Les universités métropolitaines ont un impact concret sur la vitalité de Montréal
MONTRÉAL, le 5 oct. 2016 /CNW Telbec/ - L'étude La contribution des universités de la région de Montréal à l'économie du Québec, lancée aujourd'hui par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et Montréal international, illustre de manière concrète l'impact des institutions universitaires sur l'essor de la métropole.
Selon le recteur de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), Robert Proulx, « Montréal et sa région comptent plus de 155 000 étudiantes et étudiants universitaires, dont plus du quart est à l'UQAM. Cette présence significative, à laquelle s'ajoute celle des membres du corps professoral et des employés, a des retombées positives sur la vitalité et la prospérité de la métropole ».
Montréal, ville universitaire
Alors que Montréal s'apprête à célébrer son 375e anniversaire, il est opportun de rappeler sa qualité de grande ville universitaire. L'étude publiée aujourd'hui met en relief ce trait de la métropole. Pouvoir compter sur une relève hautement qualifiée dans un éventail de domaines; prendre appui sur des travaux de pointe en recherche et en création; savoir que des cliniques et d'autres services sont offerts gratuitement ou à faible coût à la population et que des partenariats fructueux sont tissés avec le milieu : voilà ce dont profite Montréal grâce à son pôle universitaire.
Dans une proportion de plus de 75 %, les personnes diplômées de l'UQAM habitent la région métropolitaine. Elles œuvrent principalement dans le secteur de l'enseignement et de l'éducation; le secteur des finances et de l'administration; celui des médias et des communications; et enfin, le secteur des arts et des loisirs, incluant le tourisme. On retrouve les diplômés de l'UQAM chez des employeurs aussi variés que Banque Nationale, Radio-Canada, Bombardier, Moment Factory, Ville de Montréal, Hydro-Québec et Cossette, entre autres. Les emplois qualifiés auxquels accèdent les diplômés universitaires leur procurent de meilleurs revenus ainsi que de meilleures conditions de travail.
En matière d'innovation, qu'elle soit sociale, technologique ou autre, les entreprises québécoises, les organisations du milieu de la santé et des services sociaux, celles du secteur de l'éducation ou de la culture, entre autres, profitent toutes de l'activité des universités. Celles-ci bénéficient également de la connaissance qu'ont ces milieux de leurs propres réalités. À titre d'exemple, des chercheurs de l'UQAM travaillent présentement, en collaboration avec leurs partenaires sur le terrain, à mettre au point des solutions pour faire face à des enjeux d'actualité comme les îlots de chaleur, l'aménagement des infrastructures de transport, la mise en valeur du patrimoine urbain et l'inclusion sociale des personnes LGBTQ.
Enfin, la contribution des universités à la vie culturelle et sportive de la collectivité, mise en relief dans l'étude, trouve une résonance particulière à l'UQAM, où des actions sont menées au quotidien pour renforcer la vocation culturelle du Quartier latin, valoriser les espaces publics et ouvrir des lieux de diffusion aux Montréalaises et aux Montréalais.
«L'UQAM, comme toutes les universités à Montréal, participe activement au dynamisme de la métropole et à celui de la société québécoise dans son ensemble. Il est de toute première importance que le Québec soutienne ses établissements d'enseignement supérieur et place l'éducation au centre de ses priorités », conclut Robert Proulx.
SOURCE Université du Québec à Montréal
Jenny Desrochers, directrice, Division des relations avec la presse et événements spéciaux, Service des communications, Tél. : 514 987-3000, poste 7730, [email protected] , twitter.com/JennyDesrochers; Source: Caroline Tessier, directrice, Service des communications, Tél. : 514 987-3447, [email protected]
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