Le gouvernement du Canada facilite l'accès au Bon d'études canadien pour un plus grand nombre de familles English
BURLINGTON, ON, le 20 févr. 2018 /CNW/ - Lorsque les études postsecondaires sont abordables pour plus de gens, notre économie peut croître et notre classe moyenne peut prospérer. C'est pourquoi le gouvernement du Canada aide un plus grand nombre de familles à revenu faible ou moyen à économiser pour les études postsecondaires de leurs enfants grâce au Bon d'études canadien.
Le Bon d'études canadien est une somme d'au plus 2 000 $, versée dans le régime enregistré d'épargne-études d'enfants provenant d'une famille à faible revenu, pour lequel aucune contribution personnelle n'est requise. Il comprend un versement de 500 $ pour la première année d'admissibilité et de 100 $ pour chaque année subséquente, jusqu'à l'année civile au cours de laquelle l'enfant atteint l'âge de 15 ans.
Aujourd'hui, la ministre des Institutions démocratiques, l'honorable Karina Gould, a souligné, au nom de la ministre de l'Emploi, du Développement de la main-d'œuvre et du Travail, l'honorable Patty Hajdu, ce que fait le gouvernement du Canada pour aider un plus grand nombre de familles à économiser pour les études de leurs enfants. Afin d'aider plus d'enfants provenant d'une famille à faible revenu à tirer profit du Bon d'études canadien, le budget de 2017 prévoyait la réaffectation, à compter de 2017-2018, d'une somme de 12,5 millions de dollars sur six ans en provenance des ressources existantes d'Emploi et Développement social Canada pour le lancement d'un projet pilote. Ce projet pilote consistera à examiner de nouvelles façons d'accroître la sensibilisation et l'accès au Bon d'études canadien.
Dans le budget de 2017, on a approuvé les modifications à la Loi canadienne sur l'épargne-études permettant à l'époux ou au conjoint de fait visé du responsable de l'enfant admissible de demander au nom de ce dernier le Bon d'études canadien et le montant supplémentaire de la Subvention canadienne pour l'épargne-études. Ce changement simplifiera le processus de demande, en permettant à un plus grand nombre d'enfants admissibles à ces prestations de recevoir le soutien dont ils ont besoin pour poursuivre des études postsecondaires.
Citations
« Rendre les études postsecondaires plus abordables pour tous les Canadiens, particulièrement ceux qui proviennent de familles à revenu faible et moyen, ce n'est pas seulement la bonne chose à faire. C'est la chose intelligente à faire. Les enfants bénéficiant d'une épargne-études sont plus susceptibles de poursuivre des études postsecondaires et de les terminer et d'être moins endettés lorsqu'ils obtiennent leur diplôme. L'aide en vue de permettre à plus de gens d'avoir accès à des études postsecondaires est un des principaux moyens que nous puissions prendre pour faire croître l'économie et renforcer la classe moyenne. »
- L'honorable Patty Hajdu, ministre de l'Emploi, du Développement de la main-d'œuvre et du Travail
« Notre gouvernement travaille avec acharnement pour faire en sorte que tous ceux qui sont admissibles au Bon d'études canadien le reçoivent. J'invite tous les nouveaux parents admissibles à ouvrir un Régime enregistré d'épargne-études et à demander le Bon d'études canadien pour donner une longueur d'avance et une meilleure chance de réussir à leur enfant. »
- L'honorable Karina Gould, ministre des Institutions démocratiques
« Les fonds du Bon d'études canadien peuvent être utilisés par les étudiants pour des dépenses futures liées à leurs études, y compris les programmes des écoles de métiers et les programmes d'apprentissage, comme les cours préparatoires à l'apprentissage dans les métiers spécialisés offerts au Centre. Le soutien aux jeunes, qu'ils soient aux études ou sur le marché du travail, ne serait pas possible sans nos représentants locaux au Parlement et au gouvernement fédéral. Nous sommes fiers de travailler avec eux pour améliorer la vie des citoyens de notre collectivité. »
- Lisa Rizzato, directrice administrative, Centre de développement des compétences et formation
Les faits en bref
- Bien que le taux d'adhésion au Bon d'études canadien ait augmenté de façon constante, passant de 0,2 p. 100 en 2005 à 34,7 p. 100 en 2016, les deux tiers des enfants admissibles ne reçoivent toujours pas cet incitatif à l'épargne-études, ce qui représente environ 1,8 million d'enfants à l'échelle du pays.
- Le gouvernement du Canada examine actuellement plus d'une centaine de propositions reçues à la suite de son appel d'énoncés de projet pour accroître la sensibilisation et le taux d'adhésion au Bon d'études canadien, qui s'est terminé le 16 janvier 2018.
- Sept millions de dollars seront versés pour financer les projets sélectionnés au cours des trois prochaines années.
Produits connexes
Document d'information: Le Bon d'études canadien
Liens connexes
Régime enregistré d'épargne-études
SOURCE Emploi et Développement social Canada
Pour les demandes des médias, veuillez contacter : Matt Pascuzzo, Attaché de presse, Cabinet de l'honorable Patty Hajdu, C.P., députée, Ministre de l'Emploi, du Développement de la main-d'œuvre et du Travail, [email protected], 819-654-4183 ; Bureau des relations avec les médias, Emploi et Développement social Canada, 819-994-5559, [email protected]
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