Les candidats d'Équipe Tremblay - Union Montréal interpellent leur vis-à-vis
de Vision Montréal
MONTRÉAL, le 21 oct. /CNW Telbec/ - Les candidats d'Équipe Tremblay - Union Montréal se demandent comment on peut promettre aux citoyens qu'on va veiller à leurs meilleurs intérêts quand on se présente comme candidat pour le parti Vision Montréal.
Ce qui inquiète les candidats d'Union Montréal, c'est que Louise Harel et Vision Montréal promettent aux Montréalais de retirer aux élus locaux la gestion de plusieurs services présentement livrés par les arrondissements et d'en transférer la gestion à l'hôtel de ville. Parmi ces services, notons : l'entretien et le déneigement des rues, la propreté des espaces publics, la collecte des ordures et le développement économique local.
Selon Union Montréal, les principales conséquences de cet engagement seraient notamment :
- un transfert de budgets et d'employés des arrondissements vers l'hôtel de ville; - une période de turbulence au cours de laquelle l'administration se consacrerait à revoir les structures et les modes de fonctionnement de la ville, donc marquée par des pertes de temps et de productivité.
En somme, l'engagement de Vision Montréal, c'est moins de services, moins d'efficacité, moins de proximité, plus de structures, plus de coûts et plus de dépenses.
En matière de services municipaux, la position des candidats d'Équipe Tremblay-Union Montréal est claire : "Nous sommes convaincus que les personnes les plus compétentes pour répondre aux besoins locaux des citoyens de chaque arrondissement sont ceux qui connaissent ces arrondissements, ceux qui y vivent, qui y travaillent quotidiennement", affirme
"Pour nous, il est donc hors de question de demander à des gens qui sont à plusieurs kilomètres de l'action de décider quelle rue a besoin d'être refaite. Il est aussi hors de question de demander à nos citoyens d'aller chercher leurs permis à l'hôtel de ville de Montréal !", a ajouté M. Dauphin.
350 M$ de moins dans les arrondissements
Union Montréal estime que l'engagement de Louise Harel se traduirait par un déplacement de plus de 2 000 employés (environ un employé sur dix) et d'un transfert de quelques 350 M$ (en moyenne 18 M$ par arrondissement) à l'hôtel de ville.
En plus de se traduire en réduction de budgets et d'effectifs, la réorganisation souhaitée par Louise Harel ferait perdre un temps précieux qui pourrait servir à traiter de réels enjeux pour notre ville.
Qui à Montréal a besoin d'un autre débat de structures? Personne ! Pour Union Montréal, Montréal n'a pas les moyens de perdre temps et argent en débats de structures. Les candidats d'Union Montréal veulent consacrer leurs énergies à "rendre services" plutôt qu'à discuter de la façon dont ces services seront rendus dans trois ou quatre ans.
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Renseignements: Geneviève Hinse, Union Montréal, Bureau: (514) 906-1340, poste 121, Cellulaire: (514) 618-4309
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