Schick Hydro Silk examine le lien entre les tendances en matière de lingerie et la force de notre huard
TORONTO, le 9 févr. 2016 /CNW/ - Les culottes classiques volent la vedette aux strings lorsqu'on se penche sur la tendance de cette année en matière de lingerie féminine. Mais les grands slips pourraient ne pas être le choix le plus responsable fiscalement. Le huard a perdu des plumes depuis le milieu de 2014 et l'histoire démontre une corrélation entre les sous-vêtements plus affriolants et la force de notre dollar. Des corsets glamoureux à la Bettie Page des prospères années 50 aux soies, dentelles et marabouts sensuels des années 60, sans oublier les justaucorps échancrés à bretelles des années 80, de toute évidence, plus la valeur du dollar augmente, plus les sous-vêtements se font discrets.
Historiquement, il semble y avoir une corrélation entre la mode et l’état de l’économie. Le dollar canadien se portait à merveille dans les années 50 et le début des années 60. Il a connu une croissance au cours de la seconde moitié des années 80 et, comme nous le savons, il a repris de la vigueur dans les années 2000. Il apparaît donc que les tendances en lingerie évoluent selon la populaire théorie de l’ourlet, qui suggère que plus il monte, plus la bourse en fait autant. Étant donné l’état du dollar canadien, les femmes pourraient choisir d’oublier les slips ordinaires et de redevenir aguichantes pour aider le dollar à grimper de nouveau en 2016.
Étant donné l'état du dollar canadien, les femmes pourraient choisir d'oublier les slips ordinaires et de redevenir aguichantes pour aider le dollar à grimper de nouveau en 2016.
« Les Canadiennes se sont peut-être réjouies lorsque la culotte de grand-mère est redevenue à la mode, mais il pourrait s'agir d'une tendance à oublier. Bien que nous ne sachions pas si la lingerie en dentelle sexy contribue à la force du dollar, il vaut la peine d'examiner la question », affirme Christine Jew, directrice de marque, Schick Hydro Silk. « En raison de la corrélation au fil du temps, une question se pose : si les femmes à l'échelle du pays remplaçaient leurs culottes de grand-mère par de la lingerie plus sexy, le dollar connaîtrait-il une hausse? »
L'index Schick
Pour démontrer la corrélation entre les sous-vêtements et la force de notre dollar au fil des époques et des années, Schick Hydro Silk a créé l'index Schick.
Années 60
Au début des années 60, une période de croissance économique accélérée, la valeur du dollar canadien était d'environ 1,05 $ en comparaison avec le dollar américain. Durant la même période, les minijupes ont marqué la mode et les robes nuisettes étaient portées à la fois comme vêtements de nuit et comme tenues de jour.
Années 70
Au début des années 70, les looks sveltes et élégants étaient populaires alors que le dollar canadien valait 95 cents - un déclin de près de 10 pour cent comparativement à la décennie précédente.
Années 80
Alors que l'économie se portait de mieux en mieux au début des années 80, les ourlets arrivaient au-dessus du genou et les femmes portaient des sous-vêtements comme tenue décontractée : on se rappelle des looks à la Madone en dentelle découpée et des justaucorps échancrés. Après le lundi noir, les ourlets ont reflété une économie ayant peine à reprendre : les vêtements longs et amples sont devenus un essentiel mode et le minimalisme des années 90 misant sur le confort et le style avec des maillots de corps à couverture intégrale et les soutiens-gorge de style athlétique ont remplacé la lingerie en dentelle des années 80.
Années 2000
Après la crise financière de 2008, le style bohème chic a reflété une économie en récession. En 2015, le dollar a chuté de 14 pour cent alors que le dollar américain prenait de la force, et les styles présentés sur la passerelle prédisaient une poursuite de ce déclin. Les culottes de grand-mère ont commencé à faire un retour, les maillots de bain à taille haute à faire fureur et les designers de mode ont littéralement fait ressusciter le style « tout droit sorti du lit », avec des robes de nuit qui caressent le sol, de la chambre à coucher au bureau.
Cette année, les styles printaniers mettent en vedette des slips longs et soyeux, semblables à ceux des années 70. Ces styles au ras du sol ne peuvent qu'annoncer la poursuite du déclin de notre pauvre dollar canadien tributaire des produits de base.
Une intervention de la mode aiderait-elle notre dollar?
« Si les femmes se préparent à montrer plus de peau, elles peuvent s'assurer d'être au poil avec le rasoir Schick Hydro Silk TrimStyle », affirme Jew. « Même si la lingerie en dentelle n'aide pas le huard à retrouver des plumes, elle pourrait certainement améliorer la vie amoureuse de quelques-unes. »
Les rasoirs et recharges Schick® Hydro Silk TrimStyle® sont testés par des dermatologues et offerts dans les épiceries, les pharmacies et les grandes surfaces à l'échelle du pays au prix de 13,99 $.
SOURCE Schick Hydro
Bas de vignette : "Les culottes de grand-mère sont-elles responsables du déclin du dollar Canadien? (Groupe CNW/Schick Hydro)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20160209_C7207_PHOTO_FR_616265.jpg
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