Les parents canadiens se placent en situation d'endettement futur, pour eux-mêmes et leurs enfants
MISSISSAUGA, ON, le 30 août 2017 /CNW/ - Selon un nouveau sondage Ipsos réalisé pour le compte de La Première financière du savoir, une majorité (56 %) des parents canadiens semble jeter de l'argent par les fenêtres lorsqu'il s'agit d'épargne pour les études postsecondaires de leurs enfants. Au total, six parents sur dix (56 %) n'ont pas profité des diverses subventions offertes avec un Régime enregistré d'épargne-études (REEE), tandis que trois parents sur dix (31 %) n'ont pas commencé à épargner du tout.
Beaucoup de familles avec des enfants plus âgés admettent regretter de ne pas épargner plus d'argent pour les études. Plus des deux tiers (68 %) des parents d'enfants de 14 à 22 ans disent qu'ils épargneraient différemment pour les études. Quand on leur demande ce qu'ils auraient fait différemment, 36 % des parents auraient mis de côté davantage chaque mois tandis que 30 % auraient commencé à épargner pour les études postsecondaires, quand leurs enfants étaient plus jeunes.
« Le coût des études va toujours dans le même sens : vers le haut. Si les parents peuvent consacrer une petite place dans leur budget d'aujourd'hui pour commencer à épargner pour les études futures de leur enfant, cela va alléger la charge financière pour toute la famille quand viendra le temps d'inscrire l'enfant à un programme d'études postsecondaires », déclare Lesley-Anne Scorgie, experte en finances personnelles et auteure à succès.
La plupart des parents d'enfants âgés de 14 à 22 ans disent qu'ils vont s'appuyer sur d'autres sources pour financer les études postsecondaires, se plaçant eux-mêmes ainsi que leurs enfants en position de dette. Quatre sur dix (40 %) vont solliciter des prêts étudiants gouvernementaux, tandis que d'autres vont emprunter auprès d'une banque ou d'une caisse populaire (15 %), une marge de crédit sur leur maison (11 %), emprunter à des amis ou de la famille (7 %) ou trouver d'autres moyens de financement (6 %). Dans l'ensemble, moins de trois parents sur dix (27 %) disent qu'ils n'auront pas besoin de moyens supplémentaires pour financer les études leurs enfants. « Aucun parent ne veut voir son enfant supporter un endettement massif après l'obtention de son diplôme. Je suis une grande adepte des REEE pour épargner car s'y ajoutent les subventions gouvernementales offertes aux parents » ajoute Madame Scorgie.
« Les parents n'ont cessé de dire qu'ils auraient dû commencer à épargner plus tôt ou davantage tous les mois. Nous avons souhaité organiser ce sondage pour en savoir plus et pour valider ce que les parents partageaient avec nous », déclare George Hopkinson, président et chef de la direction de La Première financière du savoir. « Nous avons été vraiment surpris par l'ampleur des résultats. Cotiser tôt et souvent à un REEE est la meilleure mesure qu'un parent peut prendre pour anticiper la hausse du coût des études postsecondaires. »
Lorsque les Canadiens profitent des subventions, ils ont des attentes élevées quant à la facilité du processus. La plupart des parents affirment que le processus de demande de subvention doit être facile du point de vue administratif (88 %), tandis que 82 % d'entre eux disent qu'il est important pour eux de bénéficier des conseils d'un spécialiste en REEE, tout au long du processus de demande.
« Dans le cadre de notre engagement envers la réussite des étudiants, La Première financière du savoir aide les familles à naviguer dans le paysage complexe des REEE et à profiter de toutes les subventions et de tous les incitatifs disponibles », indique George Hopkinson. « Nous offrons une gamme de produits innovants pour répondre aux besoins changeants des familles, notamment le REEE PremFlex, un régime individuel qui offre de la flexibilité pour les cotisations à faire et les paiements à recevoir du régime. »
Voici quelques-uns des résultats d'un sondage Ipsos organisé entre le 3 et le 15 août 2017 au nom de La Première financière du savoir. Pour ce sondage, un échantillon de 1 919 parents canadiens provenant du panel en ligne d'Ipsos ont été interrogés par internet. Les résultats ont été ensuite pondérés par rapport à la démographie, afin d'assurer que la composition de l'échantillon reflète celle de la population adulte selon les données du recensement, et pour fournir des résultats destinés à se rapprocher de l'environnement de l'échantillon. La précision des sondages en ligne Ipsos est mesurée à l'aide d'un intervalle de crédibilité. Dans ce cas, la précision du sondage est de plus ou moins 2,6 points de pourcentage, 19 fois sur 20, si on avait sondé tous les parents canadiens. L'intervalle de crédibilité sera plus large parmi les sous-ensembles de la population. Les enquêtes et les sondages peuvent faire l'objet d'autres sources d'erreur, notamment l'erreur de couverture et l'erreur de mesure.
À propos de La Première financière du savoir
Depuis plus de 50 ans, les familles canadiennes comptent sur les régimes d'épargne-étude offerts par La Première financière du savoir. La société gère aujourd'hui 3,72 milliards de dollars d'actifs au nom de plus de 250 000 clients. Depuis 1965, les paiements provenant des régimes ont atteint 3,9 milliards de dollars et La Première fondation du savoir a bonifié les Paiements d'aide aux études des étudiants d'environ 50 millions de dollars.
La Première financière du savoir inc., est une filiale en propriété exclusive de La Première fondation du savoir, et le gestionnaire des fonds de placement, l'administrateur et le distributeur des Régimes enregistrés d'épargne-études. La Première fondation du savoir est une société canadienne sans but lucratif sans capital-action. La Fondation peut donc réinvestir son revenu excédentaire dans des initiatives de soutien à la réussite des étudiants.
Liens connexes :
www.premierefinancieredusavoir.ca
www.knowledgefirstfinancial.ca
SOURCE La Première financière du savoir
Pour de plus amples informations : Morgan Murphy, Smithcom Limited, Tél. : 416 629-2143, [email protected]
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