Les étudiants de niveau collégial ont davantage confiance en leur avenir que ceux de niveau universitaire, selon un sondage RBC English
Les étudiants de niveau collégial voient l'enseignement postsecondaire comme une formation professionnelle, alors que les étudiants universitaires voient plutôt cela comme un tremplin
TORONTO, le 18 sept. 2013 /CNW/ - Bien que la majorité des étudiants de niveau postsecondaire reconnaissent la valeur de leurs études, les étudiants de niveau collégial sont plus nombreux (92 %) que ceux de niveau universitaire (87 %) à affirmer que leurs études leur donnent un avantage et les placent sur un pied d'égalité dans le marché de l'emploi. Le sondage RBC de 2013 sur les finances des étudiants indique également que 81 % des diplômés universitaires voient l'enseignement postsecondaire comme un tremplin vers des études de niveau supérieur, comparativement à 70 % des étudiants de niveau collégial.
« Nous savons que le taux d'emploi s'accroît avec le niveau d'études, affirme Melissa Jarman, directrice générale, Services bancaires aux étudiants, RBC. Étant donné qu'un certificat, un diplôme ou un grade universitaire augmente de plus de 45 % vos chances d'obtenir un emploi, peu importe le chemin que vous empruntez, l'enseignement postsecondaire est sans contredit l'un des meilleurs moyens d'assurer votre avenir. »
Les étudiants de niveau collégial prévoient peut-être entrer plus rapidement sur le marché du travail, mais les étudiants de niveau universitaire peuvent s'attendre à un potentiel de revenu plus élevé lorsqu'ils auront obtenu leur diplôme. Statistique Canada fait remarquer que le salaire moyen deux ans après l'obtention d'un diplôme universitaire est de 45 000 $, comparativement à 35 000 $ pour les diplômés de niveau collégial.
Toutefois, ce potentiel de revenu plus élevé a un coût. D'après le sondage RBC, les étudiants de niveau universitaire estiment que le coût total de leurs études s'élèvera à 40 500 $, montant supérieur de plus de 60 % à celui estimé par les étudiants de niveau collégial (25 100 $). Le sondage indique que le pourcentage d'étudiants qui prévoient s'endetter est à peu près le même à l'université et au collège (67 % et 63 %, respectivement). Les étudiants de niveau universitaire prévoient contracter environ 10 000 $ de plus de dettes que ceux de niveau collégial et prendre près d'une année supplémentaire pour les rembourser.
« Au Canada, nous avons la chance de profiter d'un solide système d'études postsecondaires qui offre de multiples choix, ajoute Mme Jarman. Bien qu'il y ait un aspect financier important dont vous devez tenir compte, la décision la plus cruciale consiste à choisir le cheminement de carrière qui vous convient, avant d'évaluer vos options pour financer ce choix. »
Mme Jarman offre les conseils suivants aux étudiants qui veulent s'assurer d'investir le plus judicieusement possible dans leur avenir :
- Introspection : Avant même de chercher une école ou d'évaluer les coûts, commencez par faire un peu d'introspection :
- Quels sont vos intérêts et vos passions ?
- Quelles sont vos forces et vos capacités ?
- Quels sont les postes ou carrières qui vous intéressent ?
- Tendances sur le marché du travail : Consultez les recherches de Statistique Canada ou d'associations industrielles afin de mieux comprendre où se trouvent les occasions sur le marché du travail et ainsi augmenter vos chances de trouver un emploi lorsque vous obtiendrez votre diplôme. Évaluez la taille du marché, les salaires auxquels vous pouvez vous attendre, l'emplacement du marché et les exigences en matière de mobilité dans les domaines qui vous intéressent.
- Options d'études : Envisagez toutes vos options, que ce soit le collège, l'université ou l'école de métiers. Évaluez tous les aspects, notamment la durée des études, les résultats d'apprentissage particuliers, le salaire prévu à la fin des études ainsi que les possibilités de croissance et de perfectionnement par la suite.
- Coûts : Informez-vous des coûts liés aux études que vous souhaitez entreprendre et commencez à penser aux moyens de les assumer. Assurez-vous de bien comprendre et d'évaluer toutes les options qui vous sont offertes, dont les REEE, les bourses d'études, de même que les prêts du gouvernement et des institutions financières.
Les conseils, ressources et outils interactifs de RBC en matière de planification financière
Le Centre d'expertise RBC offre des outils et des conseils aux étudiants. Les calculatrices et outils interactifs qu'on y trouve, notamment le Planificateur de réduction de dette et la Calculatrice de consolidation de dette, permettent d'obtenir une information personnalisée couvrant bon nombre d'aspects des finances personnelles. Les conseillers de RBC, qui sont disponibles pour clavarder en direct, offrent aux Canadiens des conseils professionnels gratuits et sans obligation au sujet des produits et services de RBC, ainsi qu'un service personnalisé. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.centredexpertiserbc.com. De plus, maGestionFinancière de RBC, outil complet de gestion financière en ligne, permet à tous les particuliers clients de RBC Banque en direct d'établir un budget et de faire le suivi de leurs habitudes de consommation, sans frais. Enfin, la carte Visa Débit RBC virtuelle permet aux consommateurs de régler leurs achats en ligne, par téléphone ou par la poste en débitant directement les fonds de leur compte bancaire.
À propos du sondage RBC de 2013 sur les finances des étudiants
Le sondage RBC de 2013 sur les finances des étudiants a été mené par Ipsos Reid à l'échelle nationale auprès de 1 107 étudiants de niveau postsecondaire (en date de septembre 2013). Les données ont été recueillies du 18 juin au 2 juillet 2013. Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population étudiante du Canada selon les données du dernier recensement. Les échantillons par quotas avec pondération visent à fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de ± 3 %, 19 fois sur 20. Tous les questionnaires et sondages peuvent être affectés par d'autres types d'erreurs, notamment l'erreur de couverture et l'erreur de mesure.
SOURCE : RBC (French)
Personnes-ressources, médias :
Raymond Chouinard, directeur général, Médias et relations publiques, 514 874-6556
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