La vérité sur les commissions scolaires - Un des paliers de gouvernement les plus efficace English
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Association des commissions scolaires anglophones du Québec21 nov, 2013, 18:57 ET
MONTRÉAL, le 21 nov. 2013 /CNW Telbec/ - L'Association des commissions scolaires anglophones du Québec (ACSAQ) déplore les propos faux énoncés aujourd'hui par le chef caquiste François Legault.
« Les commissions scolaires sont parmi les organismes para-gouvernementaux dont les activités se sont les plus rationalisées », soutient David D'Aoust, président de l'ACSAQ. « Au fil des années, nos commissions scolaires anglophones ont diminué les dépenses d'opération, malgré l'impact de la décroissance de la clientèle, les coupures budgétaires et les immenses territoires. De plus, de 2006 à 2012, il y a eu une augmentation de moins de 1 % du personnel cadre pour desservir plus de 100 000 élèves et près de 20 000 employés », a ajouté monsieur D'Aoust.
Les commissions scolaires ont réorganisé leurs services administratifs, diminué les dépenses d'opération et cherché à générer de nouveaux revenus. Des façons de faire nouvelles ont été implantées comme la visioconférence pour réduire les déplacements et faciliter la participation aux rencontres à distance. Des mesures de contrôle budgétaire ont permis une revue systématique des postes vacants et une remise en question de leur pertinence. Des cumuls de tâches ont été prévus à la suite du non-remplacement de personnel cadre. Toutes ces mesures visant un même but, travailler ensemble et mieux dans le but de préserver les services aux élèves.
La semaine dernière, la première ministre Pauline Marois et la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport Marie Malavoy ont annoncé la mise sur pied d'un comité d'experts chargé d'étudier le financement, la gouvernance et le fonctionnement des commissions scolaires. La participation de l'ACSAQ à ce comité a été rejetée totalement. « L'ACSAQ a également réagi avec peu d'empressement à l'étude insuffisante de nos efforts en faveur des élèves. Nous espérons qu'à l'avenir que leur analyse sera plus constructive et collaborative que celle du chef de la Coalition Avenir Québec à ce sujet », a conclu monsieur D'Aoust.
SOURCE : Association des commissions scolaires anglophones du Québec
Kim Hamilton
Directrice des communications et des projets spéciaux
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