Selon un sondage de Franklin Templeton, plus des deux tiers (68 %) des Canadiens ressentent du stress et de l'anxiété quand ils pensent à leur épargne et à leurs investissements en vue de la retraite
TORONTO, le 24 févr. 2015 /CNW/ - Selon le sondage Stratégies et attentes en matière de revenus à la retraite 2015 (SAMRR) de Placements Franklin Templeton, 88 % des Canadiens qui n'ont pas encore pris leur retraite sont préoccupés par leurs futures dépenses de retraite, les soins de santé et le mode de vie étant les aspects les plus souvent cités. Cette préoccupation semble fondée, car plus du tiers (39 %) des personnes retraitées depuis au moins 11 ans déclarent que le montant global de leurs dépenses a augmenté depuis leur départ à la retraite, selon ce sondage réalisé en janvier 2015.
« Même quand on épargne suffisamment pour prendre sa retraite à 65 ans, il est parfois difficile de prévoir la hausse des dépenses sur quelques décennies, surtout avec les cibles mobiles que sont les dépenses de santé et l'inflation », admet Philip Bensen, premier vice-président, Société de Placements Franklin Templeton. « Ce fait confirme l'importance, avant et pendant la retraite, de s'asseoir avec un conseiller en placements capable de dresser par écrit un plan de retraite personnalisé en fonction de vos besoins et de vos objectifs, ce qui vous aidera à vous préparer à affronter l'inconnu. »
Si une forte majorité de Canadiens (96 %) qui épargnent actuellement en vue de la retraite ont hâte de la prendre, le simple fait de se demander si on aura assez d'argent est une cause de souci. Le sondage SAMRR 2015, mené auprès de 6 023 personnes de partout au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni, révèle que pour plus des deux tiers (68 %) des Canadiens, le fait de penser à leur épargne-retraite et à leurs placements est une source de stress et d'anxiété, comparativement à 67 % des Américains et à 60 % des Britanniques.
Le rôle du stress et de l'anxiété
C'est dans la fourchette des 35 à 54 ans que les niveaux de stress et d'anxiété sont les plus élevés : près des trois quarts de ces préretraités canadiens ressentent du stress et de l'anxiété quand ils pensent à leur épargne et à leurs placements en vue de la retraite. Bien entendu, ce niveau s'abaisse à l'approche de la retraite, mais 57 % de tous les retraités ressentent encore du stress et de l'anxiété, généralement parce qu'ils redoutent les fortes dépenses imprévues, pour la santé par exemple, ou qu'ils sont surpris quand elles surviennent.
Pour 38 % des Canadiens de 35 à 54 ans, la principale préoccupation liée à la retraite est la crainte de manquer d'argent, et environ le quart des répondants de cette tranche d'âge s'inquiètent des questions médicales et de santé. Cependant, 44 % de tous les retraités s'inquiètent surtout des questions médicales et de santé, une préoccupation qui atteint un sommet (49 %) chez les personnes retraitées depuis au moins 11 ans.
Les retraités s'inquiètent aussi de l'inflation et de la faiblesse des taux d'intérêt, un aspect qui figure au deuxième rang parmi ceux qu'ils citent le plus souvent (15 %), alors que seulement 5 % des préretraités le mentionnent.
« De la trentaine à la cinquantaine, les dépenses quotidiennes associées à la maison, à la voiture et aux enfants, par exemple, compliquent souvent la tâche de mettre assez d'argent de côté pour la retraite », explique M. Bensen. « La perspective d'un rattrapage peut être une source de stress et d'anxiété, ce qui va jusqu'à empêcher les gens de poser des gestes simples. Un conseiller peut les aider à faire une bonne planification bien avant la retraite et à secouer cette inertie avant que la retraite pointe à l'horizon. Après le départ à la retraite, un conseiller peut les aider à s'assurer que leur épargne fructifiera et durera assez longtemps, malgré une croissance des frais de santé et d'autres dépenses. »
Parfois, les meilleurs conseils en matière d'épargne-retraite viennent des retraités eux-mêmes : plus des trois quarts (78 %) des retraités canadiens et américains font la recommandation suivante aux non-retraités : « épargnez tôt, épargnez souvent, épargnez régulièrement ».
Interrogés à savoir ce qu'ils demanderaient aux personnes déjà retraitées, les répondants ont suggéré un éventail de questions, notamment à savoir « quand commencer à épargner » et « combien d'argent épargner chaque année ». Bien que les trois quarts (73 %) des préretraités ressentent du stress et de l'anxiété quand ils pensent à leur épargne et à leurs placements en vue de la retraite, 37 % des préretraités canadiens n'ont pas commencé à épargner en vue de la retraite; fait encore plus étonnant, le quart des préretraités de 45 à 64 ans n'ont même pas commencé à épargner. « La pire chose à faire est de ne pas passer à l'action quand on est stressé à l'idée de la retraite », ajoute M. Bensen.
Le sondage révèle aussi certaines disparités parmi les préretraités canadiens :
- Chez les préretraités canadiens, 70 % des hommes et 58 % des femmes ont commencé à épargner.
- Les trois quarts des Canadiens mariés ont commencé à épargner, contre seulement la moitié environ (52 %) des personnes célibataires ou en union libre.
- Plus des deux cinquièmes des résidants des provinces de l'Atlantique (44 %) et du Québec (43 %) n'ont pas commencé à épargner en vue de la retraite. Cette proportion s'abaisse jusqu'à un peu plus du quart (28 %) dans les provinces des Prairies, où 72 % des résidants ont commencé à épargner en vue de la retraite.
- 62 % des résidants des provinces des Prairies et 61 % des Ontariens sont persuadés que l'immobilier peut produire le revenu prévu à la retraite, un avis partagé par la moitié (50 %) des Canadiens des provinces de l'Atlantique.
- Les trois quarts des résidants des provinces des Prairies et 70 % des Ontariens sont persuadés de pouvoir compter sur leurs placements personnels pour produire le revenu prévu à la retraite, comparativement à 58 % des résidants des provinces de l'Atlantique.
Confirmation de la valeur des conseils professionnels
Selon le sondage SAMRR, c'est par une marge de presque 50 points de pourcentage que les préretraités canadiens qui font appel à un conseiller sont davantage susceptibles d'épargner en vue de la retraite que ceux qui n'ont jamais utilisé ce service (92 % contre 43 %).
Ceux qui collaborent actuellement avec un conseiller sont plus de deux fois plus susceptibles d'avoir un plan de revenus de retraite écrit que ceux qui ont déjà fait appel à ce service par le passé, mais ne l'utilisent plus (52 % contre 22 %).
« Les mesures proactives sont le meilleur moyen d'atténuer les préoccupations relatives à la retraite et de combler le fossé entre les soucis, les attentes et la réalité. Même si la retraite vous semble lointaine et imprévisible, vous pouvez prendre des mesures pour réduire les risques le plus possible et être prêt », affirme Michael Doshier, chef, Marketing des produits de retraite, Placements Franklin Templeton. « En demandant conseil et en dressant un plan par écrit, vous apaiserez vos inquiétudes et vous prendrez la voie d'une retraite réussie. »
Le sondage
Le sondage Stratégies et attentes en matière de revenus à la retraite (SAMRR) de Placements Franklin Templeton a été mené en ligne auprès d'un échantillon de 2 017 Canadiens, 2 002 Américains et 2 004 Britanniques de 18 ans et plus. Il a été mené dans ces trois pays du 8 au 22 janvier 2015 par Online CARAVANMD d'ORC International.
Placements Franklin Templeton
Franklin Resources, Inc. (NYSE : BEN) est une entreprise mondiale de gestion de placements connue sous le nom de Placements Franklin Templeton. Placements Franklin Templeton fournit à l'échelle internationale et nationale des services de gestion de placements à des clients de détail ainsi qu'à des investisseurs institutionnels et au secteur des fonds souverains dans plus de 150 pays. Grâce à ses équipes spécialisées, la société possède une expertise dans toutes les catégories d'actifs - y compris les fonds d'actions, les fonds à revenu fixe, les solutions alternatives et les solutions personnalisées. Les professionnels en placement de la société, dont le nombre se chiffre à plus de 600, sont appuyés par son équipe internationale intégrée de professionnels de la gestion du risque et son réseau mondial de pupitres de négociation. Établie en Californie, la société, qui compte des bureaux dans 35 pays, cumule plus de 65 ans d'expérience en placement; elle gérait un actif de plus de 871 G$ US (plus de 1 107 G$ CA) au 31 janvier 2015.
Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le site www.franklintempleton.ca. Suivez Franklin Templeton sur Twitter (@FTI_Global). Vous pouvez aussi consulter le blogue Beyond Bulls & Bears, qui présente les points de vue de professionnels des placements de Franklin Templeton dans le monde entier, et le blogue Mes aventures dans les pays émergents préparé par Mark Mobius (@MarkMobius), président exécutif du Templeton Emerging Markets Group.
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SOURCE Placements Franklin Templeton
Sarah Kingdon, Communications d'entreprise, Placements Franklin Templeton, 416-957-6191
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