Les étudiants du Québec ne comptent pas sur leurs parents pour payer leurs
études
- Le sondage Éducation et finances de TD Canada Trust révèle que seulement 17 % comptent sur les REEE pour financer leurs études -
POUR CONSULTER LE COMMUNIQUÉ DE MÉDIAS SOCIAUX, veuillez visiter le http://www.smrmediaroom.ca/TDétudiants
MONTRÉAL, le 24 août /CNW/ - Les étudiants québécois sont les plus indépendants sur le plan financier au pays, selon le sondage Éducation et finances de TD Canada Trust, qui a examiné les attitudes et les comportements des étudiants du niveau postsecondaire au Canada. Bien que les parents du Québec contribuent à payer les frais des études de leurs enfants, ils ne paient pas tout à fait autant que ceux d'autres régions du pays. En fait, les étudiants québécois sont les plus enclins à déclarer que leurs parents paient moins du quart de leurs frais (71 % contre 60 % à l'échelle nationale), et seulement 4 % indiquent que leurs parents en paieront plus des trois quarts (contre 10 % à l'échelle nationale).
Heureusement, les étudiants du Québec sont les plus enclins à dire que le revenu tiré de leur emploi d'été couvrira la totalité de leurs frais scolaires (40 % contre 24 %). Tout de même, la moitié d'entre eux pensent que ce revenu ne suffira pas. Quarante-huit pour cent demanderont un prêt étudiant ou une ligne de crédit étudiant.
"Notre étude a permis de constater que seulement 17 % des étudiants québécois peuvent compter sur un REEE pour financer une partie du coût de leurs études, ce qui indique une importante occasion manquée, déclare Dan Demers, vice-président associé, TD Canada Trust. Les REEE constituent une façon imbattable de financer les études postsecondaires: ils bénéficient de la Subvention canadienne pour l'épargne-études, ils permettent la croissance à l'abri de l'impôt et ils peuvent servir à payer les droits de scolarité dans les universités, les CEGEP, les écoles de métiers et les écoles techniques. Si vous êtes parents de jeunes enfants, commencez à cotiser à un REEE maintenant: il s'agit d'un excellent investissement dans l'avenir de vos enfants."
Les dettes après l'obtention du diplôme
Quarante-cinq pour cent des étudiants du Québec dépensent plus qu'ils n'épargnent. Compte tenu des coûts élevés de l'éducation, il n'est pas étonnant que seulement 26 % d'entre eux prévoient ne pas être endettés à l'obtention de leur diplôme. Cependant, comparativement à ceux du reste du pays, les étudiants québécois sont moins inquiets de leur niveau actuel d'endettement et prévoient avoir moins de dettes après l'obtention de leur diplôme. La moitié des étudiants s'attendent à terminer leurs études avec soit moins de 5 000 $ de dettes (27 % contre 19 % à l'échelle nationale), soit des dettes se situant entre 5 000 $ et 15 000 $ (23 % contre 20 % à l'échelle nationale); seulement 20 % prévoient des dettes de 15 000 $ ou plus à la fin de leurs études (contre 30 % à l'échelle nationale), et seulement 3 % s'attendent à plus de 35 000 $ de dettes (contre 10 % à l'échelle nationale).
Trente-cinq pour cent des étudiants québécois déclarent s'inquiéter de leur niveau actuel d'endettement (contre 39 % à l'échelle nationale).
"Amasser suffisamment d'argent pour les études postsecondaires peut s'avérer un défi, mais il est beaucoup plus économique d'épargner d'avance que d'emprunter à la dernière minute, indique M. Demers. Cela étant dit, une personne qui prévoit faire des études prochainement et qui n'a pas mis suffisamment d'argent de côté devrait examiner toutes les solutions potentielles qui sont offertes, comme les emplois à temps partiel, les bourses d'études et les postes d'assistants."
Les attentes financières après la fin des études
Le tiers des étudiants québécois croient qu'ils seront un jour riches. La définition du terme riche varie: pour un étudiant sur cinq, être "riche" signifie avoir plus d'un million de dollars en banque, mais 73 % déclarent qu'ils seront riches en ayant moins d'un million de dollars.
En majorité (65 %), les étudiants s'attendent à un salaire de départ de moins de 50 000 $. Seulement 12 % ont des attentes plus élevées, espérant gagner plus de 60 000 $. Une autre tranche de 14 % ne sait pas à quoi s'attendre en termes de salaire à l'embauche.
"Si les étudiants ont examiné d'autres options, comme les emplois à temps partiel et les programmes de bourses d'études, mais ne trouvent toujours pas de solution, ils devraient consulter leur banque au sujet des prêts étudiant et des lignes de crédit étudiant. Ces produits sont conçus expressément pour les étudiants et ils comportent souvent des modalités financières plus souples et plus généreuses que les prêts conventionnels."
Ressources en ligne offertes aux étudiants par TD Canada Trust
Pour obtenir plus de renseignements sur les services bancaires aux étudiants de TD Canada Trust, visitez le site www.tdcanadatrust.com/francais/etudiant/index.jsp.
Au sujet de l'offre de TD Canada Trust à l'occasion de la rentrée scolaire
À partir de maintenant jusqu'au 1er octobre 2010, les étudiants recevront 50 $ en s'inscrivant à l'offre groupée pour étudiants de TD Canada Trust. L'offre comprend un compte Valeur Plus Extra pour étudiants sans frais mensuels, une carte de crédit TD Canada Trust et l'une des conditions suivantes: s'inscrire au programme SimplÉpargnes, ou effectuer deux paiements de factures au moyen de BanqueNet, de BanqueTel ou d'un GAB d'ici le 31 octobre 2010.
Au sujet du sondage Éducation et finances de TD Canada Trust
Le sondage Éducation et finances de TD Canada Trust est un sondage national mené auprès de 1 001 adultes âgés de 18 à 24 ans, y compris 231 du Québec, qui sont actuellement inscrits, prévoient s'inscrire ou ont été inscrits dans les deux dernières années à un programme d'études postsecondaires. Ces données ont été recueillies par Environics Research entre les 13 et 23 juillet 2010.
Au sujet du Groupe Financier Banque TD
En 2010, le Groupe Financier Banque TD (GFBTD) célèbre le 150e anniversaire de sa présence au Québec. Depuis l'ouverture de la première succursale au Québec, en 1860, il a su développer une riche tradition de services à la clientèle confortables et son engagement au sein de la collectivité. Aujourd'hui, la présence du GFBTD au Québec se traduit notamment par plus de 4 000 employés et de 125 bureaux et points de service, et des investissements considérables dans les programmes communautaires.
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l'appellation "Groupe Financier Banque TD". Le Groupe Financier Banque TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de succursales et il offre ses services à plus de 18 millions de clients regroupés dans quatre secteurs fondamentaux exerçant leurs activités dans plusieurs centres financiers clés partout dans le monde : les services bancaires personnels et commerciaux au Canada, offerts notamment par TD Canada Trust et TD Assurance; la gestion de patrimoine, incluant les activités de TD Waterhouse et un investissement dans TD Ameritrade; les services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis offerts notamment par TD Bank, la banque américaine la plus pratique, ainsi que les services bancaires de gros, fournis entre autres par Valeurs Mobilières TD. De plus, le Groupe Financier Banque TD se classe parmi les plus grands prestataires de services financiers en ligne du monde, puisqu'il compte plus de 6 millions de clients qui font des affaires par voie électronique. Au 30 avril 2010, le Groupe Financier Banque TD possédait des actifs de 574 milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite sous le symbole "TD" aux Bourses de Toronto et de New York.
Renseignements: Mathieu Beaudoin, Charles Durivage, Morin Relations Publiques pour la Banque TD, Tél.: 514 289-8688, postes 225, 227, Cell.: 514 473-4649, 514 894-4186, [email protected], [email protected]; Tara Sirinyan, Groupe Financier Banque TD, 514 247-2980, [email protected]
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