MONTREAL, le 15 févr. 2022 /CNW/ - Les plus hauts responsables de l'environnement en Amérique du Nord, qui représentent le Canada, le Mexique et les États-Unis au sein du Conseil de la Commission de coopération environnementale (CCE), ont lancé aujourd'hui le « Défi innovation jeunesse de 2022 », dans le cadre duquel des jeunes sont invités à proposer des solutions novatrices en vue du rétablissement des collectivités après la pandémie de COVID-19.
Les participants peuvent présenter leur solution novatrice dans le cadre du Défi innovation jeunesse de 2022 sur la plateforme Submittable, et courir ainsi la chance de gagner jusqu'à 15 000 $ CA en fonds de démarrage d'une entreprise. Les gagnants du Canada, du Mexique et des États-Unis présenteront leur solution aux trois ministres nord-américains de l'Environnement lors de la session annuelle que tiendra le Conseil de la CCE.
Le Défi est ouvert aux participants âgés de 18 à 30 ans qui résident au Canada, au Mexique ou aux États-Unis, et les solutions peuvent être présentées en français, en anglais ou en espagnol. Elles seront évaluées en fonction de quatre critères : l'incidence, le type d'innovation, la faisabilité et la reproductibilité, et la valeur économique. Sur la plateforme Submittable, il est possible de consulter ces critères ainsi que les directives indiquant la manière de présenter une solution.
Une solution fructueuse doit proposer une innovation qui offre des avantages clairs sur le plan environnemental, et qui prend en considération les incidences directes sur les collectivités locales en Amérique du Nord. Les solutions novatrices peuvent avoir trait au bien-être public; aux efforts visant à rétablir l'économie locale et circulaire; à la conservation, à la préservation et au rétablissement du patrimoine bioculturel; à la défense des territoires, des moyens de subsistance et des écosystèmes. Le fait de mettre l'accent sur le genre, l'aspect interculturel et les droits de la personne constituera un atout pour qu'une solution soit gagnante.
Les solutions choisies devront être étayées par une description détaillée, des photos, des vidéos, des schémas et des prototypes. Il pourrait s'agir de produits nouveaux ou améliorés, de technologies, de systèmes, de procédés, d'applications, de services, d'entreprises ou de chaînes d'approvisionnement, selon le cas. Toute solution devra aussi avoir une incidence importante sur les collectivités, tout en constituant une innovation technologique ou sociale, et être assortie d'un solide plan de durabilité économique, et ce, en tenant compte des connaissances locales pour qu'elles servent à élaborer des mesures ou des moyens novateurs.
Présentez une solution d'ici le 31 mars 2022, et joignez-vous à la discussion des #JeunesInnovateurs sur Facebook, Twitter, LinkedIn et Instagram.
À propos de la CCE
Les gouvernements du Canada, du Mexique et des États-Unis ont établi la Commission de coopération environnementale (CCE) en 1994 en vertu de l'Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l'environnement, à savoir l'accord parallèle à l'Accord de libre-échange nord-américain en matière d'environnement. Cependant, depuis 2020 et conformément au nouvel Accord Canada‒États-Unis‒Mexique (ACEUM), elle est désormais régie par l'Accord de coopération environnementale (ACE). La CCE constitue un organisme qui rassemble un éventail d'intervenants issus du grand public, de peuples autochtones, des jeunes, d'organisations non gouvernementales, du milieu universitaire et du domaine des affaires en vue de trouver des solutions qui permettent de protéger l'environnement que partagent les trois pays nord-américains, mais tout en favorisant un développement économique durable au profit des générations actuelles et futures. On trouve de plus amples renseignements à l'adresse www.cec.org/fr.
La CCE réalise ses activités grâce au soutien financier du gouvernement du Canada, par l'entremise du ministère de l'Environnement et du Changement climatique, du gouvernement du Mexique, par l'entremise du Secretaría de Medio Ambiente y Recursos Naturales (ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles), et du gouvernement des États-Unis, par l'entremise de l'Environmental Protection Agency (Agence de protection de l'environnement).
SOURCE Commission for Environmental Cooperation
Pour plus de renseignements, veuillez contacter : Lindsay Chan, [email protected]
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