Les Canadiens préfèrent la poste pour échanger les vœux du temps des
Fêtes

Les Canadiens comptent envoyer en moyenne 15,6 cartes par la poste

OTTAWA, le 13 déc. /CNW/ - Il y a de ces traditions qui perdurent chez les Canadiens. En effet, un sondage de Harris/Décima réalisé pour Postes Canada au début novembre révèle que huit Canadiens sur dix préfèrent de beaucoup recevoir une carte des Fêtes par la poste. C'est là une hausse par rapport à 2008 lorsque, selon une étude semblable, 71 % des Canadiens préféraient recevoir des cartes par la poste.

D'après le sondage, les Canadiens enverront en moyenne 15,6 cartes cette année, et 23 % de ces personnes en expédieront plus de 21. Quant aux cartes de vœux électroniques, la moyenne a baissé à cinq cartes, alors qu'une proportion importante des répondants (60 %) ne compte pas en envoyer. Les femmes sont plus portées à expédier des cartes par la poste (75 %) que les hommes (62 %). Comme on pouvait s'y attendre, les jeunes Canadiens sont plus ouverts à l'idée de recevoir des cartes électroniques.

Le sondage a également mis en relief quelques différences régionales. Par exemple, les Canadiens des provinces de l'Atlantique sont les plus susceptibles d'envoyer du courrier postal (83 %) et préfèrent de loin recevoir une carte par la poste (92 %). Par contre, les Québécois  et les Ontariens voient d'un œil plus favorable l'usage des médias électroniques pour envoyer des cartes.

« Même si les Canadiens communiquent plus que jamais par voie électronique, il n'y a toujours rien de mieux que d'envoyer et de recevoir une carte par la poste, surtout à ce temps-ci de l'année », soutient Mary Traversy, première vice-présidente, Courrier transactionnel. « Nous sommes fin prêts pour assurer la livraison de tous ces vœux et nous recommandons aux gens de mettre leurs cartes à la poste d'ici vendredi pour éviter toute déception. »

Le sondage téléphonique a été mené auprès d'un échantillon représentatif de la population canadienne (n=1001) entre le 5 et le 10 novembre 2010. L'échantillon était pondéré par rapport aux statistiques démographiques connues, la marge d'erreur étant de plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20.

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