Le Conseil du statut de la femme doit analyser la modulation des tarifs des services de garde
QUÉBEC, le 21 nov. 2014 /CNW/ - La députée de Taschereau et leader parlementaire de l'opposition officielle, Agnès Maltais, a profité aujourd'hui de l'interpellation concernant les services de garde pour exiger du gouvernement un avis du Conseil du statut de la femme (CSF) au sujet de la modulation libérale des tarifs.
« Au Québec, nous avons décidé d'instaurer un système qui donnait le choix aux femmes, qui leur permettait de retourner sur le marché du travail. La modulation des tarifs nous fait revenir en arrière. C'est très inquiétant; ça va encourager le retour du travail au noir, comme il y a 30 ans, avant que l'on mette en place le réseau. Est‑ce que la ministre connaît l'impact qu'aura la modulation sur l'autonomie des femmes? Sur leur capacité à accéder au marché du travail ou à y retourner? A‑t‑elle évalué l'impact sur la conciliation famille‑travail‑études? Toutes ces questions pourraient être analysées par le CSF », a déclaré Agnès Maltais.
SOURCE : Aile parlementaire du Parti Québécois
Antonine Yaccarini, Attachée de presse, Aile parlementaire du Parti Québécois, 418 643-2743
Partager cet article