TSX/NYSE/PSE : MFC SEHK : 945
Un nombre croissant de Canadiens affirment que la période n'est pas propice à l'achat d'une maison en raison du manque d'options abordables et de la volatilité du marché
TORONTO, le 6 mars, 2017 /CNW/ - La confiance des épargnants à l'égard des fonds communs équilibrés, composés de placements en actions et en obligations, continue de grimper, ayant progressée de onze pour cent depuis décembre 2015 selon les données les plus récentes de l'indice de confiance des épargnants Manuvie. À 26 pour cent, il s'agit du niveau le plus élevé de confiance à l'égard des fonds équilibrés inscrits par l'indice depuis 2011.
« En examinant les résultats d'une année à l'autre, nous constatons que la confiance des épargnants a augmenté pour presque tous les moyens de placement, a déclaré Kevin Headland, stratège principal des placements, Investissements Manuvie. La confiance accrue des épargnants envers les fonds communs équilibrés témoigne bien de leur besoin de croissance tout en se protégeant contre l'incertitude qui règne sur les marchés. »
Confiance des épargnants en hausse à l'égard des actions, des fonds équilibrés et de leur maison
La confiance des Canadiens à l'égard des actions (13 pour cent), des fonds communs équilibrés (26 pour cent) et dans l'investissement de leur maison (45 pour cent) est en hausse. Le sondage révèle une faible baisse de la confiance envers les immeubles de placement (17 pour cent), les liquidités (15 pour cent) et les titres à revenu fixe (neuf pour cent).
L'indice de confiance des épargnants Manuvie sonde l'opinion des épargnants sur diverses catégories d'actifs et différents instruments d'épargne et de placement, et mesure leur confiance à leur égard depuis 1999. L'indice révèle aussi que les Canadiens envisagent leur avenir financier avec optimisme, tout en maintenant une attitude prudente et responsable à l'égard de l'épargne et des placements.
Opinions contradictoires à l'égard du secteur de l'habitation dans l'ensemble du pays
Le sondage a révélé que 29 pour cent des Canadiens estiment que ce n'est pas le bon moment pour l'achat d'une maison, une augmentation de six pour cent par rapport à il y a six mois seulement. Le manque d'options abordables (68 pour cent) et la volatilité des marchés (31 per cent) sont les principales raisons de cette perception négative du secteur de l'habitation.
Les répondants de la Colombie-Britannique ont été les plus nombreux à affirmer que ce n'était pas un bon moment pour l'achat d'une maison (42 pour cent). Par contre, 38 pour cent des Albertains croient que le moment est bien choisi pour acheter une maison (30 pour cent des Canadiens étant du même avis).
D'après les résultats du sondage, les Ontariens et les Québécois sont divisés sur la question de l'achat d'une maison. En Ontario, 32 pour cent des répondants pensent que le moment est mal choisi pour acheter une maison. Du côté du Québec, 34 pour cent des répondants disent que le moment est tout indiqué pour acheter une maison.
« Avec un taux de chômage au Québec en deçà de la moyenne canadienne, il n'est pas étonnant de voir qu'une partie des épargnants québécois pense que c'est un bon moment pour acheter une maison, a dit Richard Payette, Président et chef de la direction, Manuvie Québec. C'est un signe encourageant de voir que la confiance des épargnants est à la hausse. »
Les Canadiens se prononcent sur la question des taux d'intérêt
Les Canadiens estiment, dans une mesure de 77 pour cent, que les taux hypothécaires augmenteront cette année, les locataires (15 pour cent) étant les plus nombreux à prédire une hausse marquée. Les répondants âgés de 65 ans et plus ont été les plus nombreux (84 pour cent) à prédire une augmentation des taux.
Près de deux Canadiens sur cinq (37 pour cent), et en particulier les répondants des provinces de l'Atlantique et du Québec, croient que les taux hypothécaires devraient être réduits (tant les taux fixes que les taux variables). Les Ontariens (27 pour cent) sont plus enclins à penser que les taux hypothécaires variables sont trop bas.
Locataires ou propriétaires
Bien qu'un plus grand nombre de Canadiens indiquent que ce n'est pas le temps d'acheter une maison, 88 pour cent d'entre eux continuent d'affirmer que l'achat d'une maison est important pour eux et 82 pour cent mentionnent que c'est leur principal objectif financier.
« Bien que l'accès à la propriété demeure une priorité, les Canadiens ne sont pas nécessairement disposés à acheter une maison à n'importe quel prix. Ils ont de plus en plus conscience de la notion d'abordabilité, que ce soit à l'égard du montant de la mise de fonds ou en ce qui concerne les versements mensuels et les frais d'intérêts », a ajouté Kevin Headland.
Sept locataires sur dix prévoient continuer de louer leur logement, une hausse de sept pour cent sur six mois. Presque les trois quarts des locataires ayant participé au sondage prévoient des hausses de taux d'intérêt en 2017.
Près des trois quart (74 pour cent) des propriétaires canadiens veulent que la valeur de leur maison augmente et trois cinquièmes veulent réduire le montant de leur prêt hypothécaire lors de la prochaine année. Deux Canadiens sur cinq (43 pour cent) prévoient continuer de vivre dans leur maison lorsqu'ils prendront leur retraite.
Vous pouvez communiquer avec un représentant de Placements Manuvie en cliquant ici.
À propos de l'indice de confiance des épargnants Manuvie
Depuis 17 ans maintenant, l'indice de confiance des épargnants Manuvie, établi tous les six mois, reflète l'opinion des épargnants sur diverses catégories d'actifs et différents instruments d'épargne et de placement, et mesure leur confiance. Les données sur la population générale sont représentatives de l'ensemble des Canadiens et fondées sur les résultats d'un sondage en ligne auquel ont participé 2 001 répondants de 25 ans et plus. Le sondage a été réalisé en décembre 2016 par la société Environics Research.
À propos de Manuvie
La Société Financière Manuvie, groupe mondial et chef de file des services financiers, aide les gens à réaliser leurs rêves et leurs aspirations en priorisant leurs besoins et en leur fournissant de bonnes solutions et recommandations. Elle exerce ses activités sous les noms John Hancock aux États-Unis et Manuvie ailleurs dans le monde. Elle propose des conseils financiers ainsi que des solutions d'assurance, de gestion de patrimoine et de gestion des actifs à des particuliers, à des groupes et à des institutions. À la fin de 2016, elle comptait environ 35 000 employés, 70 000 agents et des milliers de partenaires de distribution au service de plus de 22 millions de clients. À la fin de 2016, son actif géré et administré se chiffrait à 977 milliards de dollars canadiens (728 milliards de dollars américains) et, au cours des 12 mois précédents, elle avait versé à ses clients près de 26 milliards de dollars. Elle exerce ses activités principalement en Asie, au Canada et aux États-Unis, où elle est présente depuis plus de 100 ans. Son siège social mondial se situe à Toronto, au Canada, et elle est inscrite aux bourses de Toronto, de New York et des Philippines sous le symbole « MFC », ainsi qu'à la Bourse de Hong Kong (SEHK) sous le symbole « 945 ».
SOURCE Société Financière Manuvie
Communications avec les médias : Anne-Julie Gratton, Manuvie, 514 499-7999, poste 308150, [email protected]
À propos de Manuvie La Société Financière Manuvie, fournisseur mondial et chef de file des services financiers, vise à rendre les décisions des gens plus simples et à les aider à vivre mieux. Son siège social mondial se trouve à Toronto, au Canada. Elle propose des conseils...
Autres communiqués de la compagnie
Partager cet article