Les médias numériques et sociaux se révèlent la plateforme économique pour la publication et la diffusion de revues à comité de lecture English
Les revues scientifiques à base d'abonnement, ainsi que les sites d'indexation, disparaissent progressivement, a déclaré le chef de la direction de Pulsus, Srinubabu Gedela (Ph.D.)
LONDRES, 25 juin 2018 /CNW/ - La publication en libre accès gagne en popularité à mesure que le monde d'aujourd'hui est de plus en plus connecté en ligne, facilitant ainsi l'archivage, l'indexation, la fouille (de données), la récupération et la distribution rapide de l'information recherchée. En effet, la publication en libre accès se chiffre à un million d'articles par an et emploie entre 25 000 et 30 000 personnes. De même, le nombre de chercheurs et d'auteurs qui adoptent les forums à accès libre est en phase de rattrapage, puisque 10 % des chercheurs s'y ajoutent chaque année et que pas moins de 5,5 millions d'auteurs contribuent aujourd'hui aux forums à accès libre. Il ne fait aucun doute que la publication en accès libre restera le modèle d'édition le plus prometteur à l'avenir à mesure que disparaissent les sites de publication et d'indexation par abonnement et que les chercheurs et scientifiques se tournent vers les revues à accès libre pour s'assurer des sources d'information pertinentes.
D'autre part, la majorité des agences de financement, telles que l'OMS, le LEBM, le NIH, Welcometrust, exigent, elles aussi, que la recherche qu'elle finance soit publiée dans les revues libre d'accès. Du marché de l'édition composé de livres et d'autres publications, un marché chiffré à 25 milliards de dollars, les revues scientifiques englobant la science, la technologie et la médecine (STM) représentent à elles seules 12 milliards de dollars en 2016. Alors que le marché des revues STM par abonnement a diminué de façon marquée, tombant à 8 milliards de dollars en 2016 (12,5 milliards de dollars en 2014), la publication de revues STM en accès libre a atteint 900 millions de dollars en 2017. Les chercheurs dans cette dernière catégorie produisent 2,5 millions d'articles par an, ce qui porte à 10 %, en TCAC, le nombre d'articles évalués par les pairs et de chercheurs. « Cette situation justifie un besoin urgent de médias numériques et de mesures revues/articles, efficients à l'égard des coûts, pour servir la communauté scientifique », a commenté Srinubabu Gedela (Ph.D.), chef de la direction de Pulsus et d'Omics International.
L'émergence des médias numériques en ligne a complètement changé le paysage actuel de la publication scientifique en donnant la priorité aux facteurs/indicateurs d'impact des articles plutôt qu'aux facteurs d'impact des revues. L'impact d'un article est calculé en fonction du nombre de clics sur l'article, des vues, des téléchargements, des partages, des mentions J'aime, des réponses en ligne qu'il pourrait susciter et de citations dans les revues à comité de lecture. Selon Srinubabu Gedela, les plateformes de chercheurs et de réseaux professionnels comme ResearchGate, LinkedIn, GoogleScholar, ainsi que les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter, jouent un rôle déterminant dans l'amélioration du facteur d'impact d'un article.
Pulsus est un prestataire de services d'informatique médicale et de soins de santé. PULSUS, dont le siège social est situé à Singapour, compte plus de 5 000 employés dans l'ensemble de ses bureaux que sont Pulsus-London, Pulsus-Chennai, Pulsus-Gurgaon, Pulsus Visakhapatnam et Pulsus-Hyderabad.
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SOURCE Pulsus Group
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