document, ainsi qu'aux rubriques « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation. Les rubriques « Perspectives » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. La liste des facteurs énoncés ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risques et autres facteurs potentiels pouvant avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document sont présentés dans le but d'aider les porteurs de titres de la Banque et les analystes financiers à comprendre la situation financière et les résultats d'exploitation de la Banque aux dates indiquées et pour les périodes closes à ces dates ainsi que les objectifs de performance financière, la vision et les cibles stratégiques de la Banque, et ils peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Sauf si la loi l'exige, la Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom.
Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.
Information à l'intention des actionnaires
Régime de dividendes et d'achat d'actions
Le régime de réinvestissement de dividendes et d'achat d'actions de la Banque Scotia permet aux actionnaires ordinaires et privilégiés d'acquérir d'autres actions ordinaires en réinvestissant leurs dividendes en trésorerie sans avoir à acquitter de frais de courtage ou d'administration.
Les actionnaires admissibles ont également la possibilité d'affecter, au cours de chaque exercice, une somme ne dépassant pas 20 000 $ à l'achat d'actions ordinaires supplémentaires de la Banque. Tous les frais liés à la gestion du régime sont à la charge de la Banque.
Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le régime, il suffit de communiquer avec l'Agent des transferts.
Site Web
Pour obtenir des renseignements concernant la Banque Scotia et ses services, visitez notre site Web, au www.banquescotia.com.
Conférence téléphonique et diffusion sur le Web
La conférence téléphonique sur les résultats trimestriels aura lieu le 29 août 2017, à 8 h (heure normale de l'Est) et devrait durer environ une heure. Les parties intéressées sont invitées à accéder à la conférence directement, en mode écoute seulement, par téléphone, sans frais, en composant le 416-640-5944 ou le 1-800-274-0251 et en inscrivant le code d'accès 6751615, suivi du carré (#) (veuillez téléphoner de 5 à 15 minutes à l'avance). Une diffusion audio sur le Web avec les diaporamas afférents sera accessible par l'intermédiaire de la page Relations avec les investisseurs, au www.banquescotia.com. Une période de questions suivra la présentation des résultats par la haute direction de la Banque Scotia.
Une transmission différée par téléphone de la conférence téléphonique sera disponible du 29 août 2017 au 13 septembre 2017, en composant le 647-436-0148 ou le 1-888-203-1112 (sans frais en Amérique du Nord) et en inscrivant le code d'accès 6751615, suivi du carré (#). La diffusion audio sur le Web sera disponible sur le site Web de la Banque pendant trois mois.
Coordonnées
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SOURCE Scotiabank
Adam Borgatti, Relations avec les investisseurs, Banque Scotia, (416) 866-5042 ; Kate Simandl, Communications mondiales, Banque Scotia, (416) 866-6806
À propos de la Banque Scotia La Banque Scotia compte parmi les chefs de file du secteur bancaire au Canada et des fournisseurs de services financiers dans les Amériques. Nous sommes là pour l’avenir de tous. Nous contribuons à la réussite de nos clients, de leur famille et...
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