La transition tranquille, cela vaut aussi pour la haute fonction publique
MONTRÉAL, le 15 mars 2013 /CNW Telbec/ - Encore une fois, aujourd'hui, la Ville de Montréal est de retour en première page des médias. Cette fois, ce n'est pas le politique qui est en cause mais la haute fonction publique. « Quand j'ai appelé à une transition tranquille vers la prochaine élection générale, nous faisions appel au sens des responsabilités des élus, considérant l'obligation qui leur est faite de regagner la confiance de la population. À ce jour, les élus se sont montrés à la hauteur de la situation. Il ne faudrait pas que ces efforts soient gâtés par les hauts fonctionnaires de la Ville, qui doivent comprendre que le concept de transition tranquille s'applique aussi à eux », a déclaré Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et aspirant maire.
Projet Montréal n'a aucunement l'intention de prendre parti dans une lutte de pouvoir entre hauts fonctionnaires. Concernant le dossier se retrouvant en une d'un grand quotidien montréalais, nous devons rappeler que le chef de police Marc Parent a été choisi à l'unanimité par un comité constitué d'élus des trois formations politiques présentes au conseil, Projet Montréal ayant été représenté par Luc Ferrandez. Nous avons également salué la création de l'EPIM et souhaité que son mandat soit le plus étendu possible, incluant donc la possibilité d'enquêter sur la haute fonction publique de la Ville de Montréal. De l'autre côté, c'est Gérald Tremblay, lui seul, qui a nommé Guy Hébert directeur général de la Ville.
Tous, élus comme fonctionnaires, doivent apporter leur contribution à la transition tranquille dans laquelle s'est engagée la Ville de Montréal. « Ce n'est pas parce que plus aucun parti politique ne peut imposer ses vues en usant de sa majorité au conseil municipal que cela autorise la haute fonction publique montréalaise à paralyser l'appareil municipal en déclenchant une lutte de pouvoir stérile. L'objectif, pour les 8 prochains mois, est de faire fonctionner une administration municipale qui est en mesure de rassurer les Montréalais et d'opérer une transition tranquille vers l'élection du 3 novembre prochain », a conclu Richard Bergeron.
SOURCE : VILLE DE MONTREAL - CABINET DE LA 2E OPPOSITION
Catherine Maurice
Attachée de presse de la 2e opposition
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