Les droits de la communauté minoritaire d'expression anglaise du Québec
intimement liés à ceux de la majorité
MONTRÉAL, le 18 oct. /CNW Telbec/ - Le Quebec Community Groups Network (QCGN) se dit heureux que le gouvernement du Québec ne cherche plus à apporter des amendements à la Charte québécoise des droits et libertés de la personne dans sa dernière réponse au jugement de la Cour suprême du Canada, relatif au projet de loi 104. Bien que le gouvernement ait maintenu les restrictions proposées sur l'accès à l'école anglaise incluses dans le précédent projet de loi 103, le projet de loi 115: Loi faisant suite aux décisions judiciaires en matière de langue d'enseignement nouvellement introduit par le gouvernement, a abandonné les tentatives de limiter les droits des minorités du Québec.
« Les droits et libertés que nous possédons, nous les citoyens du Québec et du Canada, sont naturels, inaliénables et essentiels, a déclaré Linda Leith, présidente du QCGN. Ce fait doit être reconnu et protégé par la loi. Nous avons bon espoir que le gouvernement cessera d'établir des distinctions entre les droits et libertés et de les limiter en partant d'un principe erroné voulant que les intérêts de la société divergent de ceux des communautés minoritaires et des individus. »
Le Quebec Community Groups Network (www.qcgn.ca) est un organisme à but non lucratif qui rassemble 36 organismes communautaires de langue anglaise à travers le Québec. Sa mission est de cerner, explorer et aborder les enjeux stratégiques qui affectent le développement durable et la vitalité du Québec d'expression anglaise. Le QCGN favorise le dialogue et la collaboration entre ses organismes membres, les membres de la communauté, les groupes communautaires, les institutions et les intervenants.
Pour la version complète du communiqué, visitez le www.qcgn.ca
Renseignements:
Rita Legault, directrice des communications, [email protected]
Téléphone: 514 868-9044, poste 223 Cellulaire: 514 912-6555
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