Le matou présenté à Éléphant sur grand écran en présence de Jean Beaudin et Monique Spaziani
MONTRÉAL, le 17 janv. 2018 /CNW Telbec/ - Adaptation du best-seller de Yves Beauchemin, Le matou a été restauré à deux reprises par Éléphant : mémoire du cinéma québécois, et c'est la plus récente de ces restaurations, toute fraîche, que le public est invité à voir sur grand écran à la Cinémathèque québécoise, le jeudi 25 janvier prochain à 19 h. Non seulement il y aura le film, mais Jean Beaudin, son réalisateur, et Monique Spaziani, une des vedettes, seront présents pour s'entretenir avec le public après la projection.
Qu'un roman québécois soit traduit dans plus de seize langues, qu'il soit vendu à plus d'un million d'exemplaires, c'est exceptionnel. Le matou est un de ces romans exceptionnels. C'est la deuxième œuvre de Yves Beauchemin, publiée d'abord aux Éditions Québec/Amérique, en 1981, repris en France aux Éditions Bernard de Fallois pour devenir ensuite un best-seller international.
Beauchemin, né à Rouyn-Noranda, en 1941, est un raconteur né, aussi aurait-il été inconcevable que des gens de cinéma n'attrapent pas bien vite ce Matou pour en raconter l'histoire au grand écran. Vifs comme des chats, les producteurs Denis Héroux et John Kemeny ont été les premiers à sortir leurs griffes, ils ont sauté sur les droits de cinéma et ont confié la réalisation du film à Jean Beaudin, tout en montant une coproduction avec la France.
Un peu plus de trois ans après sa parution, Le matou sortait en salle avec une pléiade de grands acteurs : Serge Dupire, Monique Spaziani, Jean Carmet, Julien Guiomar, et bien sûr un enfant-acteur qui n'abandonnerait jamais plus les plateaux et deviendrait une énorme vedette : Guillaume Lemay-Thivierge.
Synopsis
Florent Boissonneault et sa jeune épouse ont toujours eu un rêve : posséder un restaurant. Celui-ci devient réalité lorsqu'ils rencontrent un étrange vieil homme, Egon Ratablavasky. L'aventure tourne vite au cauchemar quand ils découvrent qu'ils ont malheureusement été piégés par Ratablavasky et qu'ils ont tout perdu. Pourtant leur rêve n'est pas mort et ils décident bientôt de se venger en reprenant une affaire avec l'aide d'un gamin sans domicile fixe, d'un cuisinier français et d'un journaliste. Mais le vieil homme a plus d'un tour dans son sac...
À propos d'Éléphant : mémoire du cinéma québécois
Mis sur pied en 2007, Éléphant : mémoire du cinéma québécois est un vaste chantier entièrement financé par Québecor destiné à numériser, restaurer, conserver et rendre accessible l'ensemble des longs métrages de fiction du patrimoine cinématographique québécois. Codirigé par Claude Fournier et Marie-José Raymond, Éléphant a, depuis sa création, restauré 225 films qui sont offerts 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 sur le service de vidéo sur demande illico de Vidéotron au canal 900, sur illico.tv et sur l'application illico. De plus, les films sont également accessibles, à mesure qu'ils y sont versés, sur iTunes Canada, États-Unis, France, et autres pays d'Europe et d'Afrique, en version originale et sous-titrée, partout où l'une des langues officielles est le français ou l'anglais. Le site Internet Éléphant : mémoire du cinéma québécois, www.elephantcinema.quebec, constitue quant à lui la plus importante banque de données et d'information sur le cinéma québécois.
Les films restaurés par Éléphant : mémoire du cinéma québécois peuvent maintenant être visionnés sur grand écran dans le confort de deux grandes institutions culturelles, grâce au récent partenariat avec la Cinémathèque québécoise et le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ).
Éléphant : mémoire du cinéma québécois est un projet philanthropique. À cet effet, Québecor n'en tire aucun avantage pécuniaire. À l'exception d'un montant minimal pour couvrir une partie des frais d'exploitation de la plateforme, la totalité des revenus de la diffusion de ces films est reversée aux détenteurs des droits et aux créateurs du cinéma québécois.
À propos de la Cinémathèque québécoise
La Cinémathèque québécoise, c'est le musée de l'image en mouvement à Montréal. Sa mission est d'acquérir, documenter et sauvegarder le patrimoine audiovisuel québécois ainsi que le cinéma d'animation international, collectionner des œuvres significatives du cinéma canadien et mondial, pour en assurer la mise en valeur à des fins culturelles et éducatives.
SOURCE Québecor
Pour Éléphant : mémoire du cinéma québécois, Claudia Ladouceur, Conseillère aux relations média, 514 286-2145, 222, [email protected]; Pour la Cinémathèque québécoise, Sol Millán, Chef du service des communications et du marketing, 514 842-9768, 255, [email protected]
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