Les gouvernements du Canada et du Nouveau-Brunswick lancent la Subvention canadienne pour l'emploi afin d'aider les Néo-Brunswickois à obtenir des emplois English
EDMUNDSTON, NB, le 16 janv. 2015 /CNW/ - Le ministre des Affaires autochtones et du Développement du Nord et député de Madawaska-Restigouche, l'honorable Bernard Valcourt, au nom du ministre de l'Emploi et du Développement social, l'honorable Jason Kenney, et la ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick, l'honorable Francine Landry, ont annoncé aujourd'hui que le gouvernement du Nouveau-Brunswick accepte maintenant les demandes au titre de la Subvention canadienne pour l'emploi et encourage les employeurs à en faire la demande. La Subvention canadienne pour l'emploi représente une approche novatrice axée sur les employeurs qui a pour objectif d'aider les Canadiens à acquérir les compétences et à suivre la formation dont ils ont besoin pour occuper les emplois disponibles.
La Subvention est suffisamment flexible pour répondre aux besoins des entreprises de toutes les tailles, de tous les secteurs et de toutes les régions. En exigeant que les employeurs jouent un rôle à titre de partenaires dans les investissements relatifs à la formation, la Subvention canadienne pour l'emploi a pour résultat d'offrir une formation qui garantira un emploi.
La Subvention canadienne pour l'emploi offre jusqu'à 15 000 $ par personne pour couvrir les coûts de formation, comme les droits de scolarité et le coût du matériel de formation (jusqu'à 10 000 $ pour la contribution fédérale). Pour obtenir des renseignements sur les étapes à suivre pour présenter une demande au titre de la Subvention canadienne pour l'emploi au Nouveau-Brunswick, veuillez visiter le site Web suivant : http://www.gnb.ca/epft.
Les faits en bref
- De novembre 2013 à novembre 2014, 5 200 emplois ont été créés dans le secteur des services au Nouveau-Brunswick.
- Les économistes prévoient une croissance du PIB réel de près de 2 % en 2015 dans cette province, grâce aux améliorations prévues dans les secteurs forestiers et miniers.
- Le gouvernement du Nouveau-Brunswick administrera la Subvention canadienne pour l'emploi, et d'ici 2017‑2018, la province consacrera plus de 6,3 millions de dollars par année au titre de la Subvention.
Citations
« La création d'emplois, la croissance économique et la prospérité à long terme sont les grandes priorités de notre gouvernement. La Subvention canadienne pour l'emploi donne suite à notre engagement de résoudre le paradoxe d'une économie où trop de Canadiens sont sans emploi alors que trop d'emplois sont vacants. Grâce à la participation des employeurs, la Subvention canadienne pour l'emploi mènera à des emplois garantis. En aidant les employeurs à former les Canadiens pour qu'ils puissent occuper les emplois vacants, nous contribuerons à assurer la croissance et la réussite des entreprises. Il s'agit également d'une bonne nouvelle pour l'économie du Nouveau-Brunswick. »
- L'honorable Jason Kenney, ministre de l'Emploi et du Développement social
« La Subvention canadienne pour l'emploi aidera les travailleurs du Nouveau-Brunswick à acquérir les compétences requises pour décrocher un emploi dans l'économie d'aujourd'hui. L'annonce d'aujourd'hui est une bonne nouvelle pour les travailleurs du Nouveau-Brunswick et leur famille."
- L'honorable Bernard Valcourt, ministre des Affaires autochtones et du Développement du Nord canadien et député de Madawaska‑Restigouche
« Nous sommes heureux de travailler avec le gouvernement du Canada afin de permettre aux employeurs d'obtenir des subventions de formation et de fournir à leurs employés les outils nécessaires pour réussir dans le marché du travail. Nous sommes encouragés par l'intérêt manifesté à ce jour par des entreprises de toutes tailles. »
- L'honorable Francine Landry, ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick
Liens connexes
Subvention canadienne pour l'emploi
Subvention canadienne pour l'emploi (Nouveau-Brunswick)
Document d'information
Entente Canada-Nouveau‑Brunswick sur le Fonds pour l'emploi
Les ententes sur le marché du travail sont devenues les nouvelles ententes sur le Fonds canadien pour l'emploi afin de favoriser une plus grande participation des employeurs à la formation. A l'échelle nationale, le gouvernement du Canada continuera de consacrer 500 millions de dollars par année aux provinces et territoires pour des investissements dans la formation axée sur les compétences par l'entremise du Fonds canadien pour l'emploi, lequel comprend la Subvention canadienne pour l'emploi.
Le gouvernement du Nouveau-Brunswick continuera de recevoir près de 11 millions de dollars, ce qui représente sa part par habitant du 500 millions de dollars. D'ici 2017‑2018, un total d'environ 300 millions de dollars sera investi annuellement à l'échelle nationale dans le cadre de la Subvention canadienne pour l'emploi
Les provinces et les territoires auront toute latitude requise en ce qui concerne la provenance des fonds de la Subvention canadienne pour l'emploi. Ces fonds pourront provenir d'allocations provinciales ou territoriales au titre du Fonds canadien pour l'emploi, des ententes sur le développement du marché du travail, ou de sources provinciales ou territoriales.
Subvention canadienne pour l'emploi
La Subvention canadienne pour l'emploi aidera les Canadiens à obtenir la formation dont ils ont besoin pour occuper les emplois disponibles et elle confiera aux employeurs les décisions relatives à la formation axée sur les compétences. La Subvention représentera jusqu'à 15 000 $ par personne pour couvrir les coûts de formation, comme les droits de scolarité et le coût du matériel de formation, dont un maximum de 10 000 $ en contributions gouvernementales. Les employeurs seront tenus de verser une contribution équivalant au tiers du coût total de la formation.
La Subvention canadienne pour l'emploi ciblera la formation de courte durée donnée par des organismes de formation indépendants admissibles, par exemple des collèges communautaires, des collèges d'enseignement professionnel, des centres de formation syndicaux et des formateurs privés. La formation pourra être donnée en classe, en milieu de travail ou en ligne.
Toutes les entreprises du secteur privé et les entreprises sans but lucratif qui ont un plan de formation visant à permettre à des Canadiens d'occuper un nouvel emploi ou un meilleur emploi pourront faire une demande au titre de la Subvention canadienne pour l'emploi.
La Subvention canadienne pour l'emploi sera suffisamment flexible pour répondre aux besoins des entreprises de toutes les tailles, de tous les secteurs et de toutes les régions. Ainsi, les petites entreprises bénéficieront de modalités flexibles, comme la possibilité d'inclure les salaires dans le calcul de la contribution de l'employeur. Cela permettra de veiller à ce que toutes les entreprises, peu importe leur taille, puissent participer pleinement à la Subvention canadienne pour l'emploi.
La Subvention canadienne pour l'emploi garantira que les employeurs participeront véritablement, en tant que partenaires, au système de formation axée sur les compétences, dont les coûts seront partagés. Ainsi, la formation correspondra davantage aux possibilités d'emplois, en particulier dans les secteurs qui connaissent un déséquilibre des compétences et des pénuries de main-d'œuvre.
La Subvention canadienne pour l'emploi bénéficie d'un solide appui de la part des employeurs et d'autres intervenants, y compris les suivants :
- le Département des métiers de la construction, FAT-COI;
- l'Association nationale des collèges de carrières;
- la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante;
- Manufacturiers et Exportateurs du Canada;
- l'Association canadienne de la construction;
- l'Association canadienne de la technologie de l'information;
- le Bureau canadien de soudage;
- Ingénieurs Canada;
- la Progressive Contractors Association of Canada;
- l'Association chrétienne du travail du Canada;
- l'Association canadienne des constructeurs d'habitations;
- l'Association des armateurs canadiens;
- l'Association canadienne de l'électricité;
- l'Institut canadien de plomberie et de chauffage;
- Merit Canada;
- Polytechnics Canada;
- l'Association canadienne des prospecteurs et entrepreneurs;
- l'Association canadienne de l'industrie de la chimie;
- l'Association des industries aérospatiales du Canada.
SOURCE Plan d'action économique du Canada
Lauren Armstrong, Cabinet du ministre Kenney, 819-994-2482; Bureau des relations avec les médias, Emploi et Développement social Canada, 819-994-5559, [email protected], Suivez-nous sur Twitter; Molly Cormier, Communications, Éducation postsecondaire, Formation et Travail (Nouveau-Brunswick), 506-453-3030, [email protected]
Partager cet article