La grande corvée de L'ŒUVRE LÉGER : Denis Coderre va à la rencontre des jeunes de la rue et des sans-abri

MONTRÉAL, le 30 oct. 2013 /CNW Telbec/ - L'OEUVRE LÉGER, organisme sans but lucratif actif depuis 1948, lançait hier La grande corvée de L'ŒUVRE LÉGER  en compagnie de Denis Coderre, l'un des candidats à la mairie de Montréal. « Il est de notre devoir de nous occuper de tous les citoyens, particulièrement les plus démunis. La Ville de Montréal doit être la locomotive du développement social tant sur son territoire qu'à l'échelle de la grande région métropolitaine. Il lui revient de prendre le leadership et de coordonner les actions en matière de lutte à la pauvreté, de réduction de l'itinérance et d'accès à des logements sociaux. Les organismes communautaires partenaires de L'ŒUVRE LÉGER sont l'une des clés du succès », expliquant ce matin M. Coderre.

En compagnie de Norman MacIsaac, directeur général de L'ŒUVRE LÉGER, et de Lucie Lauzon, directrice des programmes au Québec, M. Coderre a visité les organismes montréalais Spectre de rue et Exeko. Grâce à l'appui de L'ŒUVRE LÉGER ces organismes, œuvrant auprès des jeunes de la rue, ont connus une expansion extraordinaire au cours des dernières années. Le support financier et l'appui financier de L'ŒUVRE LÉGER leur a permis de multiplier leurs services et de rejoindre leurs bénéficiaires de manière toujours plus innovante et efficace.

« Lorsque que nous avons décidé d'aider Spectre de rue dès 1994, l'organisme offrait un centre d'écoute et de référencement afin de prévenir la propagation des maladies transmises sexuellement.  Grâce à notre appui, ils ont aujourd'hui un comptoir de distribution de matériel visant la prévention de la transmission des infections (seringues, condoms, tampons, bouteilles d'eau, etc.). Grâce au soutien de L'ŒUVRE LÉGER, ils offrent depuis quelques années un programme d'aide au retour au travail (TAPAJ) qui leur permet d'offrir du travail alternatif payé à la journée », expliquait Mme Lauzon.

« Nous avons tout de suite vu le potentiel d'Exeko par le projet innovant qu'ils nous proposaient de soutenir et de développer, soit idAction Mobile. Le programme a pour but de favoriser l'inclusion sociale des populations les plus marginalisées de Montréal », a renchéri M. MacIsaac.

Devant le choix de donner chez soi ou dans les coins les plus pauvres de la planète, la réponse est claire : au Québec et ailleurs dans le monde, L'ŒUVRE LÉGER appuie des actions communautaires innovantes et mobilisatrices pour un mieux-être des personnes vulnérables et marginalisées. Ayant apporté un appui technique et financier aux interventions directes depuis 65 ans, L'ŒUVRE LÉGER constate que les besoins sont grandissants. Il faut donc miser sur l'effet multiplicateur des interventions les plus innovantes, afin d'étirer et de renforcer l'impact de chaque don.

Norman MacIsaac, directeur général de L'ŒUVRE LÉGER, explique : «On peut avoir l'impression qu'enrayer la pauvreté est une mission impossible, mais lorsque l'on se joint au  mouvement pour la dignité humaine de la fondation, on réalise qu'on peut faire une différence un geste à la fois. Lorsque l'on fait un don,  on passe des paroles aux actes en donnant les outils nécessaires aux personnes les plus vulnérables ou marginalisées afin qu'elles se reprennent en main. Ayez le cœur léger, donnez! »

SOURCE : L'OEUVRE LEGER

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