Les femmes investisseuses du Québec sont moins portées à prendre des risques, mais elles ont davantage confiance en la capacité de leur portefeuille à résister à la volatilité des marchés English
- Les attitudes et les habitudes des femmes du Québec en matière de placement révélées par le premier sondage international de la TD sur les femmes investisseuses -
MONTRÉAL, le 14 nov. 2012 /CNW/ - La majorité des femmes du Québec ont confiance en leur stratégie de placement malgré les récentes fluctuations du marché, selon le premier sondage mené par la TD auprès des femmes investisseuses à l'échelle internationale, pour lequel TD Waterhouse (Canada), TD Direct Investing (Royaume-Uni) et TD Ameritrade (É-U.) ont fait équipe pour sonder des femmes investisseuses de différents pays afin de révéler leurs opinions et leurs attitudes à l'égard d'une variété de sujets liés au placement.
Les femmes québécoises sont les plus enclines de toutes les Canadiennes - et de toutes les femmes investisseuses à l'échelle internationale - à dire qu'elles ont un plan à long terme et ne ressentent pas le besoin d'apporter des modifications à leur portefeuille lorsqu'elles sont confrontées à la volatilité du marché (66 % comparativement à 61 % dans l'ensemble du pays). Comparativement aux répondantes des autres pays sondés, les Québécoises - et l'ensemble des Canadiennes - étaient moins enclines à rajuster leur portefeuille face à la volatilité du marché (Québec : 66 %, Canada : 61 %, États-Unis : 54 %, Royaume-Uni : 52 %).
« C'est formidable de voir que les femmes du Québec évitent des réactions émotives ou irréfléchies face aux marchés. Il est important de continuer de penser à long terme lorsque les marchés deviennent difficiles, » dit Hélène Paradis, conseillère en placement, Conseils de placement privés TD Waterhouse. « Pensez au nombre d'années que vous avez jusqu'à la retraite, et à votre tolérance au risque, et adaptez votre stratégie de placement en conséquence. »
La moitié des femmes du Québec (50 %) affirment qu'elles ont une très faible tolérance au risque et ne veulent prendre aucun risque avec leur argent. En fait, elles sont les plus réfractaires au risque de toutes les femmes canadiennes, et seulement 49 % disent qu'elles sont disposées à prendre un risque calculé pour pouvoir obtenir un meilleur rendement (comparativement à 62 % à l'échelle nationale).
À l'échelle internationale, les femmes au Canada (38 %) et au Royaume-Uni (35 %) déclarent être les plus prudentes, disant qu'elles ne veulent prendre aucun risque avec leur argent - seulement un quart des femmes (25 %) américaines ont donné cette réponse. Dans les trois pays sondés, très peu de femmes se décrivent comme ayant une tolérance au risque élevé (Canada : 4 %, États-Unis : 8 %, Royaume-Uni : 5 %).
Les femmes sont des investisseuses autonomes confiantes et efficaces
À l'échelle internationale, la majorité de femmes qui gèrent leurs placements en ligne estime que, en règle générale, elles ont réussi à égaler ou à surpasser le rendement des marchés.
Plus du double des femmes aux États-Unis (31 %) et au Royaume-Uni (38 %) gèrent leurs placements en ligne comparativement à leurs homologues canadiennes (13 %). Chez les femmes investisseuses qui font des placements en ligne, une proportion de plus des trois -quarts (76 %) des répondantes canadiennes indiquent qu'elles ont constamment surpassé, ou presque égalé, le rendement du marché. Ce résultat concorde avec celui des femmes investisseuses aux États-Unis et au Royaume-Uni qui ont déclaré avoir du succès (81 % et 82 %, respectivement).
La majorité des femmes qui investissent en ligne dans chacun des trois pays (Canada : 87 %, États-Unis : 94 % et Royaume-Uni : 87 %) affirment également qu'elles se sentent plutôt confiantes ou sereines en ce qui concerne la gestion de leur portefeuille, bien que, dans chaque pays sondé, environ une femme sur dix (Canada : 13 %, États-Unis : 6 % et Royaume-Uni : 13 %) indique qu'elle est nerveuse et « a l'impression de ne jamais prendre les bonnes décisions quand il s'agit de ses placements. »
« Nous voulons que les femmes investisseuses se sentent capables de gérer leurs placements en ligne, quel que soit leur niveau de connaissance des finances et des placements. Il existe des ressources pour vous aider à démarrer, ainsi que des outils et du soutien en ligne et par téléphone 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, » mentionne Mme Paradis. « Vous investissez pour vous-même, mais vous n'êtes pas obligée de faire cela toute seule. Il y a toujours des ressources et des informations disponibles. »
Quelles leçons peut-on tirer de la confiance et de la réussite des femmes investisseuses? Les trois principaux conseils provenant des femmes investisseuses de chacun des trois pays sondés et qui peuvent profiter aux femmes qui songent à devenir elles-mêmes investisseuses sont les suivants :
- Faites des recherches : comprenez l'économie et les marchés (Canada : 68 %, États-Unis : 73 % et Royaume-Uni : 64 %).
- Commencez modestement et ne passez à un niveau supérieur que lorsque vous vous sentez à l'aise (Canada : 67 %, États-Unis : 61 % et Royaume-Uni : 64 %).
- N'hésitez pas à demander de l'aide, il n'est pas nécessaire de faire les choses toute seule (Canada : 58 %, États-Unis : 59 % et Royaume-Uni : 48 %).
Alors, quelle conclusion peut-on tirer de tout cela? « Les femmes investisseuses peuvent être des investisseuses en ligne confiantes et efficaces, en dépit des récentes turbulences des marchés », ajoute Mme Paradis. « Pour réussir, il faut notamment penser à long terme, apprendre à vous servir des outils, de l'information et des moyens de recherche disponibles et, surtout, travailler avec une entreprise que vous connaissez et en laquelle vous avez confiance. »
Au sujet du sondage international de la TD sur les femmes investisseuses de 2012
Le Groupe Banque TD a retenu les services du groupe Environics Research pour mener un sondage personnalisé auprès de 2 014 répondants femmes et hommes au Canada (dont 230 femmes au Québec), de 1 003 répondants aux États-Unis et de 1 006 répondants au Royaume-Uni. Tous les répondants possédaient des actifs à investir et assumaient la pleine responsabilité ou une responsabilité partagée en ce qui concerne la planification financière du ménage ou les décisions de placement.
Au sujet du Groupe Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l'appellation Groupe Banque TD (la TD). La TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de succursales et elle offre ses services à environ 22 millions de clients. Ces services sont regroupés dans quatre principaux secteurs qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers clés dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, y compris TD Canada Trust et Financement auto TD au Canada; Gestion de patrimoine et Assurance, y compris TD Waterhouse, une participation dans TD Ameritrade et TD Assurance; Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, y compris TD Bank, America's Most Convenient Bank, et Financement auto TD aux États-Unis; et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. En outre, la TD figure parmi les principales sociétés de services financiers par Internet du monde, avec environ 8,5 millions de clients en ligne. Au 31 juillet 2012, les actifs de la TD totalisaient 806 milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole « TD ».
Au sujet de Courtage à escompte TD Waterhouse
Courtage à escompte TD Waterhouse est une division de TD Waterhouse Canada Inc., une filiale de La Banque Toronto-Dominion. TD Waterhouse Canada Inc. - membre du Fonds canadien de protection des épargnants.
SOURCE : Groupe Banque TD
Charles Durivage
Morin Relations Publiques
514-289-8688, poste 227
[email protected]
Fiona Hirst
Groupe Banque TD
514-289-1670
[email protected]
Partager cet article