La confiance des Québécois en l'économie recule légèrement comparativement au
reste du pays, selon l'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au
Canada
La gestion des dettes demeure une priorité pour les consommateurs québécois
TORONTO, le 1er oct. /CNW/ - Une majorité de Québécois (en baisse par rapport au dernier trimestre) croient que les perspectives de l'économie canadienne sont bonnes (58 %, en baisse de six points par rapport à juin et légèrement en deçà de la marque nationale de 60 %), selon l'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada de septembre.
La gestion des dettes demeure une priorité pour les consommateurs québécois, 49 % d'entre eux affirmant qu'ils ont comme objectif de réduire leurs dettes au cours de la prochaine année, alors que 34 % prévoient réduire leurs dépenses. Plus des deux tiers (68 %) ont indiqué ne pas procéder officiellement à une revue de leur crédit ou de leurs dettes chaque année, et pourtant la majorité (54 %) affirme en faire un suivi étroit. Alors que 41 % des Québécois croient gérer adéquatement leurs dettes, 14 % d'entre eux indiquent qu'ils réussissent tout juste à se maintenir à flot.
« Compte tenu du léger recul de la confiance, il n'est pas surprenant que les Québécois priorisent la gestion de leurs dettes et la réduction de leurs dépenses, a affirmé Patrice Sieber, chef régional de l'exploitation, Québec, RBC. Un conseiller RBC peut vous aider à emprunter en toute confiance et à procéder à une revue annuelle du crédit, afin que vous puissiez gérer vos dettes avec succès. »
L'optimisme à long terme a aussi reculé, alors que 39 % des Québécois croient que l'économie nationale s'améliorera au cours de la prochaine année (en baisse de neuf points depuis juin et sous la moyenne nationale de 46 %). Près de deux ménages québécois sur dix (17 %) manifestent des craintes à l'égard de l'emploi, soit un point de plus qu'en juin, mais sous la moyenne nationale de 22 %.
Dans l'ensemble, l'indice RBC des perspectives de consommation au Québec est en baisse de six points par rapport à juin, passant de 108 à 102. Le Québec est la seule province à afficher une marque plus élevée que son niveau de référence de 100 points, depuis son établissement il y a six mois.
Voici, à l'échelle provinciale, quelques autres faits saillants tirés du rapport :
- Économie locale : Dix-huit pour cent (18 %) des Québécois pensent que l'économie locale s'est améliorée depuis juin (en baisse de trois points depuis juin) et 17 % d'entre eux croient que cette amélioration se poursuivra au cours des trois prochains mois (en baisse de trois points), ce qui est légèrement sous la moyenne nationale (19 %).
- Situation financière personnelle : Le quart (25 %) des Québécois indiquent que leur situation financière personnelle s'est améliorée (en hausse de trois points depuis juin), comparativement au dernier trimestre. Pour les trois prochains mois, 27 % des Québécois sont d'avis que leur situation financière personnelle s'améliorera, soit le même pourcentage qu'en juin. Ils sont 40 % à estimer que leur situation financière personnelle s'améliorera au cours de la prochaine année (en hausse d'un point), ce qui est inférieur d'un point seulement à la moyenne nationale.
« L'économie de la province devrait continuer de résister dans les prochains mois, même si certains sous-secteurs connaissent encore des difficultés, a indiqué Craig Wright, premier vice-président et économiste en chef, RBC. L'économie québécoise devrait progresser de 3,0 % en 2010 et de 3,1 % en 2011 : des taux de croissance inégalés en dix ans. »
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L'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada
L'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada, dont les données sont comparées aux données de novembre 2009, est réalisé par l'intermédiaire du site Ipsos Je-Dis (comité national en ligne d'Ipsos Reid) auprès de 4 292 Canadiens (642 personnes en Colombie-Britannique, 473 en Alberta, 500 en Saskatchewan et au Manitoba, 1 360 en Ontario, 848 au Québec et 469 dans les Provinces de l'Atlantique). Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement, et de fournir un échantillon probabiliste approximatif. Les données ont été recueillies entre le 1er et le 9 septembre 2010. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de ± 1,5 %, 19 fois sur 20, par rapport au résultat que l'on aurait obtenu si l'ensemble de la population adulte canadienne avait été consultée.
Renseignements:
Raymond Chouinard, Relations avec les médias, RBC, 514 874-6556
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