L'entraide doit être le catalyseur clé de la compétitivité canadienne : baromètre de l'innovation mondiale GE 2013 English
La troisième étude annuelle de GE sur les dirigeants d'entreprises mondiaux place le Canada dans le premier quartile en matière d'innovation; bien que son programme-cadre pour l'innovation soit solide, le pays doit passer des paroles aux actes
MISSISSAUGA, ON, le 17 janv. 2013 /CNW/ - Malgré que le Canada dispose d'excellentes bases en matière d'innovation, un nouveau sondage suggère que les entreprises doivent consolider leur capacité à mettre en œuvre leurs améliorations au chapitre des produit, des service et des processus, selon le dire de dirigeants d'entreprises canadiens dans le troisième « Baromètre de l'innovation mondiale » annuel publié aujourd'hui par GE (NYSE : GE). L'enquête compare la façon dont l'innovation est perçue par les chefs d'entreprises dans 25 marchés mondiaux, dont le Canada.
Le Canada se classe dans le premier quartile sur le tableau d'évaluation de l'innovation de GE, aux côtés de l'Allemagne, du Japon et des États-Unis. Près de 9 dirigeants canadiens sur 10 (87%) indiquent que l'innovation est une priorité stratégique pour leurs affaires, et 96% d'entre eux estiment que les petites et moyennes entreprises et les individus peuvent être aussi innovants que les grosses entreprises.
Les dirigeants canadiens ont ciblé une collaboration accrue comme étant l'une des clés de la réussite de l'innovation, un moyen de dépasser leurs concurrents et de générer des revenus. Les résultats ont montré que 85% des répondants canadiens créeraient un partenariat, en premier lieu, avant de pénétrer de nouveaux marchés (6% de plus que la moyenne mondiale), et 83% d'entre eux s'associeraient afin d'améliorer un produit ou un service existant (8% de plus que la moyenne mondiale).
Malgré une reconnaissance de l'importance de la collaboration, de nombreuses entreprises canadiennes semblent réticentes à partager les risques et les récompenses qui en découlent. Seul 11% des dirigeants canadiens sondés ont déclaré que leur société serait prête à partager les flux ou les pertes de revenus qui pourraient être générés dans le cadre d'innovation par le biais de la collaboration. C'est le résultat le plus faible de tous les pays de l'enquête GE (la moyenne mondiale est de 28%). Environ deux-tiers des dirigeants d'entreprises canadiennes ont identifié le manque de protection de la confidentialité/propriété intellectuelle (68%) et une confiance insuffisante (64%) comme préoccupations, tous deux bien au-dessus la moyenne mondiale.
« Pour réussir sur les marchés mondiaux, les résultats de l'enquête suggèrent que les entreprises canadiennes devront miser sur la base de leur potentiel d'innovation en augmentant leur tolérance au partage des risques, en développant de nouveaux modèles commerciaux et en participant à plus de collaborations », a déclaré Elyse Allan, présidente et directrice générale de GE Canada.
Si, historiquement, ce sont les nouveaux produits et services qui ont toujours été les principaux stimuli de la croissance, l'innovation peut, en fait, revêtir plusieurs formes. L'innovation par le modèle opérationnel, (prenons, par exemple, des améliorations des processus et une plus grande vitesse d'exécution), s'affermit comme voie vers la réussite et peut constituer un moyen de se rendre plus compétitif à la fois moins risqué et peu gourmand en ressources. En fait, 76% des dirigeants d'entreprises canadiennes pensent qu'ils amélioreront leur rentabilité en développant de nouveaux processus d'affaires (13% de plus que la moyenne mondiale).
Les dirigeants canadiens ont identifié plusieurs facteurs clés garants de la réussite de l'innovation :
- 88% d'entre eux ont cité le besoin d'attirer et de retenir les individus innovants (15% de plus que la moyenne mondiale)
- 80% d'entre eux ont déclaré qu'il fallait créer un environnement et une culture encourageant l'innovation (16% de plus que la moyenne mondiale)
- 69% d'entre eux veulent remettre en question les pratiques et les méthodes de travail habituellement acceptées (15% de plus que la moyenne mondiale)
Les dirigeants d'entreprises canadiennes reconnaissent également le rôle que joue la politique publique dans la création de conditions favorables à l'innovation, et ils lancent un appel aux responsables politiques afin que ces derniers prennent des mesures à plusieurs niveaux :
• 59% d'entre eux souhaitent que l'on encourage davantage la culture de l'entrepreneuriat dans le système éducatif (9% de plus que la moyenne mondiale)
• 52% d'entre eux souhaiteraient des garanties pour que la confidentialité commerciale et les secrets industriels soient convenablement protégés (11% de plus que la moyenne mondiale)
• 51% d'entre eux veulent voir les responsables politiques s'attaquer aux problèmes de la bureaucratie et des tracasseries administratives que rencontrent les sociétés désireuses d'avoir accès aux fonds et aux incitatifs financiers accordés à l'innovation (3% de plus que la moyenne mondiale)
GE a commandité l'enquête annuelle pour étudier quels étaient, selon les chefs d'entreprises, les moteurs et les freins à l'innovation, et quelles influences ces perceptions pouvaient avoir sur la stratégie. StrategyOne, un cabinet de recherche et de conseil indépendant, a dirigé cette enquête.
À propos du baromètre de l'innovation mondiale de GE :
L'étude a été commanditée par GE et menée par le cabinet StrategyOne entre le 22 octobre et le 5 décembre 2012. Des entretiens téléphoniques ont été réalisés avec les 3 100 dirigeants sélectionnés dans 25 pays. Toutes les personnes interrogées sont directement impliquées dans les processus liés à l'innovation au sein de leur entreprise et occupent des postes du niveau de VP ou plus élevé (28 % des répondants sont au niveau de cadre supérieur). Parmi les pays inclus dans l'étude, notons : l'Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, l'Allemagne, l'Inde, l'Irlande, Israël, le Japon, la Malaisie, le Mexique, les Pays-Bas, le Nigeria, la Pologne, la Russie, l'Arabie Saoudite, Singapour, l'Afrique du Sud, la Corée du Sud, la Suède, la Turquie, les Émirats arabes unis, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Vietnam.
À propos de GE :
GE (NYSE : GE) travaille pour les choses qui comptent. Les meilleures équipes et les meilleures technologies, pour relever les défis les plus ardus. Trouver des solutions dans les domaines de l'énergie, de la santé et de la maison, des transports et des finances. Bâtir, produire de l'énergie, faciliter les déplacements et améliorer la qualité des soins. GE ne s'arrête pas uniquement à imaginer l'avenir, il le met en marche. GE travaille. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez visiter le site Web de la société à : www.ge.com.
Au Canada, GE a des activités à l'échelle du pays, y compris des installations de fabrication, de ventes et de services, avec un effectif de 7 000 employés. Suivez GE Canada sur Twitter à : http://twitter.com/GE_Canada et sur YouTube à http://www.youtube.com/user/GECanada Pour de plus amples informations sur le baromètre mondial de l'innovation de GE, rendez-vous sur le site Internet canadien de la société à l'adresse www.ge.com/ca et utilisez le hastag#GEGIB
À propos de StrategyOne :
Fondé en 1999, StrategyOne est un cabinet de recherche indépendant qui possède des bureaux à New York, Washington, DC, Paris, Abu Dhabi, Londres, Chicago, Bruxelles, Atlanta, Dubaï, Houston, Rochester, San Francisco, Seattle et dans la Silicon Valley.
SOURCE : General Electric Canada Inc.
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