La confiance reste forte à l'égard des fonds et les opinions sont partagées concernant les modèles de rémunération des conseillers English
TORONTO, le 30 sept. 2013 /CNW/ - Pour la huitième année consécutive, une enquête menée par Pollara pour le compte de l'Institut des fonds d'investissement du Canada (IFIC) montre que les fonds communs de placement sont en tête pour ce qui est de la confiance des investisseurs et que ces derniers recherchent le choix quand il s'agit des frais de conseil.
Lors de cette 8e enquête annuelle, il a été demandé aux détenteurs de parts de fonds communs d'attribuer une note aux fonds communs de placement, aux CPG, aux actions, aux obligations et aux FNB en fonction de leur niveau de confiance quant à la capacité de chaque produit à les aider à atteindre leurs objectifs financiers. Les fonds communs de placement ont obtenu un niveau de confiance de 81 %, contre 65 % pour les CPG, 61 % pour les obligations, 57 % pour les actions et 33 % pour les FNB.
De plus, les investisseurs préfèrent toujours s'informer sur les possibilités d'achats de parts de fonds auprès de leur conseiller que ce soit directement (83 %), au moyen de leurs bulletins (63 %) ou sur leur site Web (55 %).
« Les investisseurs canadiens ont également exprimé un niveau de confiance élevé envers leur conseiller, précise Joanne De Laurentiis, présidente et chef de la direction de l'IFIC. Quatrevingt quatorze pour cent des investisseurs en fonds communs de placement canadiens interrogés ont reconnu qu'ils sont confiants quant à la fiabilité des recommandations de leur conseiller et 90 % ont reconnu qu'ils obtiennent de meilleurs rendements que s'ils investissaient eux-mêmes.»
Cette année, pour la première fois, l'enquête évalue les préférences des porteurs de parts de fonds communs concernant les frais de conseil. L'enquête révèle que 51 % des répondants préfèrent le modèle canadien des frais intégrés, qui est le plus répandu actuellement, alors que 41 % préfèreraient verser un paiement direct à leur conseiller. Toutefois, quand on leur a demandé s'ils conserveraient leur conseiller si le paiement direct entraînait une hausse des frais pour l'investisseur, seulement 16 % des répondants ont déclaré qu'il était très probable, voire certain, qu'ils le conserveraient.
« Une enquête réalisée aux États-Unis révèle que le passage aux frais directs sur ce marché a entraîné une hausse des frais pour de nombreux investisseurs, explique Mme De Laurentiis. Étant donné ce que nous savons des avantages du conseil, nous devons tenir compte de ces conséquences et faire preuve de prudence au moment de réfléchir à une politique de réglementation. »
Vous pouvez consulter l'enquête 2013 de Pollara dans son intégralité sur le site Web de l'IFIC.
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SOURCE : L'Institut des fonds d'investissement du Canada
Jan Dymond
Directrice des affaires publiques de l'IFIC
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