La Banque Scotia annonce un bénéfice net de 1,8 milliard de dollars pour son troisième trimestre et une augmentation de son dividende trimestriel English
Sauf indications contraires, tous les montants sont en dollars canadiens et se fondent sur nos états financiers consolidés intermédiaires résumés pour le trimestre clos le 31 juillet 2013 et sur les notes connexes préparés selon les Normes internationales d'information financière (IFRS). Le rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2013 et le rapport d'informations financières supplémentaires sont disponibles à la page Relations avec les investisseurs au www.banquescotia.com. Pour de plus amples renseignements sur la Banque, notamment sa notice annuelle, il y a lieu de consulter le site Web de SEDAR au www.sedar.com et la section EDGAR du site Web de la SEC au www.sec.gov. |
Résultats financiers du troisième trimestre par rapport à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent :
- Bénéfice dilué par action de 1,37 $
- Bénéfice net de 1 768 millions de dollars
- Rendement des capitaux propres de 17,0 %
- Ratio de productivité de 53,3 %
- Dividende trimestriel de 0,62 $ par action ordinaire
TORONTO, le 27 août 2013 /CNW/ - La Banque Scotia a inscrit un bénéfice net de 1 768 millions de dollars pour son troisième trimestre, contre 2 051 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent ou 1 437 millions de dollars si l'on ne tient pas compte du profit de 614 millions de dollars comptabilisé l'exercice précédent au titre de la vente de Scotia Plaza à Toronto.
Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,37 $, contre 1,69 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Les résultats du trimestre à l'étude tiennent compte d'un avantage net de 0,07 $ par action au titre d'éléments non récurrents liés aux Opérations internationales, notamment un profit sur la vente d'une filiale par une société associée. Les résultats de l'exercice précédent avaient bénéficié d'un profit après impôt de 614 millions de dollars ou de 0,53 $ par action sur la vente de Scotia Plaza à Toronto (Canada). Compte non tenu de ces deux éléments, le bénéfice dilué par action s'est accru de 12 %. Le rendement des capitaux propres a été élevé, s'établissant à 17,0 %. La Banque a annoncé un dividende de 0,62 $ par action ordinaire, ce qui représente une augmentation de 0,02 $ par action.
«Nous sommes ravis des résultats et de la croissance des revenus que nous avons enregistrés pour le trimestre, ce qui témoigne de la valeur de notre modèle d'affaires diversifié», a déclaré Rick Waugh, chef de la direction de la Banque Scotia. «Le Réseau canadien et la Gestion de patrimoine mondiale ont affiché une excellente croissance du bénéfice, alors que l'apport des Opérations internationales et des Services bancaires et marchés mondiaux a été plus modeste.
«Le Réseau canadien a dégagé un bénéfice record de 590 millions de dollars et une croissance de 11 % des revenus, grâce à l'excellent apport d'ING DIRECT. Nos activités existantes ont également affiché de bons résultats grâce à une croissance des actifs de 7 %, à une amélioration de la marge, à une dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur prêts peu élevée pour ce qui est des prêts aux entreprises et au maintien d'un contrôle rigoureux des coûts. Notre portefeuille canadien de prêts hypothécaires à l'habitation continue de livrer une bonne performance et fait l'objet d'une surveillance étroite, et tout semble indiquer que nos clients réussissent à tirer leur épingle du jeu. Notre portefeuille poursuit sa croissance, et les défaillances sont peu nombreuses.
«Avec un bénéfice net de 494 millions de dollars pour le trimestre, les Opérations internationales ont enregistré des résultats particulièrement élevés, compte tenu d'un important profit comptabilisé par notre société associée en Thaïlande. Nous continuons de bénéficier de la croissance de notre plateforme géographique diversifiée dans les marchés à forte croissance d'Amérique latine et d'Asie, comme en témoignent les fortes hausses respectives de 12 % et de 9 % des prêts aux particuliers et des prêts aux entreprises.
«Avec un bénéfice net de 327 millions de dollars, la Gestion de patrimoine mondiale a dégagé d'excellents résultats pour le troisième trimestre. Cette progression de 18 % sur douze mois reflète les forts résultats des activités de gestion de patrimoine et d'assurance. Plus particulièrement, nous avons de nouveau constaté de solides ventes et un accroissement de la part de marché pour ce qui est des activités des Fonds Scotia.
«Les Services bancaires et marchés mondiaux ont dégagé un solide bénéfice net de 386 millions de dollars pour le troisième trimestre, en légère baisse par rapport aux excellents résultats enregistrés il y a un an. Les prêts et les services bancaires d'investissement ont connu une bonne hausse par rapport à l'exercice précédent, mais celle-ci a toutefois été contrebalancée par le recul des résultats des activités liées aux marchés financiers, ce qui s'explique par la faiblesse des marchés.
«La Banque affiche encore une situation de trésorerie solide selon les normes internationales. En effet, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque, selon la méthode tout compris, s'est établi à 8,9 %. La Banque maintient toujours des niveaux de capital élevés et de forte qualité qui la placent en bonne position pour une croissance future.
«Nos solides ratios de fonds propres et nos résultats soutenables nous ont permis d'accroître notre dividende, portant ainsi la croissance du dividende annuel à plus de 9 %. Nous comptons atteindre les objectifs financiers pour 2013 que nous avons publiés au début de l'exercice, et nous sommes en bonne posture pour entreprendre 2014.»
RÉSULTATS CUMULATIFS versus par rapport aux principaux objectifs financiers et opérationnels de 2013 :
CIBLE no 1 : Afficher un rendement des capitaux propres («RCP»)1) se situant entre 15 % et 18 %. Pour les neuf premiers mois de l'exercice, la Banque Scotia a affiché un RCP de 16,6 %.
CIBLE no 2 : Générer une croissance du bénéfice dilué par action ordinaire de 5 % à 10 %2). Depuis le début de l'exercice, le bénéfice par action a enregistré une croissance de 12 %2), 3).
CIBLE no 3 : Maintenir un ratio de productivité1) inférieur à 56 %. Le ratio de la Banque Scotia a été de 53,4 % pour les neuf premiers mois de l'exercice.
CIBLE no 4 : Maintenir de solides ratios de fonds propres. Les ratios de fonds propres de la Banque Scotia demeurent solides selon les normes canadiennes et internationales.
1) | Le détail des mesures non conformes aux PCGR est présenté plus loin. |
2) | Exclut les profits immobiliers de 708 millions de dollars ou de 0,61 $ par action inscrits en 2012, dont une tranche de 614 millions de dollars ou de 0,53 $ par action était liée au troisième trimestre et la tranche restante, au premier trimestre. |
3) | Après ajustement pour exclure les éléments non récurrents liés aux Opérations internationales pour le troisième trimestre de 2013, la croissance s'est établie à 10 %. |
Faits saillants financiers
Aux dates indiquées et pour les trimestres clos à ces dates |
Pour les périodes de neuf mois closes les |
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(non audité) | 31 juillet 2013 |
30 avril 2013 |
31 juillet 2012 |
31 juillet 2013 |
31 juillet 2012 |
Résultats opérationnels (en millions de dollars) | |||||
Revenus d'intérêts nets | 2 930 | 2 784 | 2 567 | 8 485 | 7 423 |
Revenus d'intérêts nets (BMEF1)) | 2 935 | 2 787 | 2 572 | 8 497 | 7 436 |
Revenus autres que d'intérêts | 2 593 | 2 438 | 2 945 | 7 442 | 7 414 |
Revenus autres que d'intérêts (BMEF1)) | 2 667 | 2 517 | 3 017 | 7 665 | 7 615 |
Total des revenus | 5 523 | 5 222 | 5 512 | 15 927 | 14 837 |
Total des revenus (BMEF1)) | 5 602 | 5 304 | 5 589 | 16 162 | 15 051 |
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances | 314 | 343 | 402 | 967 | 931 |
Charges opérationnelles | 2 984 | 2 841 | 2 618 | 8 638 | 7 690 |
Charge d'impôt sur le résultat | 457 | 437 | 441 | 1 328 | 1 269 |
Charge d'impôt sur le résultat (BMEF1)) | 536 | 519 | 518 | 1 563 | 1 483 |
Bénéfice net | 1 768 | 1 601 | 2 051 | 4 994 | 4 947 |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 1 649 | 1 479 | 1 946 | 4 632 | 4 625 |
Performance opérationnelle | |||||
Bénéfice de base par action (en dollars) | 1,38 | 1,24 | 1,70 | 3,88 | 4,12 |
Bénéfice dilué par action (en dollars) | 1,37 | 1,23 | 1,69 | 3,85 | 4,05 |
Bénéfice dilué ajusté par action1), 2) (en dollars) | 1,39 | 1,24 | 1,70 | 3,90 | 4,09 |
Rendement des capitaux propres1) (en pourcentage) | 17,0 | 16,2 | 24,6 | 16,6 | 21,1 |
Ratio de productivité (en pourcentage) (BMEF1)) | 53,3 | 53,6 | 46,9 | 53,4 | 51,1 |
Marge sur activités bancaires principales (en pourcentage) (BMEF1)) | 2,34 | 2,31 | 2,33 | 2,31 | 2,32 |
Données tirées de l'état de la situation financière (en millions de dollars) | |||||
Trésorerie et dépôts auprès d'autres institutions financières3) | 52 157 | 55 157 | 54 083 | ||
Actifs détenus à des fins de transaction | 101 845 | 104 266 | 93 797 | ||
Prêts3) | 397 237 | 394 673 | 346 746 | ||
Total des actifs | 742 625 | 754 156 | 669 970 | ||
Dépôts3) | 505 954 | 517 896 | 461 022 | ||
Actions ordinaires | 39 117 | 38 012 | 32 414 | ||
Actions privilégiées | 4 384 | 4 384 | 4 384 | ||
Actifs sous administration1) | 360 469 | 362 622 | 315 403 | ||
Actifs sous gestion1) | 134 642 | 135 156 | 108 680 | ||
Mesures du capital4) | |||||
Ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 (en pourcentage) | 8,9 | 8,6 | s.o. | ||
Ratio de T1 (en pourcentage) | 11,0 | 10,7 | 12,6 | ||
Ratio total des fonds propres (en pourcentage) | 13,8 | 13,6 | 14,4 | ||
Ratio des capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires aux actifs pondérés en fonction du risque1) (en pourcentage) |
10,9 | 10,4 | 10,2 | ||
Ratio actifs/fonds propres | 17,1 | 17,5 | 17,2 | ||
Actifs pondérés en fonction du risque (en millions de dollars) | 282 309 | 280 747 | 252 399 | ||
Qualité du crédit | |||||
Montant net des prêts douteux (en millions de dollars)5) | 1 854 | 1 788 | 2 032 | ||
Compte de correction de valeur pour pertes sur créances (en millions de dollars) | 3 205 | 3 212 | 2 862 | ||
Montant net des prêts douteux en pourcentage des prêts et des acceptations5) | 0,45 | 0,44 | 0,56 | ||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances en pourcentage de la moyenne des prêts et des acceptations (annualisé)3) |
0,31 | 0,35 | 0,46 | 0,32 | 0,37 |
Données sur les actions ordinaires | |||||
Cours des actions (en dollars) (TSX) | |||||
Haut | 60,15 | 61,84 | 54,89 | 61,84 | 57,18 |
Bas | 55,10 | 56,33 | 50,25 | 52,30 | 47,54 |
Clôture | 58,01 | 58,09 | 52,35 | ||
Actions en circulation (en millions) | |||||
Nombre moyen - de base | 1 198 | 1 193 | 1 142 | 1 192 | 1 122 |
Nombre moyen - dilué | 1 207 | 1 213 | 1 160 | 1 207 | 1 151 |
Clôture de la période | 1 203 | 1 198 | 1 146 | ||
Dividendes par action (en dollars) | 0,60 | 0,60 | 0,55 | 1,77 | 1,62 |
Rendement de l'action6) (en pourcentage) | 4,2 | 4,1 | 4,2 | 4,1 | 4,1 |
Capitalisation boursière (en millions de dollars) (TSX) | 69 795 | 69 602 | 59 988 | ||
Valeur comptable par action ordinaire (en dollars) | 32,51 | 31,73 | 28,29 | ||
Ratio de la valeur de marché à la valeur comptable | 1,8 | 1,8 | 1,9 | ||
Ratio cours-bénéfice (quatre derniers trimestres) | 11,4 | 10,7 | 10,3 | ||
Autres données | |||||
Effectif | 83 416 | 83 894 | 81 281 | ||
Succursales et bureaux | 3 338 | 3 408 | 3 115 |
1) | Se reporter plus loin pour obtenir une analyse des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Les montants au 31 juillet 2012 ont été retraités afin de refléter la présentation adoptée pour la période écoulée. Se reporter plus loin pour obtenir une définition. |
3) | Les montants et les ratios connexes au 31 juillet 2012 ont été retraités afin de refléter la présentation adoptée pour la période écoulée en ce qui a trait aux dépôts auprès d'autres institutions financières et aux garanties en trésorerie relatives aux titres empruntés et aux transactions sur dérivés. (Il y a lieu de se reporter à la note 3 afférente aux états financiers consolidés intermédiaires résumés.) |
4) | Depuis le 1er novembre 2012, les ratios de fonds propres réglementaires sont calculés conformément aux règles de l'accord de Bâle III selon la méthode « tout compris ». Les montants au 31 juillet 2012 ont été déterminés selon les règles de l'accord de Bâle II et n'ont pas été retraitées. |
5) | Compte non tenu des prêts garantis par la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) liés à l'acquisition de R-G Premier Bank of Puerto Rico. |
6) | D'après la moyenne des cours les plus hauts et les plus bas de l'action ordinaire pour la période. |
Énoncés prospectifs
Nos communications publiques comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à toute autre communication. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs comprennent, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2012 à la rubrique «Survol - perspectives», à la rubrique «Perspectives» se rapportant à la performance financière du groupe et à la rubrique «Perspectives» de chaque secteur opérationnel, ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États- Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme «croire», «prévoir», «s'attendre à», «avoir l'intention de», «estimer», «projeter», «pourrait augmenter» et «pourrait fluctuer» et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme «devrait» et «pourrait». De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs, en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des cours du change; les liquidités; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; l'incidence des changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales; l'incidence qu'aurait tout changement des notations de crédit attribuées à la Banque; les modifications apportées aux lignes directrices relatives au capital au titre des risques, aux nouvelles directives de présentation de l'information et aux directives réglementaires en matière de liquidités, ou les interprétations qui en sont faites; le risque opérationnel et le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les modifications des conventions et des méthodes comptables dont la Banque se sert pour présenter sa situation et sa performance financières, y compris les incertitudes entourant les principales hypothèses et estimations comptables (se reporter à la rubrique «Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptable» figurant dans le rapport annuel 2012 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant dans le présent document); l'incidence de l'application de modifications comptables futures (se reporter à la rubrique «Contrôles et méthodes comptables - Prises de position futures en comptabilité» figurant dans le rapport annuel 2012 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant dans le présent document); l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude perpétrée par des tiers en interne ou à l'extérieur de la Banque, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le regroupement du secteur canadien des services financiers; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et réglementaires; les cas de force majeure comme les tremblements de terre et les ouragans; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les actes terroristes et la guerre contre le terrorisme; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationale; les perturbations des infrastructures publiques, notamment les transports, les communications, l'électricité et l'eau; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs.
Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique «Gestion des risques» figurant à la page 55 du rapport annuel 2012 de la Banque. Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncées prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2012 à la rubrique «Survol - perspectives», compte tenu des ajouts figurant dans le présent document, ainsi qu'aux rubriques «Perspectives» de chaque secteur opérationnel. Ces rubriques «Perspectives» sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. La liste des facteurs importants énoncés ci-dessus n'est pas exhaustive. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom. Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.
Principaux faits saillants commerciaux du troisième trimestre de 2013
Nos initiatives récentes
- La Banque Scotia a lancé la carte VISA Momentum Scotia pour entreprise, carte de crédit conçue exclusivement pour les propriétaires de petites entreprises, qui offre des remises en espèces pouvant atteindre 3 % sur les achats admissibles et les paiements périodiques de l'entreprise, des remises en espèces de 1 % sur tous les autres achats admissibles de l'entreprise et un délai de grâce sans intérêt d'au moins 25 jours sur les achats.
- La Banque Scotia a lancé deux nouveaux fonds, à savoir le Fonds de dividendes américains Avantage Dynamique et le Fonds d'actions à positions longues et courtes Scotia, soit la première solution de placements non traditionnels offerte par le Groupe Gestion privée Scotia.
Nous démarquer par l'excellence
- Le magazine Global Finance a accordé à la Banque Scotia le prix «Meilleure banque d'affaires/institutionnelle sur Internet» en 2013 dans 17 pays d'Amérique latine ainsi que le prix «Meilleure banque d'affaires sur Internet» en Amérique latine dans la sous-catégorie «Meilleure gestion de trésorerie en ligne». La Banque Scotia s'est également vu décerner le prix «Meilleure banque pour les services aux consommateurs par Internet» au Canada ainsi que les prix «Meilleures offres de produits de placement, de crédit et de dépôt en ligne», «Meilleure conception de site Web», «Meilleur site bancaire intégré pour les consommateurs» et «Meilleurs services bancaires mobiles» en Amérique du Nord.
- La Banque Scotia a été désignée comme la meilleure banque de commerce dans l'ensemble («Best Overall Trade Bank») en 2013 en Amérique centrale et dans les Antilles par le magazine Trade Finance pour la quatrième fois en cinq ans.
- La Banque Scotia a été nommée l'un des trois meilleurs conseillers en fusions et acquisitions dans le secteur des actifs non renouvelables en 2013 lors de la 10e remise annuelle des Power Finance Deals and Film Awards du magazine Power Finance and Risk.
- Acquise par la Banque Scotia en 2011, Banco Colpatria a été nommée parmi les 100 meilleurs employeurs de Colombie par Merco 2013.
Au service des clients
- Grâce au concours «Questions pour Arlene», cinq propriétaires de petite entreprise ont pu rencontrer Arlene Dickinson, championne des entreprises de la Banque Scotia.
- Scotia iTRADE a lancé une nouvelle application de négociation pour iPad qui fournit à ses clients un moyen pratique et efficace d'accéder à leur portefeuille Scotia iTRADE. La Banque Scotia a également lancé une application pour iPad qui offre toutes les fonctionnalités de l'application de Services bancaires mobiles de la Banque Scotia ainsi que des fonctionnalités additionnelles exclusives pour iPad.
- La Banque Scotia a agi à titre de conseiller financier auprès d'Empire Company Limited dans le cadre de son acquisition de Canada Safeway Limited pour 5,8 milliards de dollars. La Banque Scotia a accordé des facilités de crédit d'un montant total de 6,4 milliards de dollars à Empire et à sa filiale entièrement détenue Sobeys Inc. La Banque Scotia a agi à titre de responsable des registres chef de file dans le cadre du placement de reçus de souscription de 1,8 milliard de dollars d'Empire, de responsable des registres exclusif dans le cadre du placement de billets de premier rang de 1,0 milliard de dollars de Sobeys et de cochef de file dans le cadre des offres publiques de reçus de souscription et de débentures convertibles d'une valeur totale de 300 millions de dollars de Crombie REIT.
- La Banque Scotia a commencé à offrir ses services bancaires mobiles au Mexique en mai 2013, permettant à ses clients de gérer leurs comptes, d'en obtenir le solde et de visualiser l'historique de leurs opérations au moyen d'un appareil mobile (iPhonemd, Blackberry ou Androidmc). Aujourd'hui, quelque 14 000 clients au Mexique utilisent ce service.
Le point sur le programme Un avenir meilleur de la Banque Scotia
- La Banque Scotia a signé une nouvelle entente de cinq ans en vertu de laquelle elle demeurera le commanditaire exclusif du programme «Kiddy Cricket», qui permet aux jeunes antillais de renforcer leurs compétences en leur fournissant l'accès à des entraîneurs et à du matériel.
Mesures non conformes aux PCGR
Pour évaluer sa performance, la Banque a recours à diverses mesures financières. Certaines d'entre elles ne sont pas calculées selon les Normes Internationales d'information financière (les «IFRS») ni définies par celles-ci. Ces mesures n'ont aucune signification normalisée qui assurerait qu'elles sont cohérentes et comparables à celles du même nom utilisées par d'autres sociétés. Ces mesures non conformes aux PCGR sont utilisées dans le présent rapport de gestion et elles sont définies ci-après.
Actifs sous administration («ASA»)
Les ASA représentent les actifs administrés par la Banque dont les propriétaires réels sont les clients et qui ne sont donc pas comptabilisés dans l'état consolidé de la situation financière de la Banque. Les services fournis à l'égard des ASA sont de nature administrative, et comprennent les services d'administration fiduciaire, de garde, de dépôt de titres, de perception et de distribution de revenus, de règlements de négociation de titres, de production de rapports pour les clients, ainsi que d'autres services semblables.
Actifs sous gestion («ASG»)
Les ASG représentent les actifs gérés par la Banque de façon discrétionnaire à l'égard desquels la Banque touche des honoraires de gestion. Les ASG sont la propriété réelle des clients et ne sont donc pas comptabilisés dans l'état consolidé de la situation financière de la Banque. Certains ASG sont également des actifs administrés et sont donc parfois inclus dans les actifs sous administration, dans certains cas.
Bénéfice dilué ajusté par action
Le bénéfice dilué ajusté par action est calculé en ajustant le bénéfice dilué par action de manière à inclure l'amortissement après impôt hors trésorerie des immobilisations incorporelles liées aux acquisitions (exception faite des logiciels).
Capital économique et rendement du capital économique
Aux fins de l'information financière interne, la Banque répartit le capital entre ses secteurs opérationnels d'après leur profil de risque et selon une méthode qui tient compte du risque de crédit, du risque de marché, du risque opérationnel et des autres risques propres à chaque secteur. Le montant de capital lié au risque réparti est communément appelé «capital économique». La méthode de calcul du capital économique a été modifiée au cours du premier trimestre de 2013 de manière à inclure de nouveaux modèles et de nouvelles hypothèses. Ces modifications ont été appliquées de façon prospective. Le rendement du capital économique des secteurs opérationnels correspond à un ratio du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires du secteur opérationnel par rapport au capital économique attribué au secteur.
Marge sur activités bancaires principales (BMEF)
Ce ratio représente les revenus d'intérêts nets (sur une base de mise en équivalence fiscale) sur les actifs productifs moyens, exclusion faite des acceptations bancaires et du total des actifs moyens liés au groupe Marchés des capitaux mondiaux du secteur Services bancaires et marchés mondiaux, ce qui est conforme à la présentation du compte consolidé de résultat de la Banque, où les revenus d'intérêts nets tirés des activités de transaction sont inscrits dans les revenus provenant des activités de transaction, inclus dans les autres revenus opérationnels.
Levier opérationnel (BMEF)
La Banque définit le levier opérationnel comme le taux de croissance du total des revenus (sur une base de mise en équivalence fiscale) moins le taux de croissance des frais.
Ratio de productivité (BMEF)
La direction utilise le ratio de productivité comme mesure de l'efficacité de la Banque. Ce ratio représente les charges opérationnelles exprimées en pourcentage du total des revenus, (BMEF).
Rendement des capitaux propres
Le rendement des capitaux propres est une mesure de rentabilité qui présente le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires exprimé en pourcentage des capitaux propres attribuables aux actionnaires ordinaires. La Banque calcule le rendement de ses capitaux propres à l'aide des capitaux propres moyens attribuables aux actionnaires ordinaires.
Ratio des capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires aux actifs pondérés en fonction du risque
Le ratio des capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires aux actifs pondérés en fonction du risque est une mesure financière de remplacement servant à évaluer la qualité du capital. Les capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires représentent la somme du total des capitaux propres attribuables aux actionnaires ordinaires et des participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales, déduction faite du goodwill et des immobilisations incorporelles non amorties (après impôt). Les capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires sont présentés en pourcentage des actifs pondérés en fonction du risque. Au cours des exercices antérieurs, les actifs pondérés en fonction du risque correspondaient aux actifs pondérés en fonction du risque calculés selon les règles de l'accord de Bâle II ajustés au titre des immobilisations incorporelles déduites des capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires. En 2013, le ratio des capitaux propres corporels attribuables aux actionnaires ordinaires tient compte des actifs pondérés en fonction du risque calculés selon les règles de l'accord de Bâle III, ajustés de manière à inclure les montants comptabilisés à titre de déductions réglementaires selon une pondération du risque de 100 %.
Les ratios de fonds propres réglementaires, comme le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1, le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres, ont une signification normalisée définie par le Bureau du surintendant des institutions financières Canada (le «BSIF»).
Base de mise en équivalence fiscale
La Banque analyse les revenus d'intérêts nets, les autres revenus opérationnels et le total des revenus sur une base de mise en équivalence fiscale (la «BMEF»).Cette méthode consiste à majorer les revenus exonérés d'impôts gagnés sur certains titres et comptabilisés dans les revenus d'intérêts nets ou dans les autres revenus opérationnels jusqu'à un montant équivalent avant impôt. Une augmentation correspondante est inscrite à la charge d'impôt sur le résultat, ce qui signifie qu'il n'y a aucune incidence sur le bénéfice net. La direction est d'avis que cette méthode permet d'établir une comparaison uniforme des revenus d'intérêts nets et des autres revenus opérationnels découlant de sources imposables et de ceux provenant de sources non imposables et qu'elle favorise l'utilisation d'une méthode cohérente de mesure. Bien que d'autres banques utilisent également la BMEF, la méthode qu'elles utilisent pourrait ne pas être comparable à celle de la Banque. Aux fins de la présentation des informations sectorielles, les revenus et la charge d'impôt sur le résultat des secteurs sont majorés d'un montant équivalent imposable. L'élimination de la majoration au titre de la BMEF est inscrite dans le secteur Autres. Le montant de la majoration au titre de la BMEF à l'égard des revenus d'intérêts nets, des autres revenus opérationnels, du total des revenus et de la charge d'impôt sur le résultat est présenté ci-après :
Trimestres clos les | Périodes de neuf mois closes les |
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Majoration au titre de la BMEF (en millions de dollars) |
31 juillet 2013 |
30 avril 2013 |
31 juillet 2012 |
31 juillet 2013 |
31 juillet 2012 |
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Revenus d'intérêts nets | 5 | $ | 3 | $ | 5 | $ | 12 | $ | 13 | $ | ||||
Autres revenus opérationnels | 74 | 79 | 72 | 223 | 201 | |||||||||
Total des revenus et de la charge d'impôt sur le résultat | 79 | $ | 82 | $ | 77 | $ | 235 | $ | 214 | $ |
Ajustement de normalisation fiscale du revenu net découlant de participations dans des sociétés associées
En ce qui a trait à l'évaluation et à la présentation de la performance des secteurs opérationnels, le revenu net découlant de participations dans des sociétés associées, lequel est un montant après impôt, fait l'objet d'un ajustement de normalisation aux fins de l'impôt.
Cet ajustement de normalisation fiscale majore le montant du revenu net découlant des participations dans des sociétés associées et normalise le taux d'impôt effectif des secteurs afin de présenter le plus fidèlement possible l'apport des sociétés associées aux résultats sectoriels.
Résultats financiers et situation financière du Groupe
Résultats financiers
Le bénéfice net de la Banque Scotia s'est élevé à 1 768 millions de dollars pour le troisième trimestre, contre 2 051 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent et 1 601 millions de dollars pour le trimestre précédent.
Le bénéfice net du trimestre à l'étude tient compte d'un avantage net après impôt non récurrent de 90 millions de dollars lié aux Opérations internationales au titre i) du profit sur la vente de Thanachart Life Assurance Public Company Limited par Thanachart Bank, société associée en Thaïlande (150 millions de dollars après impôt), ii) de la moins-value de montants à recevoir au titre d'une acquisition à Puerto Rico (40 millions de dollars après impôt) et iii) d'une charge de restructuration liée aux activités de la Banque en Uruguay (20 millions de dollars après impôt). Au total, ces facteurs ont eu une incidence de 0,07 $ par action.
Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,37 $, comparativement à 1,69 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent et à 1,23 $ pour le trimestre précédent.
Le rendement des capitaux propres a été élevé, s'établissant à 17,0 %, contre 24,6 % pour l'exercice précédent et 16,2 % pour le trimestre précédent.
Incidence de la conversion des devises
Le tableau ci-après présente l'incidence de la conversion des devises sur les variations de certains postes clés du compte de résultat d'un exercice à l'autre, d'un trimestre à l'autre et d'une période de neuf mois à l'autre. La conversion des devises n'a pas eu d'incidence importante d'un exercice à l'autre tant pour le trimestre que pour la période de neuf mois à l'étude.
(en millions de dollars) | Pour les trimestres clos les |
Pour les périodes de neuf mois closes les |
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31 juillet 2013 c. 31 juillet 2012 |
31 juillet 2013 c. 30 avril 2013 |
31 juillet 2013 c. 31 juillet 2012 |
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Taux de change moyen des dollars américain et canadien | ||||||||
31 juillet 2013 | 0,970 | $ | 0,970 | $ | 0,986 | $ | ||
30 avril 2013 | 0,983 | $ | ||||||
31 juillet 2012 | 0,983 | $ | 0,989 | $ | ||||
Variation en % | -1,3 | % | -1,3 | % | -0,3 | % | ||
Incidence sur le résultat : | ||||||||
Revenus d'intérêts nets | 15 | $ | (9) | $ | 38 | $ | ||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 9 | - | 18 | |||||
Autres revenus opérationnels1) | 8 | (1) | 5 | |||||
Charges opérationnelles | (16) | 10 | (39) | |||||
Autres éléments (après impôt) | (7) | (3) | (3) | |||||
Bénéfice net | 9 | $ | (3) | $ | 19 | $ | ||
Incidence par secteurs d'activité : | ||||||||
Réseau canadien | 1 | $ | 1 | $ | - | $ | ||
Opérations internationales1) | 14 | 9 | 15 | |||||
Gestion de patrimoine mondiale | - | - | (1) | |||||
Services bancaires et marchés mondiaux | (1) | (4) | 2 | |||||
Autres1) | (5) | $ | (9) | $ | 13 | $ |
1) Comprend l'incidence des couvertures de devises
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
Bénéfice net
Le bénéfice net de la Banque Scotia s'est élevé à 1 768 millions de dollars au troisième trimestre, ce qui représente une baisse de 283 millions de dollars ou de 14 % par rapport à celui de 2 051 millions de dollars inscrit pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice du trimestre à l'étude tient compte de l'avantage net après impôt de 90 millions de dollars lié aux éléments non récurrents au titre des Opérations internationales dont il est fait mention plus haut, tandis que celui de l'exercice précédent comprenait un profit après impôt de 614 millions de dollars à la vente d'un actif immobilier. Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net s'est accru de 241 millions de dollars ou de 17 %, essentiellement du fait d'une forte croissance interne et de l'apport accru des acquisitions conclues récemment, lesquelles ont donné lieu à une hausse des revenus d'intérêts nets, des revenus tirés des frais et des autres revenus opérationnels.
On a également constaté une baisse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances, les résultats de l'exercice précédent ayant tenu compte d'une hausse de 100 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif au titre des prêts productifs. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par l'augmentation des charges opérationnelles et par l'incidence de la hausse du taux d'impôt effectif.
Total des revenus
Le total des revenus (sur une base de mise en équivalence fiscale) s'est établi à 5 602 millions de dollars pour le trimestre à l'étude contre 5 589 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent. Compte non tenu du profit susmentionné de 150 millions de dollars comptabilisé pour le trimestre à l'étude au titre d'une société associée et du profit immobilier de 727 millions de dollars comptabilisé à l'exercice précédent, le total des revenus a progressé de 590 millions de dollars ou de 12 %. Les acquisitions conclues récemment ont contribué 201 millions de dollars ou 4 % à la croissance d'un exercice à l'autre. Les honoraires de gestion de patrimoine ont affiché une forte hausse découlant des honoraires liés aux fonds communs de placement et des commissions de courtage. On a également constaté une hausse des revenus d'intérêts nets du fait de la croissance des actifs, une augmentation des revenus tirés des services bancaires et des commissions de placement ainsi qu'une hausse des profits nets sur les titres de placement. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par la baisse des revenus provenant des activités de transaction.
Revenus d'intérêts nets
Les revenus d'intérêts nets (sur une base de mise en équivalence fiscale) se sont établis à 2 935 millions de dollars, en hausse de 363 millions de dollars ou de 14 % par rapport à ceux du trimestre correspondant de l'exercice précédent, dont une tranche de 161 millions de dollars ou de 6 % a découlé des acquisitions. L'augmentation sous-jacente a découlé en grande partie de la croissance des actifs dans le secteur des prêts hypothécaires à l'habitation du Réseau canadien et de la croissance diversifiée des prêts des Opérations internationales, la marge étant demeurée relativement stable.
La marge sur activités bancaires principales de la Banque s'est établie à 2,34 %, par rapport à 2,33 % pour l'exercice précédent. La légère hausse de la marge traduit essentiellement la baisse du volume de dépôts à rendement peu élevé auprès d'autres banques, le recul de la charge liée aux débentures subordonnées et l'amélioration de la marge du Réseau canadien, ces facteurs ayant été contrebalancés en partie par l'acquisition d'ING DIRECT et le rétrécissement de la marge d'intérêts au sein des Opérations internationales.
Revenus nets tirés des frais et des commissions
Les revenus nets tirés des frais et des commissions se sont établis à 1 754 millions de dollars, ce qui représente une progression de 191 millions de dollars ou de 12 % par rapport à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui découle en grande partie des acquisitions conclues récemment et de la hausse des revenus de gestion de patrimoine. Ce dernier facteur traduit l'augmentation des commissions de courtage et des honoraires liés aux fonds communs de placement, laquelle s'explique par la croissance des actifs sous gestion et des actifs sous administration du fait de l'amélioration des marchés et des nouvelles ventes nettes. On a également constaté une progression des frais de crédit, des frais de services bancaires aux entreprises et des commissions de placement.
Autres revenus opérationnels
Les autres revenus opérationnels (sur une base de mise en équivalence fiscale) se sont établis à 913 millions de dollars, en baisse de 541 millions de dollars ou de 37 % comparativement à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent, en raison uniquement du profit immobilier de 727 millions de dollars enregistré l'exercice précédent. Les résultats du trimestre à l'étude tiennent compte du profit de 150 millions de dollars susmentionné au titre d'une société associée. Compte non tenu de ces profits, les autres revenus opérationnels se sont accrus de 36 millions de dollars ou de 5 %, ce qui s'explique en grande partie par la progression des profits nets sur les titres de placement, laquelle a été contrebalancée en grande partie par la baisse des revenus provenant des activités de transaction et des autres revenus.
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 314 millions de dollars pour le trimestre à l'étude, en baisse de 88 millions de dollars par rapport à celle de la période correspondante de l'exercice précédent. La diminution d'un exercice à l'autre découle en grande partie de l'augmentation de 100 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif lié aux prêts productifs comptabilisée l'exercice précédent. Cette baisse a été contrebalancée en partie par la hausse de la dotation au titre des Opérations internationales.
Charges opérationnelles et productivité
Les charges opérationnelles ont atteint 2 984 millions de dollars, en hausse de 366 millions de dollars ou de 14 % par rapport à celles de l'exercice précédent, compte tenu de la charge avant impôt non récurrente de 74 millions de dollars liée aux Opérations internationales dont il est fait mention plus haut. Compte non tenu de ces éléments, les charges opérationnelles ont augmenté de 292 millions de dollars ou de 11 %, dont une tranche de 108 millions de dollars découle des acquisitions. La hausse restante provient de la charge de rémunération, qui reflète une augmentation de l'effectif, de la rémunération au mérite et de la rémunération liée à la performance d'un exercice à l'autre. On a aussi constaté une hausse des coûts des prestations de retraite et des avantages du personnel du fait de l'incidence des taux d'intérêt, qui sont demeurés peu élevés. Ces hausses ont été largement contrebalancées par la baisse de la rémunération fondée sur des actions. Les autres catégories de charges opérationnelles ont également augmenté, en partie afin de soutenir les initiatives de croissance de la Banque.
Le ratio de productivité de la Banque s'est fixé à 53,3 % pour le trimestre à l'étude, comparativement à 46,9 % pour la période correspondante de l'exercice précédent, soit 53,9 % compte non tenu du profit immobilier enregistré l'exercice précédent.
Impôt
Le taux d'impôt effectif s'est établi à 20,6 % pour le trimestre, comparativement à 17,7 % pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le taux d'impôt de l'exercice précédent avait été moins élevé essentiellement du fait de la baisse de l'impôt au titre du profit sur la vente de l'actif immobilier et d'un recouvrement dans une filiale à l'étranger, ainsi que du recul des charges non déductibles. Le taux d'impôt effectif de la période écoulée a reculé du fait d'une hausse du revenu net provenant des sociétés associées.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
Bénéfice net
Le bénéfice net de la Banque Scotia s'est élevé à 1 768 millions de dollars, ce qui représente une hausse de 167 millions de dollars ou de 10 % par rapport à celui de 1 601 millions de dollars enregistré pour le trimestre précédent. Compte non tenu des éléments susmentionnés comptabilisés ce trimestre, le bénéfice net s'est accru de 77 millions de dollars ou de 5 % du fait de la hausse des revenus d'intérêts nets, des frais de services bancaires et des revenus de gestion de patrimoine. La baisse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a également contribué à la croissance du bénéfice net. Ces éléments ont été contrebalancés en partie par la hausse des charges opérationnelles.
Total des revenus
Le total des revenus (sur une base de mise en équivalence fiscale) s'est établi à 5 602 millions de dollars, contre 5 304 millions de dollars pour le trimestre précédent, en hausse de 298 millions de dollars ou de 6 %, soit 148 millions de dollars ou 3 % exclusion faite du profit susmentionné au titre d'une société associée. La croissance restante traduit les excellents revenus d'intérêts nets découlant du fait que le trimestre à l'étude a comporté trois jours de plus ainsi que de la croissance des actifs, des frais sur transactions bancaires, des frais de crédit et des revenus de gestion de patrimoine. Les revenus tirés des activités de transaction ont également affiché une hausse, laquelle traduit les bons résultats enregistrés dans le secteur des titres à revenu fixe. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par la baisse des commissions de placement, des revenus d'assurance et des revenus tirés des opérations de change à des fins autres que de transaction.
Revenus d'intérêts nets
Les revenus d'intérêts nets (sur une base de mise en équivalence fiscale) ont augmenté de 5 % pour atteindre 2 935 millions de dollars, comparativement à 2 787 millions de dollars pour le trimestre précédent. L'augmentation de 148 millions de dollars d'un trimestre à l'autre découle de la croissance des actifs, du fait que le trimestre à l'étude a comporté trois jours de plus et de la croissance de la marge sur activités bancaires principales, laquelle est passée de 2,31 % au trimestre précédent à 2,34 % pour le trimestre à l'étude.
La hausse de la marge sur activités bancaires principales de la Banque d'un trimestre à l'autre traduit en partie la baisse des charges liées aux débentures subordonnées et l'élargissement des écarts du Réseau canadien, ces facteurs ayant été contrebalancés en partie par le rétrécissement des écarts des Opérations internationales.
Revenus nets tirés des frais et des commissions
Les revenus nets tirés des frais et des commissions se sont établis à 1 754 millions de dollars, ce qui représente une progression de 18 millions de dollars ou de 1 % par rapport à ceux du trimestre précédent, ce qui découle de la hausse des frais sur transactions bancaires, le trimestre à l'étude ayant comporté trois jours de plus, et de l'augmentation des commissions de courtage et des honoraires liés aux fonds communs de placement. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par le fléchissement des commissions de placement et des revenus tirés des opérations de change à des fins autres que de transaction.
Autres revenus opérationnels
Les autres revenus opérationnels (sur une base de mise en équivalence fiscale) se sont établis à 913 millions de dollars, en hausse de 132 millions de dollars ou de 17 % comparativement à ceux de 781 millions de dollars comptabilisés au trimestre précédent, presque exclusivement en raison du profit susmentionné au titre d'une société associée. Compte non tenu de ce profit, les autres revenus opérationnels ont reculé du fait de la baisse du revenu provenant des sociétés associées, du profit net sur les titres de placement et des revenus d'assurance, contrebalancée en partie par la hausse des revenus provenant des activités de transaction.
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 314 millions de dollars pour le trimestre à l'étude, en baisse de 29 millions de dollars par rapport à celle du trimestre précédent. La diminution d'un trimestre à l'autre a découlé en grande partie de la baisse de la dotation au titre des prêts aux entreprises du Réseau canadien.
Charges opérationnelles et productivité
Les charges opérationnelles ont atteint 2 984 millions de dollars, en hausse de 143 millions de dollars ou de 5 % par rapport à celles du trimestre précédent. Cette hausse tient notamment compte des charges non récurrentes de 74 millions de dollars liées aux Opérations internationales dont il est fait mention plus haut. La hausse restante provient surtout de la charge de rémunération, qui reflète le fait que le trimestre à l'étude a comporté trois jours de plus de même que la hausse de la rémunération liée à la performance, parallèle à la performance des activités. Les honoraires ont également progressé par rapport à ceux du trimestre précédent en raison des initiatives commerciales. Les résultats du trimestre précédent avaient également bénéficié de recouvrements d'impôt liés aux activités au titre de l'exercice précédent. Ces augmentations ont été contrebalancées en partie par le fléchissement de la rémunération fondée sur des actions et des frais liés au marketing.
Le ratio de productivité de la Banque s'est fixé à 53,3 %, comparativement à 53,6 % pour le trimestre précédent.
Impôt
Le taux d'impôt effectif s'est établi à 20,6 % pour le trimestre à l'étude, comparativement à 21,5 % pour le trimestre précédent. Cette baisse s'explique en grande partie par la hausse du revenu net provenant des sociétés associées.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Bénéfice net
Le bénéfice net de la Banque Scotia s'est élevé à 4 994 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice, ce qui représente une hausse de 47 millions de dollars ou de 1 % par rapport à celui de la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice net de la période à l'étude tient compte de l'avantage après impôt de 90 millions de dollars lié à des éléments non récurrents des Opérations internationales dont il est fait mention plus haut, tandis que celui de l'exercice précédent comprenait des profits immobiliers de 708 millions de dollars. Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net s'est accru de 665 millions de dollars ou de 16 %, essentiellement du fait de l'apport des acquisitions et de la croissance des revenus d'intérêts nets, des revenus tirés des frais et des commissions et des autres revenus. Ces éléments ont été contrebalancés en partie par l'augmentation des charges opérationnelles. Les résultats de l'exercice précédent tenaient également compte d'une hausse de 100 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif au titre des prêts productifs.
Total des revenus
Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le total des revenus (sur une base de mise en équivalence fiscale) s'est établi à 16 162 millions de dollars, en hausse de 1 111 millions de dollars ou de 7 % par rapport à celui de la période correspondante de l'exercice précédent. Les résultats de l'exercice à l'étude tiennent compte du profit susmentionné au titre d'une société associée, tandis que ceux de l'exercice précédent comprenaient des profits immobiliers de 838 millions de dollars. Compte non tenu de ces profits, les revenus ont affiché une hausse de 1 799 millions de dollars ou de 13 %, dont une tranche de 821 millions de dollars ou de 6 % découle des acquisitions. La hausse restante traduit en grande partie les excellents revenus d'intérêts du fait de la croissance des actifs, l'augmentation des frais sur transactions bancaires et frais de crédit, la hausse des revenus de gestion de patrimoine et l'apport solide des sociétés associées. La hausse des profits nets liés aux titres de placement, la progression des revenus d'assurance et l'incidence favorable de la conversion des devises ont également contribué à l'augmentation. Ces éléments ont été contrebalancés en partie par la baisse des revenus tirés des activités de transaction.
Revenus d'intérêts nets
Les revenus d'intérêts nets depuis le début de l'exercice (sur une base de mise en équivalence fiscale) se sont établis à 8 497 millions de dollars, en hausse de 1 061 millions de dollars ou de 14 % par rapport à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent. L'augmentation découle de la croissance dans le secteur des prêts hypothécaires à l'habitation du Réseau canadien et de la croissance des prêts diversifiées des Opérations internationales, y compris l'apport des acquisitions conclues récemment.
La marge sur activités bancaires principales s'est établie à 2,31 % pour les neuf premiers mois de l'exercice, ce qui représente une baisse de un point de base par rapport à celle de la période correspondante de l'exercice précédent, surtout du fait de l'incidence des acquisitions.
Revenus nets tirés des frais et des commissions
Les revenus nets tirés des frais et des commissions se sont établis à 5 151 millions de dollars, ce qui représente une progression de 511 millions de dollars ou de 11 % par rapport à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent. Les frais de services bancaires ont bondi, ce qui traduit la progression des revenus tirés des cartes de crédit et autres frais sur transactions ainsi que la hausse des commissions de prêt au titre des activités existantes et l'apport des acquisitions. Les revenus de gestion de patrimoine sont également en hausse en raison de la forte progression des actifs sous gestion et des actifs sous administration, de l'amélioration des marchés et des acquisitions conclues récemment.
Autres revenus opérationnels
Les autres revenus opérationnels (sur une base de mise en équivalence fiscale) se sont établis à 2 514 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice, en baisse de 461 millions de dollars ou de 15 % comparativement à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent, essentiellement en raison des profits immobiliers comptabilisés l'exercice précédent, contrebalancés en partie par le profit susmentionné au titre d'une société associée comptabilisé pour l'exercice à l'étude. Compte non tenu de ces éléments, les autres revenus opérationnels se sont accrus de 227 millions de dollars ou de 11 %. On a également constaté une hausse des profits nets sur les titres de placement, un apport accru des sociétés associées et une croissance des revenus d'assurance. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par la diminution des revenus provenant des activités de transaction et par le profit comptabilisé l'exercice précédent à la cession d'une entreprise de location non stratégique.
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 967 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice, en hausse de 36 millions de dollars par rapport à celle de 931 millions de dollars comptabilisée pour la période correspondante de l'exercice précédent. Les résultats de l'exercice précédent tenaient compte d'une augmentation de 100 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif lié aux prêts productifs. On a également constaté une hausse de la dotation au titre des Opérations internationales, en partie du fait des acquisitions conclues récemment.
Charges opérationnelles et productivité
Les charges opérationnelles ont atteint 8 638 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice, en hausse de 948 millions de dollars ou de 12 % par rapport à celles de 7 690 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent, dont une tranche de 427 millions de dollars ou de 45 % a découlé des acquisitions conclues récemment. La hausse tient compte de charges non récurrentes de 74 millions de dollars liées aux Opérations internationales dont il est fait mention plus haut. La croissance restante de 447 millions de dollars ou de 6 % découle en grande partie de la hausse de la charge de rémunération, qui reflète une hausse de l'effectif, de la rémunération au mérite annuelle et de la rémunération liée à la performance. Les coûts des prestations de retraite ont également augmenté, en grande partie du fait de l'incidence des taux d'intérêt, qui sont demeurés peu élevés. Les frais liés aux locaux ont aussi augmenté, notamment en raison de la vente d'actifs immobiliers l'exercice précédent. Les autres catégories de charges ont augmenté en vue de soutenir les initiatives soutenues de croissance.
Le ratio de productivité s'est fixé à 53,4 % pour les neuf premiers mois de l'exercice, comparativement à 51,1 % pour la période correspondante de l'exercice précédent, soit à 54,1 % si l'on ne tient pas compte des profits immobiliers comptabilisés l'exercice précédent. Le levier opérationnel s'est établi à un montant négatif de 4,9 % en regard des neuf premiers mois de 2012, soit un montant positif de 1,3 % compte non tenu des profits immobiliers comptabilisés l'exercice précédent.
Impôt
Le taux d'impôt effectif s'est établi à 21,0 % pour les neuf premiers mois de l'exercice, comparativement à 20,4 % pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui traduit en grande partie la baisse de l'impôt au titre de la vente d'actifs immobiliers l'exercice précédent. Le taux d'impôt de la période à l'étude a bénéficié de l'incidence de la hausse du revenu net provenant des sociétés associées et de l'augmentation des revenus exonérés d'impôt.
Situation financière
Au 31 juillet 2013, le total des actifs de la Banque s'élevait à 743 milliards de dollars, en hausse de 75 milliards de dollars ou de 11 % par rapport à ce qu'il était au 31 octobre 2012, compte tenu d'un montant d'environ 31 milliards de dollars lié à ING DIRECT.
La trésorerie et les dépôts auprès d'autres institutions financières ont progressé de 5 milliards de dollars, essentiellement en raison de la hausse des dépôts portant intérêt auprès de banques centrales. Les métaux précieux ont reculé de 5 milliards de dollars en raison de la baisse des prix et des stocks. Les titres pris en pension et les titres empruntés ont augmenté de 14 milliards de dollars.
Les actifs détenus à des fins de transaction ont augmenté de 14 milliards de dollars par rapport à ceux au 31 octobre 2012. Les titres détenus à des fins de transaction ont progressé de 17 milliards de dollars du fait de l'accroissement des actions ordinaires et des titres d'emprunt des gouvernements canadien et américain détenus. Les prêts détenus à des fins de transaction ont reculé de 3 milliards de dollars, surtout du fait de la baisse des activités de transaction sur métaux précieux et de prêts.
Les titres de placement ont progressé de 2 milliards de dollars, essentiellement en raison de l'accroissement des titres d'emprunt de gouvernements étrangers détenus. Au 31 juillet 2013, le profit latent sur les titres disponibles à la vente, compte tenu de l'incidence des couvertures qualifiées, s'établissait à 926 millions de dollars, en hausse de 35 millions de dollars par rapport à celui au 31 octobre 2012. La variation traduit en grande partie les hausses de valeur des actions ordinaires.
Les prêts ont progressé de 45 milliards de dollars ou de 13 % depuis le 31 octobre 2012. Les prêts hypothécaires à l'habitation ont augmenté de 33 milliards de dollars, surtout en raison de l'acquisition d'ING DIRECT. Les prêts aux particuliers et sur cartes de crédit ont augmenté de 5 milliards de dollars, ce qui traduit en grande partie la croissance au Canada et au Mexique. Les prêts aux entreprises et aux administrations publiques ont augmenté de 7 milliards de dollars, principalement en raison de la croissance en Amérique latine et en Asie ainsi que de la hausse au Canada du fait surtout de l'acquisition d'ING DIRECT.
Les passifs totalisaient 697 milliards de dollars au 31 juillet 2013, en hausse de 71 milliards de dollars ou de 11 % par rapport à ceux au 31 octobre 2012, compte tenu d'un montant d'environ 36 milliards de dollars lié à ING DIRECT.
Le total des dépôts a affiché une hausse de 42 milliards de dollars. Les dépôts de particuliers ont augmenté de 32 milliards de dollars, essentiellement en raison de l'acquisition d'ING DIRECT. Les dépôts d'entreprises et d'administrations publiques ont augmenté de 12 milliards de dollars du fait de l'acquisition d'ING DIRECT et d'autres moteurs de croissance au Canada. Les dépôts d'autres institutions financières ont fléchi de 2 milliards de dollars.
Les obligations relatives aux titres mis en pension et aux titres prêtés et celles liées aux titres vendus à découvert ont affiché une hausse respective de 29 milliards de dollars et de 6 milliards de dollars. Les passifs liés aux instruments dérivés ont reculé de 5 milliards de dollars, ce qui est semblable à la baisse des actifs liés aux instruments dérivés.
Le total des capitaux propres a progressé de 3 948 millions de dollars depuis le 31 octobre 2012. Cette augmentation traduit l'autogénération de capital de 2 524 millions de dollars et l'émission d'actions ordinaires de 1 049 millions de dollars, dont un montant de 99 millions de dollars dans le cadre de l'achat de Colfondos, en Colombie, et un montant de 950 millions de dollars par l'intermédiaire du Régime de réinvestissement de dividendes et de l'exercice d'options.
Le cumul des autres éléments du résultat global a augmenté 264 millions de dollars, essentiellement en raison de l'amélioration de la réserve pour couverture de flux de trésorerie, de la hausse des profits latents sur les titres disponibles à la vente et de la baisse des pertes de change latentes sur les investissements de la Banque dans ses établissements à l'étranger.
Les participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales ont augmenté de 128 millions de dollars, surtout en raison du bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle, déduction faite des dividendes versés, comptabilisé pour le trimestre à l'étude et de l'acquisition de Colfondos. Les détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres liés aux participations ne donnant pas le contrôle ont diminué de 45 millions de dollars, surtout du fait des distributions aux porteurs de titres.
Ratios de fonds propres
Les divers montants de fonds propres réglementaires de la Banque se composaient de ce qui suit :
Aux | ||||||||
31 juillet 2013 |
30 avril 2013 |
31 octobre 2012 |
||||||
(en millions de dollars) | Bâle III Adoption tout compris |
Bâle III Adoption tout compris |
Bâle II | |||||
Actions ordinaires et assimilées de T1 | 25 188 | $ | 24 013 | $ | s.o. | $ | ||
Fonds propres de T1 | 31 041 | 29 961 | 34 436 | |||||
Total du fonds propres réglementaires | 38 948 | 38 204 | 42 193 | |||||
Total des actifs pondérés en fonction du risque | 282 309 | 280 747 | 253 309 | |||||
Ratios de fonds propres : | ||||||||
Ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 | 8,9 | % | 8,6 | % | s.o. | |||
Ratio de T1 (%) | 11,0 | % | 10,7 | % | 13,6 | % | ||
Ratio total des fonds propres (%) | 13,8 | % | 13,6 | % | 16,7 | % | ||
Ratio actifs/fonds propres | 17,1 | x | 17,5 | x | 15,0 | x |
La Banque maintient toujours une solide situation de trésorerie. Au 31 juillet 2013, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1, le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres aux termes des dispositions d'adoption tout compris de Bâle III s'établissaient respectivement à 8,9 %, à 11,0 % et à 13,8 % (8,6 %, 10,7 % et 13,6 % au 30 avril 2013), ce qui dépasse amplement les exigences minimales. Au 31 octobre 2012, le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres selon Bâle II s'établissaient respectivement à 13,6 % et à 16,7 %.
Données par secteurs opérationnels
Les résultats, les actifs moyens et les passifs moyens de la Banque Scotia, par secteurs opérationnels, sont présentés ci-après :
Pour le trimestre clos le 31 juillet 2013 | |||||||||||||||||
Base de mise en équivalence fiscale1) (en millions de dollars) | Réseau canadien |
Opérations internationales |
Gestion de patrimoine mondiale |
Services bancaires et marchés mondiaux |
Autres2) | Total | |||||||||||
Revenus d'intérêts nets | 1 423 | $ | 1 263 | $ | 121 | $ | 210 | $ | (87) | $ | 2 930 | $ | |||||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 367 | 350 | 762 | 328 | (53) | 1 754 | |||||||||||
Revenu net découlant de participations dans des sociétés associées |
2 | 300 | 59 | - | (94) | 267 | |||||||||||
Autres revenus opérationnels | 8 | 92 | 107 | 384 | (19) | 572 | |||||||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
108 | 194 | 1 | 11 | - | 314 | |||||||||||
Charges opérationnelles | 893 | 1 091 | 616 | 394 | (10) | 2 984 | |||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 209 | 180 | 95 | 130 | (157) | 457 | |||||||||||
Bénéfice net | 590 | $ | 540 | $ | 337 | $ | 387 | $ | (86) | $ | 1 768 | $ | |||||
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle |
|||||||||||||||||
Participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales |
- | 46 | 10 | 1 | - | 57 | |||||||||||
Détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres |
- | - | - | - | 8 | 8 | |||||||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
590 | $ | 494 | $ | 327 | $ | 386 | $ | (94) | $ | 1 703 | $ | |||||
Actifs moyens (en milliards de dollars) | 274 | $ | 122 | $ | 15 | $ | 259 | $ | 93 | $ | 763 | $ | |||||
Passifs moyens (en milliards de dollars) | 193 | $ | 79 | $ | 18 | $ | 197 | $ | 231 | $ | 718 | $ |
1) | Il y a lieu de se reporter plus avant pour obtenir une définition des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Comprend les résultats provenant de tous les autres secteurs opérationnels de moindre envergure ainsi que les ajustements du siège social, tels que l'élimination de la majoration des revenus exonérés d'impôt incluse dans les revenus d'intérêts nets, dans les autres revenus opérationnels et dans la charge d'impôt sur le résultat de (79 $), pour parvenir aux montants présentés dans le compte consolidé de résultat, ainsi que les écarts entre les montants réels des coûts engagés et de ceux imputés aux secteurs opérationnels. |
Pour le trimestre clos le 30 avril 2013 | ||||||||||||||||||
Base de mise en équivalence fiscale1) (en millions de dollars) | Réseau canadien |
Opérations internationales |
Gestion de patrimoine mondiale |
Services bancaires et marchés mondiaux |
Autres2) | Total | ||||||||||||
Revenus d'intérêts nets | 1 352 | $ | 1 248 | $ | 123 | $ | 212 | $ | (151) | $ | 2 784 | $ | ||||||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 369 | 342 | 738 | 337 | (50) | 1 736 | ||||||||||||
Revenu net découlant de participations dans des sociétés associées |
- | 127 | 54 | - | (45) | 136 | ||||||||||||
Autres revenus opérationnels | 25 | 131 | 99 | 352 | (41) | 566 | ||||||||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
136 | 194 | 1 | 12 | - | 343 | ||||||||||||
Charges opérationnelles | 869 | 1 029 | 591 | 396 | (44) | 2 841 | ||||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 194 | 154 | 87 | 132 | (130) | 437 | ||||||||||||
Bénéfice net | 547 | $ | 471 | $ | 335 | $ | 361 | $ | (113) | $ | 1 601 | $ | ||||||
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle |
||||||||||||||||||
Participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales |
- | 52 | 9 | - | - | 61 | ||||||||||||
Détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres |
- | - | - | - | 6 | 6 | ||||||||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
547 | $ | 419 | $ | 326 | $ | 361 | $ | (119) | $ | 1 534 | $ | ||||||
Actifs moyens (en milliards de dollars) | 273 | $ | 122 | $ | 14 | $ | 254 | $ | 92 | $ | 755 | $ | ||||||
Passifs moyens (en milliards de dollars) | 191 | $ | 79 | $ | 18 | $ | 193 | $ | 230 | $ | 711 | $ |
1) | Il y a lieu de se reporter plus avant pour obtenir une définition des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Comprend les résultats provenant de tous les autres secteurs opérationnels de moindre envergure ainsi que les ajustements du siège social, tels que l'élimination de la majoration des revenus exonérés d'impôt incluse dans les revenus d'intérêts nets, dans les autres revenus opérationnels et dans la charge d'impôt sur le résultat de (82 $), pour parvenir aux montants présentés dans le compte consolidé de résultat, ainsi que les écarts entre les montants réels des coûts engagés et de ceux imputés aux secteurs opérationnels. |
Pour le trimestre clos le 31 juillet 2012 | ||||||||||||||||||
Base de mise en équivalence fiscale1) (en millions de dollars) | Réseau canadien |
Opérations internationales |
Gestion de patrimoine mondiale |
Services bancaires et marchés mondiaux |
Autres2) | Total | ||||||||||||
Revenus d'intérêts nets | 1 197 | $ | 1 175 | $ | 128 | $ | 202 | $ | (135) | $ | 2 567 | $ | ||||||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 375 | 320 | 610 | 289 | (31) | 1 563 | ||||||||||||
Revenu net découlant de participations dans des sociétés associées |
5 | 104 | 50 | - | (48) | 111 | ||||||||||||
Autres revenus opérationnels | 43 | 93 | 98 | 419 | 618 | 1 271 | ||||||||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
118 | 168 | 1 | 15 | 100 | 402 | ||||||||||||
Charges opérationnelles | 793 | 937 | 509 | 374 | 5 | 2 618 | ||||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 188 | 145 | 92 | 123 | (107) | 441 | ||||||||||||
Bénéfice net | 521 | $ | 442 | $ | 284 | $ | 398 | $ | 406 | $ | 2 051$ | |||||||
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle |
||||||||||||||||||
Participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales | 1 | 50 | 6 | 1 | - | 58 | ||||||||||||
Détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres | - | - | - | - | (8) | (8) | ||||||||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
520 | $ | 392 | $ | 278 | $ | 397 | $ | 414 | $ | 2 001 | $ | ||||||
Actifs moyens (en milliards de dollars) | 227 | $ | 112 | $ | 14 | $ | 227 | $ | 95 | $ | 675 | $ | ||||||
Passifs moyens (en milliards de dollars) | 152 | $ | 72 | $ | 16 | $ | 172 | $ | 225 | $ | 637 | $ |
1) | Il y a lieu de se reporter plus avant pour obtenir une définition des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Comprend les résultats provenant de tous les autres secteurs opérationnels de moindre envergure ainsi que les ajustements du siège social, tels que l'élimination de la majoration des revenus exonérés d'impôt incluse dans les revenus d'intérêts nets, dans les autres revenus opérationnels et dans la charge d'impôt sur le résultat de (77 $), pour parvenir aux montants présentés dans le compte consolidé de résultat, ainsi que les écarts entre les montants réels des coûts engagés et de ceux imputés aux secteurs opérationnels. |
Pour la période de neuf mois close le 31 juillet 2013 | |||||||||||||||||
Base de mise en équivalence fiscale1) (en millions de dollars) | Réseau canadien |
Opérations internationales |
Gestion de patrimoine mondiale |
Services bancaires et marchés mondiaux |
Autres2) | Total | |||||||||||
Revenus d'intérêts nets | 4 136 | $ | 3 711 | $ | 366 | $ | 639 | $ | (367) | $ | 8 485 | $ | |||||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 1 120 | 1 026 | 2 183 | 970 | (148) | 5 151 | |||||||||||
Revenu net découlant de participations dans des sociétés associées |
11 | 559 | 169 | - | (186) | 553 | |||||||||||
Autres revenus opérationnels | 34 | 313 | 310 | 1 163 | (82) | 1 738 | |||||||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
362 | 574 | 3 | 28 | - | 967 | |||||||||||
Charges opérationnelles | 2 623 | 3 096 | 1 777 | 1 196 | (54) | 8 638 | |||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 605 | 462 | 266 | 401 | (406) | 1 328 | |||||||||||
Bénéfice net | 1 711 | $ | 1 477 | $ | 982 | $ | 1 147 | $ | (323) | $ | 4 994 | $ | |||||
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle |
|||||||||||||||||
Participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales | - | 148 | 28 | 1 | - | 177 | |||||||||||
Détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres - | - | - | - | 21 | 21 | ||||||||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
1 711 | $ | 1 329 | $ | 954 | $ | 1 146 | $ | (344) | $ | 4 796 | $ | |||||
Actifs moyens (en milliards de dollars) | 271 | $ | 120 | $ | 14 | $ | 251 | $ | 93 | $ | 749 | $ | |||||
Passifs moyens (en milliards de dollars) | 190 | $ | 78 | $ | 17 | $ | 188 | $ | 232 | $ | 705 | $ |
1) | Il y a lieu de se reporter plus avant pour obtenir une définition des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Comprend les résultats provenant de tous les autres secteurs opérationnels de moindre envergure ainsi que les ajustements du siège social, tels que l'élimination de la majoration des revenus exonérés d'impôt incluse dans les revenus d'intérêts nets, dans les autres revenus opérationnels et dans la charge d'impôt sur le résultat de (235 $), pour parvenir aux montants présentés dans le compte consolidé de résultat, ainsi que les écarts entre les montants réels des coûts engagés et de ceux imputés aux secteurs opérationnels. |
Pour la période de neuf mois close le 31 juillet 2012 | |||||||||||||||||
Base de mise en équivalence fiscale1) (en millions de dollars) | Réseau canadien |
Opérations internationales |
Gestion de patrimoine mondiale |
Services bancaires et marchés mondiaux |
Autres2) | Total | |||||||||||
Revenus d'intérêts nets | 3 527 | $ | 3 315 | $ | 377 | $ | 575 | $ | (371) | $ | 7 423 | $ | |||||
Revenus nets tirés des frais et des commissions | 1 101 | 947 | 1 823 | 908 | (139) | 4 640 | |||||||||||
Revenu net découlant de participations dans des sociétés associées |
6 | 281 | 157 | - | (120) | 324 | |||||||||||
Autres revenus opérationnels | 52 | 263 | 293 | 1 182 | 660 | 2 450 | |||||||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
374 | 437 | 1 | 19 | 100 | 931 | |||||||||||
Charges opérationnelles | 2 332 | 2 708 | 1 529 | 1 129 | (8) | 7 690 | |||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 523 | 380 | 250 | 421 | (305) | 1 269 | |||||||||||
Bénéfice net | 1 457 | $ | 1 281 | $ | 870 | $ | 1 096 | $ | 243 | $ | 4 947 | $ | |||||
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle |
|||||||||||||||||
Participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales |
2 | 117 | 19 | 1 | - | 139 | |||||||||||
Détenteurs d'instruments de fonds propres - composante capitaux propres | - | - | - | - | 18 | 18 | |||||||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
1 455 | $ | 1 164 | $ | 851 | $ | 1 095 | $ | 225 | $ | 4 790 | $ | |||||
Actifs moyens (en milliards de dollars) | 222 | $ | 108 | $ | 13 | $ | 215 | $ | 95 | $ | 653 | $ | |||||
Passifs moyens (en milliards de dollars) | 149 | $ | 69 | $ | 16 | $ | 162 | $ | 222 | $ | 618 | $ |
1) | Il y a lieu de se reporter plus avant pour obtenir une définition des mesures non conformes aux PCGR. |
2) | Comprend les résultats provenant de tous les autres secteurs opérationnels de moindre envergure ainsi que les ajustements du siège social, tels que l'élimination de la majoration des revenus exonérés d'impôt incluse dans les revenus d'intérêts nets, dans les autres revenus opérationnels et dans la charge d'impôt sur le résultat de (214 $), pour parvenir aux montants présentés dans le compte consolidé de résultat, ainsi que les écarts entre les montants réels des coûts engagés et de ceux imputés aux secteurs opérationnels. |
Réseau canadien
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
Le Réseau canadien a dégagé un bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres record de 590 millions de dollars, en hausse de 70 millions de dollars ou de 13 % par rapport à celui de la période correspondante de l'exercice précédent du fait de l'acquisition de la Banque ING du Canada («ING DIRECT»), de la forte croissance des actifs et des dépôts de même que de la hausse de la marge, ces facteurs ayant été contrebalancés en partie par le recul des autres revenus opérationnels. Le rendement du capital économique a été ramené à 36,5 %, comparativement à 41,7 % pour l'exercice précédent, ce qui reflète en grande partie la hausse du capital économique liée à ING DIRECT.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
D'un trimestre à l'autre, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 43 millions de dollars ou de 8 %, surtout du fait d'un trimestre plus long et de la baisse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances. Le rendement du capital économique a été porté à 36,5 %, comparativement à 34,6 % pour le trimestre précédent.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Le Réseau canadien a dégagé un bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 1 711 millions de dollars, en hausse de 256 millions de dollars ou de 18 % par rapport à celui de l'exercice précédent du fait de l'acquisition d'ING DIRECT et de la forte croissance des actifs et des dépôts, contrebalancées en partie par la baisse des autres revenus opérationnels. Le rendement du capital économique a été ramené à 35,8 %, comparativement à 39,6 % pour l'exercice précédent, ce qui reflète en grande partie la hausse du capital économique liée à ING DIRECT.
Opérations internationales
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
Les Opérations internationales ont dégagé un bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 494 millions de dollars, ce qui représente une hausse de 102 millions de dollars ou de 26 % par rapport à celui du trimestre correspondant de l'exercice précédent. Cette hausse tient compte d'un avantage net après impôt non récurrent de 90 millions de dollars au titre i) du profit sur la vente de Thanachart Life Assurance Public Company Ltd. par Thanachart Bank, société associée basée en Thaïlande (150 millions de dollars après impôt), ii) de la moins-value de montants à recevoir au titre d'une acquisition à Puerto Rico (40 millions de dollars après impôt) et iii) d'une charge de restructuration en Uruguay (20 millions de dollars après impôt). Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net a augmenté de 12 millions de dollars ou de 3 % du fait de la forte croissance des prêts en Amérique latine et en Asie et de la progression des frais de services bancaires, ces facteurs ayant été contrebalancés en partie par la hausse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et des charges. Le rendement du capital économique s'est établi à 15,9 %, contre 11,7 % pour l'exercice précédent.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 75 millions de dollars ou de 18 % par rapport à celui du trimestre précédent. Cette augmentation reflète un avantage net après impôt de 90 millions de dollars lié aux éléments non récurrents susmentionnés. Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net a reculé de 15 millions de dollars ou de 4 %, essentiellement en raison des profits sur titres de placement inhabituellement élevés et de l'apport accru des sociétés associées au trimestre précédent. Le rendement du capital économique s'est établi à 15,9 %, contre 13,8 %, ce qui reflète la hausse des revenus.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 165 millions de dollars ou de 14 % pour s'établir à 1 329 millions de dollars. Ces résultats tiennent compte d'un avantage net après impôt de 90 millions de dollars lié aux éléments non récurrents susmentionnés. Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net a augmenté de 75 millions de dollars ou de 6 %. Cette hausse découle de la forte croissance des actifs en Amérique latine, de l'acquisition de Banco Colpatria en Colombie et de Credito Familiar au Mexique, de l'amélioration de l'apport sous-jacent des sociétés associées, des profits sur les titres de placement et de l'incidence favorable de la conversion des devises. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par la hausse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et par la croissance des charges.
Gestion de patrimoine mondiale
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
La Gestion de patrimoine mondiale a dégagé un bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 327 millions de dollars pour le trimestre à l'étude, soit une hausse de 49 millions de dollars ou de 18 % par rapport à celui du trimestre correspondant de l'exercice précédent. La hausse du bénéfice net traduit les solides résultats dans l'ensemble des activités de gestion de patrimoine et d'assurance. L'apport du placement dans CI Financial s'est accru du fait de l'amélioration de la performance et de l'incidence d'une charge d'impôt différé non récurrente de 12 millions de dollars comptabilisée l'exercice précédent. La croissance liée à la gestion de patrimoine s'explique par la hausse des actifs sous gestion («ASG») et des actifs sous administration («ASA») du fait des ventes nettes et du redressement des marchés des capitaux. Le rendement du capital économique s'est établi à 17,7 %, comparativement à 14,1 % l'exercice dernier.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
D'un trimestre à l'autre, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 1 million de dollars en raison de l'amélioration des résultats des activités de gestion de patrimoine, contrebalancée en partie par la baisse des revenus d'assurance. Le rendement du capital économique a été ramené de 18,5 % à 17,7 %, surtout du fait de la répartition du capital au titre des acquisitions conclues récemment.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Pour les neuf premiers mois de l'exercice, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 103 millions de dollars ou de 12 % du fait des solides résultats dans l'ensemble des activités de gestion de patrimoine et d'assurance. La croissance liée à la gestion de patrimoine s'explique par la hausse des ASG et des ASA du fait des ventes nettes et par le redressement des marchés des capitaux. Le rendement du capital économique a été porté à 17,8 %, contre 14,3 % pour l'exercice précédent.
Services bancaires et marchés mondiaux
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
Les Services bancaires et marchés mondiaux ont réalisé une forte performance pour le trimestre à l'étude, dégageant un bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 386 millions de dollars. Le recul de 11 millions de dollars ou de 3 % d'un exercice à l'autre s'explique par les perturbations continues des marchés financiers par rapport à l'exercice précédent. Ce facteur a été en grande partie contrebalancé par l'amélioration des résultats des activités liées aux prêts et aux services bancaires d'investissement. Le rendement du capital économique s'est établi à 29,4 % pour le trimestre à l'étude, contre 29,0 % pour la période correspondante de l'exercice précédent.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 25 millions de dollars ou de 7 % par rapport à celui du trimestre précédent. L'amélioration des résultats liés aux titres à revenu fixe, aux services bancaires d'investissement, aux prêts et aux devises a plus que contrebalancé le recul des résultats liés aux métaux précieux et aux titres de capitaux propres. La baisse de l'impôt a aussi contribué à l'amélioration des résultats. Le rendement du capital économique a été porté à 29,4 % par rapport à 27,1 %.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Les Services bancaires et marchés mondiaux ont dégagé un excellent bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 1 146 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice. L'augmentation de 51 millions de dollars ou de 5 % d'un exercice à l'autre s'explique par la hausse des revenus tirés des activités de prêts, par la progression des titres à revenu fixe et par la baisse de l'impôt. Le rendement du capital économique s'est établi à 29,1 %, contre 27,1 % pour la période correspondante de l'exercice précédent.
Autres
Le secteur Autres regroupe la Trésorerie du Groupe, les secteurs opérationnels de moindre envergure et d'autres éléments du siège social qui ne sont pas attribués à un secteur en particulier.
La majoration des revenus exonérés d'impôt est éliminée des revenus d'intérêts nets, des autres revenus opérationnels et de la charge d'impôt sur le résultat de chaque période. Ce montant est pris en compte dans les résultats des secteurs, qui sont comptabilisés sur une base de mise en équivalence fiscale. L'élimination s'est établie à 79 millions de dollars pour le troisième trimestre, comparativement à 77 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent et à 82 millions de dollars pour le trimestre précédent.
Le revenu net découlant de participations dans des sociétés associées et la charge d'impôt sur le résultat de chaque période tiennent compte des ajustements de normalisation fiscale liés à la majoration des revenus des sociétés associées. Cet ajustement normalise le taux d'impôt effectif des secteurs afin de présenter le plus fidèlement possible l'apport des sociétés associées aux résultats sectoriels.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du troisième trimestre de 2012
Le secteur Autres a affiché une perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 94 millions de dollars pour le trimestre à l'étude, contre un bénéfice net de 414 millions de dollars pour l'exercice précédent. Les résultats de l'exercice précédent tenaient compte d'un profit après impôt de 614 millions de dollars à la vente de Scotia Plaza à Toronto et d'une hausse après impôt de 74 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif au titre des prêts productifs. Compte non tenu de ces éléments, le bénéfice net s'est amélioré de 32 millions de dollars du fait des activités de gestion de l'actif et du passif et de la hausse des profits nets sur les titres de placement.
Comparaison du troisième trimestre de 2013 et du deuxième trimestre de 2013
Le secteur Autres a affiché une perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 94 millions de dollars au troisième trimestre, contre une perte nette de 119 millions de dollars pour le trimestre précédent. L'amélioration reflète essentiellement l'incidence des activités de gestion de l'actif et du passif.
Comparaison des neuf premiers mois de 2013 et des neuf premiers mois de 2012
Le secteur Autres a affiché une perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de 344 millions de dollars pour les neuf premiers mois de l'exercice, contre un bénéfice net de 225 millions de dollars. Le bénéfice net de l'exercice précédent traduit en grande partie les profits après impôt de 708 millions de dollars à la vente d'actifs immobiliers de même que la hausse après impôt de 74 millions de dollars du compte de correction de valeur pour pertes sur créances collectif au titre des prêts productifs, ce qui a été contrebalancé en partie par la baisse des charges opérationnelles pour l'exercice à l'étude.
Information à l'intention des actionnaires
Service de dépôt direct
Les actionnaires qui le désirent peuvent faire déposer les dividendes qui leur sont distribués directement dans leurs comptes tenus par des institutions financières membres de l'Association canadienne des paiements. Pour ce faire, il suffit d'écrire à l'Agent des transferts.
Régime de dividendes et d'achat d'actions
Le régime de réinvestissement de dividendes et d'achat d'actions de la Banque Scotia permet aux actionnaires ordinaires et privilégiés d'acquérir d'autres actions ordinaires en réinvestissant leurs dividendes en espèces sans avoir à acquitter de frais de courtage ou d'administration.
Les actionnaires admissibles ont également la possibilité d'affecter, au cours de chaque exercice, une somme ne dépassant pas 20 000 $ à l'achat d'actions ordinaires supplémentaires de la Banque. Les actionnaires titulaires de débentures subordonnées entièrement nominatives de la Banque peuvent également affecter aux mêmes fins le montant des intérêts perçus sur ces dernières. Tous les frais liés à la gestion du régime sont à la charge de la Banque.
Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le régime, il suffit de communiquer avec l'Agent des transferts.
Dates de paiement des dividendes pour 2013
Dates de clôture des registres et de paiement des dividendes déclarés sur les actions ordinaires et privilégiées, sous réserve de l'approbation du conseil d'administration.
Date de clôture des registres | Date de paiement | ||||||||
2 janvier | 29 janvier | ||||||||
2 avril | 26 avril | ||||||||
2 juillet | 29 juillet | ||||||||
1er octobre | 29 octobre |
Date d'assemblée annuelle pour l'exercice 2013
L'assemblée annuelle pour l'exercice 2013 sera tenue à Kelowna, en Colombie-Britannique, le 8 avril 2014.
Envoi de documents en plusieurs exemplaires
Si vos portefeuilles d'actions sont inscrits sous plus d'un nom ou plus d'une adresse, vous recevrez plusieurs exemplaires. Pour éviter l'envoi des documents en plusieurs exemplaires veuillez écrire à l'agent des transferts afin de regrouper les comptes.
Site Web
Pour obtenir des renseignements concernant la Banque Scotia et ses services, visitez notre site Web, au www.banquescotia.com.
Conférence téléphonique et diffusion sur le Web
La conférence téléphonique sur les résultats trimestriels aura lieu le 27 août 2013, à 14 h 30 (heure avancée de l'Est) et devrait durer environ une heure. Les parties intéressées sont invitées à accéder à la conférence directement, en mode écoute seulement, par téléphone, sans frais, au 416-644-3414 ou au 1-800-814-4859 (veuillez téléphoner 5 à 15 minutes à l'avance). Une diffusion audio sur le Web avec les diaporamas afférents sera accessible par l'intermédiaire de la page Relations avec les investisseurs, au www.banquescotia.com. Une période de questions suivra la présentation des résultats par la haute direction de la Banque Scotia.
Une transmission différée par téléphone de la conférence téléphonique sera disponible du 28 août 2013 au 11 septembre 2013, en composant le 416-640-1917 ou le 1-877-289-8525 et en saisissant le code d'identification 4584495, suivi du carré (#). La diffusion audio sur le Web sera disponible sur le site Web de la Banque pendant trois mois.
Coordonnées
Investisseurs :
Les analystes financiers, les gestionnaires de portefeuilles et les autres investisseurs qui souhaitent obtenir de l'information financière concernant la Banque sont priés de communiquer avec le service Relations avec les investisseurs, Affaires financières :
Banque Scotia
Scotia Plaza 44, rue King Ouest
Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1
Téléphone : 416-775-0798
Télécopieur : 416-866-7867
Courriel : [email protected]
Médias :
Les demandes d'information des médias doivent être adressées au service Relations publiques, Affaires de la société et Affaires gouvernementales, à l'adresse ci-dessus.
Téléphone : 416-933-1344
Télécopieur : 416-866-4988
Courriel : [email protected]
Actionnaires :
Pour obtenir des renseignements sur un changement d'inscription d'actions, un changement d'adresse, les dividendes, les transferts successoraux ou la perte de certificats d'actions, ou pour demander que cessent des envois multiples, veuillez vous adresser à l'Agent de transfert de la Banque :
Société de fiducie Computershare du Canada
100, avenue University, 8e étage
Toronto (Ontario) Canada M5J 2Y1
Téléphone : 1-877-982-8767
Télécopieur : 1-888-453-0330
Courriel : [email protected]
Coagent de transfert (États-Unis)
Computershare Trust Company N.A.
250 Royall Street
Canton, MA 02021 U.S.A.
Téléphone : 1-800-962-4284
Pour toute autre demande de renseignements, les actionnaires sont priés de contacter les Affaires financières :
Banque Scotia
Scotia Plaza 44, rue King Ouest
Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1
Téléphone : 416-866-4790
Télécopieur : 416-866-4048
Courriel : [email protected]
Quarterly Reports available in English
The Bank publishes its statements and Annual Report in both English and French, and makes every effort to provide them to Shareholders in the language of their choice. If you would prefer to receive shareholder communications in English, please contact Public, Corporate and Government Affairs, The Bank of Nova Scotia, Scotia Plaza, 44 King Street West, Toronto, Ontario, Canada, M5H 1H1. Please supply the mailing label you received, if possible, so we may adjust our records.
La Banque de Nouvelle-Écosse est une entreprise canadienne constituée avec responsabilité limitée.
SOURCE : Banque Scotia - Communiques de Presse Financiers
Peter Slan, premier vice-président, Relations avec les investisseurs, au 416-933-1273, ou Sheena Findlay, Communications avec les médias, au 416-866-6806
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