La ministre Ambrose a mené la délégation canadienne qui s'est rendue sur la scène internationale pour traiter de la violence faite aux femmes et aux filles
OTTAWA, le 5 mars 2013 /CNW/ - L'honorable Rona Ambrose, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et ministre de la Condition féminine, a dirigé du 4 au 6 mars 2013 la délégation canadienne à la 57e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies, qui se tient à New York et où elle traite de l'élimination de la violence faite aux femmes et aux filles.
« Le gouvernement Harper agit pour éliminer la violence faite aux femmes et aux filles, a dit la ministre Ambrose. Je suis heureuse de prendre la tête d'une délégation canadienne et de pouvoir discuter de cette question sur la scène internationale. Au Canada, nous investissons dans des projets communautaires d'un bout à l'autre du pays pour contrer la violence. À l'échelle internationale, notre gouvernement s'est fait le promoteur d'une résolution des Nations Unies qui a conduit à la création de la Journée internationale des filles. Nous entendons poursuivre nos efforts afin de prévenir la violence sexuelle envers les femmes et les filles dans les zones de conflit, de mettre fin à la pratique des mariages précoces ou forcés et de défendre les droits des femmes à travers le monde. »
Pendant son passage à New York, la ministre Ambrose a souligné le thème qu'a adopté le Canada pour les célébrations de la Semaine internationale de la femme cette année — Travaillons ensemble : engager les hommes dans l'élimination de la violence faite aux femmes —, un thème qui fait écho à l'engagement du gouvernement Harper d'éliminer la violence faite aux femmes et aux filles au pays et à l'étranger. La ministre a coanimé avec les États-Unis une table ronde sur la violence commise au nom d'un soi-disant « honneur » et une autre, avec les organismes non gouvernementaux canadiens (ONG), sur l'engagement des hommes et des garçons dans la prévention et l'élimination de toutes les formes de violence envers les femmes et les filles.
Mme Ambrose a aussi profité de la session pour tenir des rencontres bilatérales avec un certain nombre de représentantes d'autres États membres, ainsi que pour échanger de l'information et des savoir-faire avec ses homologues provinciaux et territoriaux et des ONG sur l'élimination des diverses formes de violence faite aux femmes et aux filles. Pendant ses différents échanges, elle a souligné que l'élimination de cette violence demandait la participation de tout le monde — femmes, hommes, filles et garçons.
La délégation canadienne à la Commission de la condition de la femme des Nations Unies est dirigée par la ministre Ambrose. En font partie des représentantes de trois ONG :
- Dre Shelley Ross de la Fédération des femmes médecins du Canada. La Dre Ross a pris part à une table ronde sur le rôle du réseau de la santé dans l'élimination et la prévention de la violence faite aux femmes.
- Aruna Papp des Punjabi Community Health Services. Mme Papp a participé à la table ronde conjointe du Canada et des États-Unis sur la violence perpétrée au nom d'un soi-disant « honneur ».
- Tracy Porteous de la Ending Violence Association of British Columbia. Mme Porteous a pris part à une table ronde conjointe du Canada et des ONG canadiens sur l'engagement des hommes et des garçons dans la prévention de la violence envers les femmes et les filles.
Parmi les autres personnes représentant le gouvernement du Canada au sein de la délégation, figure entre autres Susan Truppe, secrétaire parlementaire pour la Condition féminine. Huit provinces et territoires (l'Alberta, le Manitoba, le Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, la Nouvelle-Écosse, l'Île-du-Prince-Édouard, le Québec et le Yukon) y sont aussi représentés par des ministres ou des fonctionnaires de haut niveau.
Le gouvernement Harper a appuyé récemment l'initiative ENGAGEONS-NOUS mise de l'avant par ONU Femmes. Cette initiative demande aux gouvernements du monde entier de prendre part aux efforts déployés à l'échelle mondiale pour mettre un terme à la violence faite aux femmes et aux filles. Le Canada continue de mettre en œuvre une vaste gamme d'initiatives visant à réduire et à prévenir cette violence et exhorte les autres pays à faire de même.
SOURCE : Condition féminine Canada
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