Les activités fauniques dans la région de la Chaudière-Appalaches - Des retombées de plus de 51 millions de dollars pour la région
QUEBEC, le 29 sept. 2014 /CNW Telbec/ - La députée de Bellechasse, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, Mme Dominique Vien, rend publiques, au nom du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Laurent Lessard, des données économiques issues d'une étude sur les activités fauniques dans la région de la Chaudière-Appalaches.
« Cette étude révèle que près de 600 emplois à temps plein sont associés à la pratique des activités fauniques en Chaudière-Appalaches. Ces activités entraînent 40,6 millions de dollars en PIB et 10,7 millions de dollars en revenus, ce qui totalise un peu plus de 51 millions de dollars. Les pêcheurs de truite mouchetée et de doré ainsi que les chasseurs de cerf de Virginie génèrent à eux seuls près de 55 % de ces retombées. C'est donc dire que les dépenses liées aux activités de chasse, de pêche et de piégeage bénéficient largement à la région », a déclaré la ministre Vien.
Des retombées pour tout le Québec
L'année 2014 marque la fin d'un important chantier de mise à jour des retombées économiques engendrées par les activités de chasse, de pêche et de piégeage. Au Québec, les activités fauniques mobilisent plus d'un million d'adeptes soit 300 000 chasseurs, 700 000 pêcheurs et 8 000 piégeurs qui consacrent annuellement à leur loisir 15 millions de jours et dépensent 1,6 milliard de dollars.
Précisons qu'en 2013 seulement, le secteur de la faune et des parcs a vendu plus de 1,3 million de permis de chasse, de pêche et de piégeage. En plus de contribuer à la création et au maintien de près de 14 000 emplois équivalents à temps complet, les dépenses des adeptes génèrent annuellement au Québec près de 900 millions de dollars en valeur ajoutée et 180 millions en revenus pour le gouvernement.
« La chasse et la pêche au Québec sont des traditions mais également des passions. Les sommes importantes dépensées par les adeptes en témoignent et contribuent directement au dynamisme de l'économie régionale. Cela assure la vitalité de toute une industrie composée de partenaires, de commerçants et de manufacturiers qui s'appuient notamment sur un réseau structuré de 635 pourvoiries, 86 zecs et 21 réserves fauniques à l'échelle du Québec. Enfin, ces dernières permettent au gouvernement de poursuivre adéquatement la gestion des activités fauniques au Québec et d'en assurer la pérennité », a ajouté le ministre Lessard.
Cette étude réalisée en 2012 par la firme ÉcoRessources présente les retombées générées annuellement par chacune des espèces visées par les activités de chasse, de pêche et de piégeage, et ce, dans les 17 régions du Québec. Elle exclut les dépenses associées aux activités fauniques sans prélèvement telles que l'observation d'oiseaux et ne prend pas en considération les dépenses d'exploitation et d'investissements des territoires fauniques structurés comme les zecs, les parcs et les pourvoiries.
Le rapport final intitulé L'industrie faunique comme moteur économique régional est accessible à l'adresse suivante : http://www.mffp.gouv.qc.ca/faune/statistiques/nature-chiffres.jsp
Sources : |
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Cynthia St-Hilaire Attachée de presse Cabinet de la ministre du Tourisme et ministre Tél. : 418 528-8063 |
Pierre-Olivier Lussier Attaché de presse Cabinet du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs Tél. : 418 643-7295 |
SOURCE : Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs
Sources : Cynthia St-Hilaire, Attachée de presse, Cabinet de la ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches, Tél. : 418 528-8063 ; Pierre-Olivier Lussier, Attaché de presse, Cabinet du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, Tél. : 418 643-7295
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