Le Rapport sur les propriétés récréatives 2014 de Royal LePage confirme la reprise de la demande après un hiver rigoureux et un printemps tardif
TORONTO, le 5 juin 2014 /CNW/ - Selon le Rapport sur les propriétés récréatives 2014 publié par Royal LePage aujourd'hui, les ventes de propriétés récréatives au Canada commencent à reprendre après un début d'année plutôt lent. Un hiver long et rigoureux a retardé la traditionnelle saison d'achat printanière, mais l'arrivée d'une météo riveraine plus clémente a stimulé l'intérêt, fait augmenter le nombre de maisons à vendre et mousse les activités sur le plan des ventes.
Le Rapport sur les propriétés récréatives de Royal LePage compile les renseignements issus d'un sondage pancanadien soumis aux dirigeants d'agence et aux courtiers immobiliers se spécialisant dans le secteur des propriétés récréatives. Les conseillers partout au pays constatent une augmentation importante de l'intérêt des acheteurs et prévoient le retour à un marché dynamique pour le reste du printemps et pour l'été. Dans bien des régions, la neige a mis beaucoup de temps à disparaître et retardé l'ouverture et l'inscription des propriétés estivales, mais les vendeurs et les acheteurs étaient de retour après le weekend de la fête de la Reine.
« Au milieu de la dernière décennie, nous avons vu des niveaux records de ventes dans le marché des propriétés récréatives, en grande partie attribuables aux rêves de retraite de nos bébé-boumeurs. Le ralentissement économique qui a suivi a freiné la demande dans le secteur, fait remarquer Phil Soper, président et chef de la direction, Services immobiliers Royal LePage. Et après la récession, nos recherches ont démontré que l'augmentation des ventes était surtout attribuable aux faibles taux d'intérêt et aux investisseurs. Le marché de 2014 nous montre toutefois un retour à la demande, motivée principalement par le mode de vie que procurent les chalets et les camps. Les Canadiennes et les Canadiens continuent de chercher des occasions de s'offrir des escapades de weekend.
« Des facteurs économiques comme la stabilité du marché de l'emploi, le financement hypothécaire peu coûteux et la confiance de plus en plus grande des consommateurs sont autant d'éléments qui encouragent les acheteurs envisageant l'acquisition d'une propriété récréative, » ajoute M. Soper. « De nombreux Canadiens rêvent de posséder une maison à la campagne, où ils pourront échapper aux pressions de la vie et à la frénésie quotidienne des grandes villes. La recherche d'un endroit où se rassembler avec la famille et les amis est une notion qui semble encore plus attrayante qu'avant. »
« Des hausses marquées du prix des propriétés récréatives dans des régions des États-Unis prisées par les Canadiens, comme l'Arizona, la Floride et la Californie, jumelées à un dollar canadien plus faible que la devise américaine, commencent à avoir un impact sur le marché canadien des propriétés récréatives, » de conclure M. Soper. « Les gens qui recherchaient auparavant des aubaines immobilières au sud de la frontière trouvent que les bonnes affaires se trouvent maintenant chez nous ».
Selon le rapport, la plupart des régions du Canada prévoient un niveau d'achats élevé cette année, malgré le retard causé par l'hiver prolongé. Le secteur à prix plus élevés du marché, qui se compose surtout de propriétés riveraines, connaît de bonnes augmentations de prix en Ontario, au Manitoba et en Saskatchewan. Dans la gamme des maisons à prix moins élevés, il y a de bonnes affaires à conclure pour les propriétés terrestres à l'Île-du-Prince-Édouard, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et dans certaines régions intérieures de la Colombie-Britannique.
Tout récemment, la faiblesse des taux d'intérêt a suscité une demande pour les chalets à titre d'investissements, mais cette tendance semble revenir à des valeurs plus traditionnelles de posséder une propriété récréative comme choix de mode de vie à long terme. Par exemple, à Terre-Neuve, les familles ont de plus en plus tendance à acheter des chalets d'été plutôt que de voyager à l'extérieur de l'île pendant les vacances. Cependant, à l'ouest, dans les régions de Gleniffer Lake et de Pine Lake en Alberta, et la région de East Kootenays, en Colombie-Britannique, l'achat de propriétés par des groupes d'amis et des familles demeure toujours populaire à titre d'investissement ou pour l'utilisation partagée. Par ailleurs, alors que les propriétés situées à proximité ou à même des stations de ski sont perçues comme de bons endroits où investir et s'amuser, et tandis que certains propriétaires en retirent bien souvent des revenus de location, les acheteurs dans l'ouest ont davantage tendance à conserver leurs propriétés riveraines pour leur propre usage.
Avec les très nombreuses options de propriétés récréatives offertes au Canada, comme l'accès aux lacs, aux rivières, à l'océan et aux eaux de marée, les professionnels de l'immobilier recommandent aux acheteurs de bien réfléchir au type précis de propriété qu'ils recherchent. Par exemple, le type de point d'eau à proximité et la méthode d'accès peuvent avoir une grande influence sur le prix et la disponibilité, tout comme les activités aquatiques possibles lors de la visite. De plus, certains courtiers immobiliers ont remarqué que même si la plupart des gens commencent leurs recherches en mettant en priorité absolue la proximité avec leur résidence principale, une fois que les acheteurs soupèsent les questions d'accessibilité et trouvent l'endroit de leurs rêves, la distance devient un facteur relativement moins important.
Le Rapport sur les propriétés récréatives de Royal LePage est une analyse de marché annuelle concernant les prix, les tendances et l'activité des propriétés récréatives dans certains marchés du loisir choisis partout dans le pays.
Le Rapport sur les propriétés récréatives 2014
Le Résumé des prix des propriétés récréatives 2014
Le tableau ci‑dessous démontre la fourchette de prix typique des propriétés terrestres et riveraines standard partout au Canada en 2014.
Résumé des prix des propriétés récréatives en 2014 |
|
PROVINCE |
FOURCHETTE DE PRIX MOYENS 2014 |
Île-du-Prince-Édouard |
140 000 $ - 175 000 $ |
Terre-Neuve |
200 000 $ - 350 000 $ |
Nouveau-Brunswick |
30 000 $ - 180 000 $ |
Nouvelle-Écosse |
175 000 $ - 400 000 $ |
Québec |
100 000 $ - 1 000 000 $ |
Ontario |
80 000 $ - 2 450 000 $ |
Manitoba |
100 000 $ - 400 000 $ |
Saskatchewan |
200 000 $ - 550 000 $ |
Alberta |
149 000 $ - 1 500 000 $ |
Colombie-Britannique |
100 000 $ - 1 000 000 $ |
MOYENNE NATIONALE |
129 000 $ - 800 500 $ |
À propos de Royal LePage
Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur de services aux agences immobilières au pays, grâce à son réseau de plus de 15 000 professionnels de l'immobilier répartis dans plus de 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d'hébergement pour femmes et enfants ainsi qu'aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Brookfield Real Estate Services Inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ».
Pour en savoir davantage, veuillez consulter le site www.royallepage.ca.
Lien URL du PDF : http://stream1.newswire.ca/media/2014/06/05/20140605_C1817_PDF_FR_2502.pdf
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SOURCE : Services immobiliers Royal LePage
Roseline Joyal-Guillot, Kaiser Lachance Communications, 514 878-2522, [email protected]
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