Les médias sociaux joueront un rôle plus important dans les relations avec les investisseurs, démontre un nouveau sondage

Les investisseurs institutionnels dans le monde restent sceptiques, mais reconnaissent l'importance grandissante des médias sociaux

MONTRÉAL et TORONTO, le 21 janv. 2014 /CNW/ - Selon un nouveau sondage international, la majorité des investisseurs institutionnels du monde entier considèrent que les médias sociaux deviendront des outils plus importants dans les relations avec les investisseurs (RI), même s'ils sont rarement consultés aujourd'hui par les professionnels de l'investissement.

Selon les données compilées par le Cabinet de relations publiques NATIONAL et le réseau des firmes-conseils en communication stratégique et financière AMO, 56 % des investisseurs institutionnels interrogés ont dit qu'ils considèrent que les médias sociaux « ne sont pas encore déterminants mais croissent en importance » comme outil professionnel pour les investisseurs.

Plus du tiers (37 %) des participants affirment que les médias sociaux, y compris les blogs et forums d'investissement, sont une innovation qui est la bienvenue, permettant la diffusion de nouvelles de manière plus directe et plus rapide. Et 33 % ont également indiqué qu'ils considèrent que ces sites sont utiles pour avoir des indications à l'avance, surtout lors de situations exceptionnelles comme les offres publiques d'achat ou les courses aux procurations.

Interrogés sur les sites qu'ils visitent le plus souvent à des fins professionnelles, les répondants ont indiqué : les forums d'investissement (39 % souvent ou très souvent), puis LinkedIn (34 %) et les blogs d'investissement et de services financiers (32 %). Seulement 22 % ont dit avoir consulté Twitter souvent ou très souvent à des fins professionnelles, contre 10 % pour Facebook.

Une nette majorité des investisseurs institutionnels consultés considère toujours les agences de fil de presse comme leur principale source d'information pour les investisseurs, consultées très souvent par 76 % d'entre eux. Les investisseurs qui ont été interrogés classent systématiquement les agences de fil de presse parmi les plus fiables comparativement aux autres sources d'informations comme les journaux, la radio et la télévision ou les médias sociaux. Quatre-vingt-sept pour cent ont déclaré que les fils de presse étaient toujours ou habituellement fiables, contre seulement 17 % pour les sites de médias sociaux.

Mais même s'ils ne consultent pas les sites souvent ou ne les trouvent pas fiables, seul un petit nombre d'investisseurs ne tient définitivement pas compte des médias sociaux, avec seulement 17 % décrivant ces derniers comme non pertinents aux fins de leur travail.

Cette nouvelle recherche, qui a été menée auprès de 105 investisseurs institutionnels dans 12 pays, gérant un actif total de 3,83 billions $US, a été réalisée par le réseau AMO afin d'aider les cadres des relations avec les investisseurs de sociétés cotées en Bourse à mieux savoir comment adapter leurs stratégies de RI à l'ère du numérique.

« Le sondage AMO montre que les professionnels des relations avec les investisseurs devraient évaluer les façons de faire appel aux médias sociaux ou comment développer davantage leurs capacités à cet égard pour atteindre les investisseurs institutionnels. Aujourd'hui, les investisseurs sont sceptiques quant à la valeur de l'information transmise à l'aide de ces outils, mais il reconnaissent largement que ceux-ci deviendront de plus en plus importants », a déclaré Jean-Sébastien Lamoureux, directeur et leader du groupe de la Communication financière de NATIONAL à Montréal.

« On ne doit pas considérer que les médias sociaux sont intimidants, demandent trop de temps ou posent des risques de violation des règles en valeurs mobilières. Ils devraient être vus comme un prolongement d'un programme de RI, qui répond déjà aux demandes de renseignements et qui peut permettre d'engager des discussions avec ses investisseurs. »

En fait, les médias sociaux peuvent être particulièrement profitables pour les PME qui, traditionnellement, ont plus de difficultés à attirer l'attention des analystes et des médias grand public. Une étude récente de l'Université du Michigan et de l'Université Stanford a constaté que la diffusion des nouvelles par Twitter était corrélée à des écarts moindres entre les cours acheteurs et vendeurs et à une liquidité accrue.

« Nous savons que de nombreux professionnels des RI au Canada utilisent déjà un large éventail d'outils offerts par les médias sociaux pour atteindre les investisseurs. Ceux qui ne le font pas devraient voir les résultats du sondage d'AMO comme une invitation à agir », a conclu Jean-Sébastien Lamoureux.

À propos d'AMO
AMO est le réseau mondial de premier plan des firmes-conseils en communication stratégique et financière. Sa philosophie exemplaire rassemble les leaders des marchés locaux ayant une connaissance inégalée des marchés financiers et des transactions transfrontalières dans les principaux centres financiers d'Europe, d'Asie et des Amériques. Fournissant des conseils sophistiqués en communication pour les fusions-acquisitions et les transactions des marchés financiers, les relations avec les médias et les investisseurs et les entreprises en crise, les sociétés membres d'AMO ont tissé des relations avec de nombreuses entreprises appartenant aux indices S&P 500, FTSE 100, DAX 30, SMI, CAC 40 et IBEX 35. www.amo-global.com.

Avec plus de 940 professionnels travaillant au niveau mondial pour nos clients, le réseau AMO comprend les leaders des marchés suivants :

• The Abernathy MacGregor Group aux États-Unis
• Le Cabinet de relations publiques NATIONAL au Canada
• Maitland au Royaume-Uni
• Havas Worldwide en France, en Belgique et à Dubaï
• HERING SCHUPPENER en Allemagne et à Bruxelles
• LLORENTE & CUENCA en Espagne, au Portugal et en Amérique latine
• Hirzel.Neef.Schmid.Counselors en Suisse
• SPJ aux Pays-Bas
• Porda Havas en Chine
• AD HOC Communication Advisors en Italie
• Springtime en Suède
• NBS Communications en Pologne

À propos du Cabinet de relations publiques NATIONAL
Le Cabinet de relations publiques NATIONAL est la plus grande firme conseil en relations publiques au Canada, comptant des bureaux à Victoria, Vancouver, Calgary, Toronto, Ottawa, Montréal, Québec, Saint John, Halifax, Saint-Jean, New York et Londres. Le Cabinet offre l'éventail complet des services de communication aux entreprises, aux organismes et aux gouvernements. Ses champs d'expertise incluent la communication corporative, les relations investisseurs, les affaires publiques, l'engagement des employés, la consultation et la participation publiques, la communication liée au marketing, à la technologie et à la santé, ainsi que les services de communication numérique. Il offre des services de communication médicale, de relations publiques et de soutien à la recherche clinique à un vaste éventail de sociétés dans l'industrie pharmaceutique et des instruments médicaux à l'échelle internationale sous la marque AXON Communications. NATIONAL est une filiale du Groupe conseil RES PUBLICA. www.national.ca.

SOURCE : Cabinet de relations publiques NATIONAL - Toronto

Personne-ressource pour les médias :
Le Cabinet de relations publiques NATIONAL

Roch Landriault
[phone]
[email protected]

Karl Baldauf
[phone]
[email protected]