Les ministres de l'Agriculture fédérale, provinciaux et territoriaux s'entendent sur un nouveau partenariat doté de nouveaux investissements pour appuyer le secteur English
SASKATOON, SK, le 22 juill. 2022 /CNW/ - Cette semaine, les ministres fédérale, provinciaux et territoriaux (FPT) de l'Agriculture ont conclu les bases d'une entente en principe sur le nouveau Partenariat canadien pour une agriculture durable] dans le cadre de leur réunion annuelle à Saskatoon, en Saskatchewan. Cette nouvelle entente sur cinq ans va injecter 500 millions de dollars en nouveaux fonds, ce qui représente une augmentation de 25 % de la portion à coûts partagés du partenariat.
Pour accroître la durabilité économique du secteur, les ministres se sont entendus pour améliorer les programmes de gestion des risques de l'entreprise (GRE), notamment en faisant passer le taux d'indemnisation au titre d'Agri-stabilité de 70 à 80 %. Pour la portion de l'enveloppe à coûts partagés, ils se sont entendus en principe sur le Programme des paysages agricoles résilients de 250 millions de dollars, qui appuie les biens et services écologiques fournis par le secteur agricole.
La nouvelle entente comprend des cibles plus solides, notamment une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 3 à 5 Mt. On vise à augmenter la compétitivité, les revenus et les exportations du secteur, et à accroître la participation des Autochtones, des femmes et des jeunes. On mettra aussi l'accent sur l'évaluation des retombées des investissements de l'entente.*
L'entente, qui devra être approuvée par chacun des gouvernements, établira une démarche d'envergure pour faire progresser les cinq priorités convenues dans l'Énoncé de Guelph. Elle positionnera notre secteur pour qu'il demeure un chef de file mondial en agriculture durable sur le plan environnemental, économique et social. Elle appuiera un secteur productif et concurrentiel à l'échelle internationale, capable de continuer à nourrir nos citoyens et une population mondiale croissante dans un contexte où la hausse des prix et l'insécurité alimentaire sont des enjeux importants.
Tout au long de l'entente, les ministres ont convenu de mettre en œuvre de nouvelles améliorations à l'ensemble des programmes de GRE pour les rendre plus rapides, équitables et faciles à comprendre, et pour mieux protéger les producteurs face aux risques climatiques. Les ministres continueront de collaborer avec les producteurs pour s'assurer qu'ils disposent d'une série de programmes qui répondent à leurs besoins lorsqu'ils sont confrontés à des situations difficiles.
En plus de se pencher sur la nouvelle entente et les améliorations à la GRE, [les ministres ont fait progresser les discussions sur d'autres domaines prioritaires comme la possibilité unique qu'a notre pays de nourrir les Canadiens et le reste du monde grâce à son leadership à l'échelle mondiale. Les ministres ont discuté de l'accès aux marchés, des chaînes d'approvisionnement alimentaires et des enjeux commerciaux, ainsi que des façons d'aider à maximiser la contribution du Canada à l'approvisionnement alimentaire mondial.
Les ministres ont aussi soulevé l'importance de réduire les obstacles au commerce interprovincial et ont salué la tenue de quatre projets pilotes sur le commerce intérieur dans les régions frontalières et au sein des entreprises Ready to Grow.
Les ministres ont également soutenu qu'il sera important de s'assurer que les efforts pour réduire les émissions liées aux engrais ou à d'autres intrants agricoles ne nuisent pas aux capacités du Canada de contribuer à la sécurité alimentaire au Canada et dans le monde, ni maintenant ni dans l'avenir. Les ministres se sont entendus pour continuer de travailler ensemble et avec la chaîne de valeur pour s'appuyer sur les efforts déjà réalisés par les producteurs pour réduire les émissions liées aux engrais tout en maintenant la compétitivité et la réputation du Canada comme grand producteur de cultures de qualité.
Les discussions ont aussi progressé sur la prévention de la peste porcine africaine et la préparation à une éventuelle éclosion, y compris les leçons apprises lors de l'éclosion récente de grippe aviaire. Il a été question de la main-d'œuvre et du travail en cours sur une stratégie fédérale, nommée Stratégie nationale sur la main-d'œuvre agricole, ainsi que des priorités sur la réglementation. Les ministres ont discuté des progrès réalisés sur un code de conduite des détaillants en alimentation et des fournisseurs. Le comité directeur de l'industrie a entre autres fait une présentation sur des éléments concrets d'un code de conduite. Les ministres ont encouragé l'industrie à présenter un code complet d'ici novembre 2022.
Les ministres ont soulevé l'importance de la santé des populations d'abeilles domestiques et indigènes pour l'économie du Canada et l'environnement. Les ministres se sont entendus pour travailler ensemble et avec des experts et des intervenants pour s'assurer de prendre des décisions fondées sur la science à propos de l'importation sécuritaire d'abeilles mellifères. Les ministres ont noté la collaboration en cours entre l'Agence canadienne d'inspection des aliments et le secteur bovin en vue de réaliser une analyse des risques qui découleraient d'un changement potentiel des mesures de contrôle liées à l'encéphalopathie bovine spongiforme (ESB). On veut s'assurer de maintenir le statut négligeable octroyé par l'Organisation mondiale de la Santé animale.
Il a été convenu que le Québec utilisera ses cibles et ses mécanismes de reddition de comptes pour contribuer aux résultats collectifs de l'entente.
La prochaine réunion annuelle des ministres FPT aura lieu à Fredericton, au Nouveau‑Brunswick, en juillet 2023.
Les ministres qui n'étaient pas présents à la réunion étaient représentés par des fonctionnaires.
Pour de plus amples renseignements sur les points abordés, veuillez consulter le document d'information : Réunion annuelle des ministres fédérale, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture.
« La voie à suivre puise dans les forces et la diversité régionales pour relever le défi des changements climatiques, soutenir les productrices et les producteurs canadiens, ouvrir de nouveaux marchés et répondre aux attentes des consommateurs au pays et à l'étranger. Nos discussions de cette semaine et nos plans futurs s'appuieront sur l'excellent travail déjà accompli par les producteurs agricoles et les transformateurs. Notre vision ambitieuse, notre esprit de collaboration et nos investissements supplémentaires à venir aideront le secteur à aller encore plus loin. »
- L'honorable Marie-Claude Bibeau, ministre fédérale de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire
« En tant que co-président provincial-territorial, nous apprécions l'augmentation du financement que toutes les parties se sont engagées à faire aujourd'hui. Je crois que nous avons trouvé le bon équilibre entre nos objectifs économiques et environnementaux pour s'assurer que notre industrie reste compétitive à l'international. Cet équilibre sera crucial pour les producteurs canadiens qui travaillent à produire les aliments dont le monde a besoin. Les améliorations faites à notre ensemble de programmes de gestion des risques de l'entreprise démontrent que nous sommes toujours engagés à rendre nos programmes plus rapides, équitables et faciles à comprendre. Nous avons hâte de voir les retombées que cette entente aura pour notre industrie. »
- L'honorable David Marit, ministre de l'Agriculture de la Saskatchewan
- La chaîne de valeur de l'agriculture et de l'agroalimentaire continue d'être un moteur de l'économie canadienne, avec une contribution de près de 135 milliards de dollars du PIB national, et elle représente plus de 2 millions d'emplois (1 emploi sur 9) au Canada.
- Les exportations de produits agricoles et agroalimentaires continuent de croître, atteignant une valeur de près de 82 milliards de dollars en 2021, contre 74 milliards de dollars en 2020.
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Site Web : Agriculture et Agroalimentaire Canada
Cette semaine, les ministres fédérale, provinciaux et territoriaux (FPT) de l'Agriculture ont conclu les bases d'une entente en principe sur cinq ans, le nouveau Partenariat canadien pour une agriculture durable durant leur réunion annuelle à Saskatoon, en Saskatchewan. Ils ont aussi fait progresser les discussions sur certains domaines prioritaires pour les producteurs, les transformateurs et d'autres intervenants du secteur.
Le Partenariat canadien pour une agriculture durable est la prochaine entente stratégique sur cinq ans en agriculture, qui entrera en vigueur le 1er avril 2023 et remplacera l'actuel Partenariat canadien pour l'agriculture.
Les ministres continueront de soutenir la science, la recherche et l'innovation pour relever les défis et saisir les débouchés. Ils continueront d'ouvrir de nouveaux marchés aux produits agricoles canadiens et de travailler à rendre le système alimentaire plus résilient. Le Partenariat canadien pour une agriculture durable encouragera également une diversité et une inclusion accrues et visera à renforcer les relations avec les peuples autochtones.
Le Partenariat canadien pour une agriculture durable va injecter 500 millions de dollars en nouveaux fonds, ce qui représente une augmentation de 25 % de la portion à coûts partagés du partenariat, en plus des deux milliards déjà octroyés dans le cadre du Partenariat canadien pour l'agriculture.
Elle appuiera un secteur productif et concurrentiel à l'échelle internationale afin de continuer à nourrir nos citoyens et une population mondiale croissante, dans un contexte de hausse des prix et d'inquiétudes quant à l'insécurité alimentaire.
Pour mieux illustrer les retombées de nos investissements, les ministres ont convenu de collaborer à l'élaboration d'une stratégie axée sur des résultats plus solides pour le Partenariat canadien pour une agriculture durable. Cette stratégie reflétera l'engagement des gouvernements à contribuer à des résultats communs et mesurables pendant la durée du cadre, en particulier :
- une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 3 à 5 Mt
- des revenus de 250 milliards de dollars et des exportations de 95 milliards de dollars pour le secteur d'ici 2028
- et une augmentation du nombre de bénéficiaires Autochtones, femmes ou jeunes dans les cinq années de l'entente.
Le Québec met déjà en œuvre des politiques et des stratégies prévoyant des cibles, des indicateurs et des processus de reddition de comptes et répondant aux priorités et objectifs établis dans cet accord. Le Québec contribuera aux résultats collectifs* en poursuivant ses propres cibles et ne sera pas assujetti aux engagements de l'accord directement liés aux cibles du cadre. Le partage d'information et des données inclut uniquement les informations que le Québec fournira selon ses indicateurs et ses processus de reddition de comptes et les moyens évalués pertinents qui seront définis dans l'Accord bilatéral mutuellement convenu entre le Canada et le Québec.
Amélioration du rendement environnemental, de l'adaptation aux changements climatiques et de la réduction des émissions de GES du secteur; augmentation de la productivité et de la croissance du secteur dans l'ensemble de la chaîne de valeur agroalimentaire; renforcement de la résilience du secteur, la diversité, l'équité et l'inclusion, ainsi que l'augmentation de la confiance du public
Les ministres se sont entendus sur un nouveau Programme des paysages agricoles résilients (PPAR) qui sera instauré selon les principes pancanadiens sur les programmes à coûts partagés. Il sera adapté aux besoins et conditions de chaque région, et administré par les provinces et territoires. Les gouvernements qui ont des programmes préexistants qui respectent les lignes directrices du PPAR, comme le programme Alternate Land Use Services de l'Île-du-Prince Édouard, le Programme de rétribution des pratiques agroenvironnementales du Québec, et le programme Growing Outcomes in Watersheds (GROW) du Manitoba, pourront bénéficier des nouveaux investissements fédéraux.
Le Partenariat canadien pour une agriculture durable est un engagement commun à rendre le secteur plus résilient, afin de permettre aux producteurs de mieux anticiper les risques, les atténuer et y répondre, grâce à un ensemble solide de programmes de GRE.
Pour rendre le secteur plus durable sur le plan économique, les ministres ont conclu un accord pour faire passer le taux de compensation d'Agri‑stabilité de 70 à 80 % et remettre jusqu'à 72 millions de dollars supplémentaires aux producteurs afin de mieux les soutenir lors de situations difficiles. En outre, ils ont convenu de continuer de travailler et de collaborer avec l'industrie en vue d'établir un nouveau modèle d'Agri‑stabilité qui sera plus rapide, plus simple et plus prévisible. Agri‑stabilité offre du soutien lorsque les producteurs subissent une baisse importante de leur revenu agricole pour des raisons telles que la perte de production, l'augmentation des coûts ou les conditions du marché. Les gouvernements FPT ont déterminé des changements clés qui visent à améliorer les délais et la prévisibilité du programme Agri‑stabilité, et travailleront de concert en consultation avec les producteurs pour analyser plus en profondeur et mettre en œuvre ce nouveau modèle, tout en veillant à ce que la transition se fasse en douceur.
Les ministres se sont entendus pour évaluer, sur une période d'un an, des façons d'intégrer les risques et l'adaptation climatiques aux programmes de GRE. Les provinces identifieront des incitatifs potentiels pour le programme Agri-Protection, et réaliseront un projet pilote destiné aux producteurs qui adoptent des pratiques à la fois respectueuses de l'environnement et bénéfiques pour réduire les risques de production. Également, les ministres ont convenu que pour recevoir une contribution gouvernementale au titre d'Agri-Investissement, les exploitations agricoles ayant des ventes nettes admissibles (VNA) d'au moins 1 million de dollars devront réaliser une évaluation des risques agro-environnementaux (tel qu'un plan agro-environnemental) d'ici 2025. Les programmes de GRE demeureront axés sur les risques liés à la production.
Les ministres ont également soutenu qu'il sera important de s'assurer que les efforts pour réduire les émissions liées aux engrais ou à d'autres intrants agricoles ne nuisent pas aux capacités du Canada de contribuer à la sécurité alimentaire au Canada et dans le monde, ni maintenant ni dans l'avenir. Les ministres se sont entendus pour continuer de travailler ensemble et avec la chaîne de valeur pour s'appuyer sur les efforts déjà réalisés par les producteurs pour réduire les émissions liées aux engrais tout en maintenant la compétitivité et la réputation du Canada comme grand producteur de cultures de qualité. Il a aussi été question des consultations que le gouvernement du Canada est en train de tenir pour développer des approches volontaires en vue d'atteindre la cible nationale canadienne de réduire les émissions nettes de GES liées aux engrais de 30% sous les niveaux de 2020 d'ici 2030. Il a été précisé que la cible concerne les émissions et non l'utilisation d'engrais.
Une main‑d'œuvre qualifiée et fiable étant une priorité essentielle pour le secteur, les ministres ont discuté du travail en cours sur une stratégie fédérale, nommée Stratégie nationale sur la main-d'œuvre agricole. Le gouvernement du Canada a lancé des consultations en ligne à la fin juin et elles resteront ouvertes jusqu'au 28 septembre. La stratégie devra être complémentaire aux plans d'action qui sont déjà mis en œuvre par les gouvernements provinciaux et territoriaux, en respect de leurs responsabilités respectives.
Le secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire est confronté à des obstacles différents des autres secteurs économiques actuellement confrontés à des pénuries de main‑d'œuvre. Les ministres se sont concentrés sur les possibilités les plus pertinentes pour le secteur, en tenant compte des nuances provinciales et territoriales.
Plusieurs éléments ont été abordés, dont le recours à l'automatisation et à la technologie, le développement des compétences et la formation ciblés, les incitatifs à l'emploi et les meilleures pratiques, l'amélioration des conditions de travail et des avantages sociaux, ainsi que les initiatives visant à recruter des travailleurs et à les retenir.
Les discussions ont également permis de constater que d'importants efforts des gouvernements et de l'industrie pour répondre aux besoins en main‑d'œuvre sont déjà en cours, ainsi que le besoin continu de collaboration, à tous les niveaux, pour relever ce défi.
Lors de la réunion de cette semaine, les ministres ont assisté à une présentation du comité directeur de l'industrie sur les éléments concrets d'un code de conduite pour les épiceries, et ils ont remercié ce dernier pour le travail important qu'il a accompli en vue de parvenir à un consensus. Les ministres ont réitéré l'importance de la transparence, de la prévisibilité et du respect des principes d'équité dans les relations au sein de la chaîne d'approvisionnement, et ils ont encouragé l'industrie à continuer de travailler avec diligence sur le code de conduite de l'épicerie afin d'en assurer l'achèvement. Les ministres continueront de surveiller de près les progrès et s'attendent à ce que l'industrie mène une consultation avec l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement sur le code proposé au début de l'automne en vue de présenter un code complet d'ici la fin novembre 2022.
La flexibilité réglementaire est essentielle pour promouvoir la reprise, la résilience et la croissance du secteur. En novembre 2021, les ministres FPT de l'Agriculture ont convenu que les solutions en matière de commerce interprovincial devaient être prioritaires dans le Partenariat canadien pour une agriculture durable. Lors de la conférence d'aujourd'hui, les ministres FPT ont discuté du commerce intérieur, y compris de quatre projets pilotes, à la frontière Ontario-Québec, à la frontière Ontario-Manitoba, dans la ville de Lloydminster et dans les établissements Good to Grow en Ontario.
Les ministres ont reconnu qu'au fur et à mesure que progressent les conversations visant à trouver des solutions par l'entremise de projets pilotes, il sera important de continuer à maintenir les normes élevées de salubrité des aliments et la réputation du Canada à l'étranger afin de minimiser les risques liés au commerce international. Il a été convenu que les projets pilotes permettraient de tirer des leçons applicables aux autres provinces intéressées faisant face à des défis similaires.
Les ministres ont soutenu l'approche en cours pour ces projets pilotes et attendent avec impatience de voir des résultats qui contribueront à faire progresser le commerce intérieur.
Les ministres ont discuté des efforts accrus pour empêcher la peste porcine africaine (PPA) d'entrer au Canada et pour se préparer à son introduction éventuelle. Il a été question des leçons apprises lors de la réponse à l'éclosion récente de grippe aviaire. Les gouvernements ont convenu de continuer à collaborer pour améliorer la préparation afin de pouvoir réagir rapidement en cas d'éclosion. Les ministres ont réaffirmé leur engagement à élaborer une approche pertinente, coordonnée et à frais partagés qui aidera le secteur canadien du porc à faire face aux défis anticipés du marché causés par la fermeture des marchés, l'arrêt des exportations et un surplus de porcs au pays si la PPA atteignait le Canada. Les ministres ont également discuté de l'état actuel du développement de Santé animale Canada et des prochaines étapes.
Reconnaissant l'évolution du contexte commercial, qui crée de nouveaux défis et de nouvelles possibilités pour le Canada, les ministres ont discuté des enjeux actuels en matière de commerce et d'accès aux marchés, y compris les derniers développements concernant la situation en Ukraine et les répercussions sur la sécurité alimentaire au Canada et dans le monde. Les ministres ont discuté des moyens de trouver un équilibre entre l'intérêt de maintenir les échanges commerciaux avec des marchés de plus en plus difficiles et la recherche de possibilités de diversification pour le secteur. Les ministres ont aussi discuté de l'impact de la situation en Ukraine sur l'agriculture et sur l'accès aux intrants pour certains producteurs au Canada.
Les ministres ont accueilli des panélistes représentant l'agriculture primaire, la transformation à valeur ajoutée et la recherche pour une discussion sur l'agriculture durable, plus précisément sur ce qu'elle signifie pour eux et sur ce qu'ils font pour la promouvoir.
En outre, une table ronde a été organisée par la Fédération canadienne de l'agriculture, à laquelle ont participé des groupes de producteurs canadiens, sur le thème de l'investissement dans la productivité et la croissance vertes.
SOURCE Agriculture et Agroalimentaire Canada
Marianne Dandurand, Attachée de presse, Cabinet de la ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, [email protected], 343-541-9229; Relations avec les médias, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ottawa (Ontario), 1-866-345-7972, [email protected]
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