LE GROUPE MAURICE RÉTABLIT LES FAITS

MONTRÉAL, le 26 janv. /CNW Telbec/ - À la suite des reportages diffusés sur les ondes de la radio et de la télévision de Radio-Canada ce 25 janvier à l'effet qu'une dame accompagnatrice s'est vu refuser l'accès à une de nos résidences, Le Groupe Maurice tient à apporter des précisions. Aucune résidence du Groupe Maurice, y incluant L'Image d'Outremont, n'empêche des aidants, des parents, des familles, des bénévoles, et même des dames de compagnie d'avoir accès à des résidants, à moins d'avoir reçu un avis contraire de ces derniers ou de leurs mandataires.

Le Groupe Maurice compte 14 résidences pour retraités, soit plus de 4 000 logements dont près de 600 studios de soins. Dans toutes ses résidences, la qualité et la diversité des services sont largement reconnues tant par l'industrie que par ses résidants.  « Nous avons le plus haut taux d'occupation dans l'industrie, grâce à la satisfaction de notre clientèle et la confiance qu'elle nous témoigne. Plus de 40 % de notre clientèle provient de références de nos résidants », a rappelé Pierre Richard, vice-président du Groupe Maurice.

Le Groupe Maurice se veut transparent et toujours à l'écoute. Les suggestions, les résultats de sondage et même les plaintes sont tous des éléments qui permettent de constamment améliorer le bien-être de ses résidants.

« Contrairement à ce qui a été rapporté, L'Image d'Outremont n'est pas sous enquête. Le bureau du commissaire régional aux plaintes et à la qualité des services poursuit l'examen des faits portés à son attention et nous a d'ailleurs remerciés pour notre disponibilité et transparence lors de ce processus. Nous accueillons favorablement leurs recommandations, lesquelles sont soit déjà implantées ou en cours », précise monsieur Richard.

En ce qui a trait à l'accès aux résidences, Le Groupe Maurice encourage les membres de la famille, les aidants et les amis des résidants à leur rendre visite en tout temps. Il faut préciser que les services offerts par une dame de compagnie (personne accompagnatrice) sont retenus par un résidant, ou par sa famille, dans le cadre d'une relation contractuelle relevant de la vie privée du résidant. Ainsi, si un de ces derniers met fin à l'emploi d'une dame de compagnie, l'accès peut lui être interdit. C'est une question de sécurité.

« Nos portes sont ouvertes… pour démontrer la qualité de nos installations et de nos services, il nous fera toujours plaisir d'accueillir pour une visite les journalistes soucieux de la qualité de vie de nos aînés », a conclu M. Richard.

SOURCE Le Groupe Maurice

Madame Rita Kataroyan
Directrice du marketing
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