Les quatre associations patronales réitèrent leur ferme appui à la hausse des droits de scolarité et à la position gouvernementale.

MONTRÉAL, le 28 mars 2012 /CNW Telbec/ - Devant la réaction négative des étudiants, quant à un dialogue éventuel avec le gouvernement, tel que rapporté dans l'article du Devoir d'aujourd'hui, les quatre associations patronales, la FCCQ, le CPQ, la FCEI et les MEQ (1) tiennent à rappeler leur accord avec la stratégie et la position gouvernementale face à la hausse des droits de scolarité.

Pour ces organisations, la contribution demandée est juste, équitable et nécessaire. Il est malheureux que les étudiants aient choisi, il y a deux ans, de refuser la main tendue par le gouvernement afin de discuter de ces questions. Leur réaction, telle que rapportée aujourd'hui dans les médias, ne peut encourager aucun dialogue.

« Nous estimons que la cessation de la grève et la reconnaissance, par les associations étudiantes, de la nécessité de la hausse des droits au niveau proposé par le gouvernement sont un préalable à tout dialogue avec les associations étudiantes », déclarent les dirigeants des quatre organismes.

«Dans le contexte actuel et compte tenu de la position des étudiants, il est évident que le climat n'est pas au dialogue à très court terme. Le gouvernement n'a d'autre choix que de maintenir sa position. »

1 : Fédération des chambres de commerce du Québec, Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, Conseil du patronat du Québec et Manufacturiers exportateurs du Québec.

Bruno-Serge Boucher
Fédération des chambres de commerce du Québec
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