OTTAWA, le 29 juill. 2016 /CNW/ - Monsieur/Madame,
Entre le 25 février et le 27 juillet 2016, Postmedia a publié neuf articles sur La Légion royale canadienne et sa Direction nationale contenant des informations qui étaient soit erronées, trompeuses ou de quelque manière incomplètes. Or, la Direction nationale s'est engagée à assumer une bonne gouvernance qui tienne compte de principes de pleine transparence et imputabilité. Cela dit, la Légion est on ne peut plus consternée de constater que des informations inexactes continuent de circuler à son sujet et celui de la Direction nationale.
Article après article, nous voyons de façon omniprésente des faussetés véhiculées. Des allégations ont été faites à l'effet que nous imposions des frais de 10 $ pour les vétérans blessés et malades pour qu'ils puissent bénéficier des soins offerts par la toute nouvelle Section spéciale BSO de la Légion - tout simplement faux! On nous accuse par ailleurs d'avoir suspendu un membre préoccupé par le traitement réservé à des vétérans - incomplet et tendancieux! Des insinuations à l'effet que la Direction nationale manquait de transparence financière et d'imputabilité - archi-faux! Il y a tout simplement ici trop d'inexactitudes et de faussetés à corriger dans une seule lettre au rédacteur. C'est pourquoi vous pourrez retrouver sur notre site Web un article exhaustif sur le sujet et nous encourageons tous les Canadiens et Canadiennes à y voir par eux-mêmes et à y obtenir les faits.
La Direction nationale a envoyé des courriels, demandé des entrevues et a même participé à des entrevues avec les médias pour corriger l'information; mais qu'importe, des informations incorrectes persistent à être publiées. Ces articles viennent injustement discréditer la Légion et tout le bon travail que ses membres accomplissent en soutien aux vétérans et aux familles de ces derniers.
La Légion est une organisation démocratique formée de membres - presque 300 000 - qui se portent bénévoles dans plus de 1 400 filiales réparties aux quatre coins du pays. Bien sûr, nous ne sommes pas parfaits! Mais lorsque des problèmes se posent devant nous, nous travaillons pour y remédier. Que ce soit pour examiner et veiller à l'imputabilité et à la transparence, pour renforcer les communications avec nos membres et le grand public, pour être à l'écoute de la génération montante de jeunes vétérans et de leur besoins, pour travailler avec les directions provinciales et les filiales pour que les vétérans aient accès aux programmes et au soutien offerts par la Légion, pour créer une atmosphère chaleureuse et accueillante dans toutes nos filiales, et quoi encore… nous contribuons à faire avancer cette organisation.
À Postmedia nous disons… les faits SVP! Arrêtez vos insinuations et fausses accusations, et revoyez votre code d'éthique. La Légion ne tolérera plus de voir Postmedia écrire de telles bêtises et les autres médias les republier aveuglément, et, ce faisant, ternir la bonne réputation de La Légion royale canadienne.
Les faits SVP! Informez-vous!
Dave Flannigan
Le président national
La Légion royale canadienne
La Légion royale canadienne en a assez des faussetés véhiculées dans les médias
Entre le 25 février et le 27 juillet 2016, Postmedia a publié neuf articles sur La Légion royale canadienne et la Direction nationale contenant des informations qui étaient soit erronées, trompeuses ou de quelque manière incomplètes. L'information publiée dans les médias au cours des derniers mois ne reflète pas fidèlement l'organisation que nous sommes, et, à cet égard, nous tenons à venir ici remettre les pendules à l'heure.
Voici la liste d'articles publiés récemment par Postmedia sur La Légion royale canadienne :
La Direction nationale s'est engagée à assumer une bonne gouvernance qui tienne compte de principes de pleine transparence et imputabilité. Cela dit, la Légion est très consternée de constater que des informations inexactes circulent à son sujet et celui de la Direction nationale. Nous avons d'ailleurs exprimé notre désarroi dans une lettre au rédacteur en chef le 29 juillet 2016. Il y avait tout simplement trop d'inexactitudes et de fausses informations à énumérer et à corriger dans une seule lettre au rédacteur, de sorte que nous avons décidé d'afficher l'article au complet sur notre site Web, et d'encourager les Canadiens et Canadiennes à y voir par eux-mêmes et à y obtenir les faits.
SECTION SPÉCIALE - BSO DE LA LEGION
Renseignements erronés publiés le 7 juin, le 11 juin et le 27 juillet 2016
FAUX : La Légion exige 10 $ des vétérans affectés par le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) et de leur famille pour qu'ils puissent obtenir un soutien de la Section spéciale - Blessures de stress opérationnel (BSO) de la Légion.
LES FAITS : Il n'y a AUCUNS frais imposés par la Légion à quelque vétéran que ce soit (y compris les membres des Forces armées canadiennes (FAC) et de la GRC, en service actif ou à la retraite, ou agents de la paix ayant servi dans une zone de service spécial) ou à leur famille pour accéder aux soins et au soutien offerts par la Section spéciale - BSO de la Légion, ou par tout autre programme offert par le Bureau d'entraide. Tous les programmes et services offerts par la Légion aux vétérans et à leur famille dans le besoin sont gratuits, et nul besoin d'être un membre de la Légion pour y avoir droit.
LES FAITS : La Section spéciale - Blessures de stress opérationnel (BSO) de la Légion, telle que définie dans les statuts de la Légion, opère de la même façon qu'une filiale de la Légion, à savoir qu'elle est autonome, gérée de façon indépendante, et qu'elle administre elle-même son adhésion et voit à générer ses propres revenus et en assurer la bonne gestion. La Section, qui a été ratifiée plus tôt le 12 juin 2016 lors du Congrès national de la Légion, se prête présentement à une révision des arrangements logistiques de la Section, y compris les sources de financement pour ses opérations. Or, dans le cadre de ces discussions, des frais d'adhésion ont été suggérés pour les membres de la Légion qui désireraient devenir membre de la Section spéciale - BSO (tout comme quiconque désirant se joindre à une filiale de la Légion et l'appuyer). Ces frais, semblables à tout autre frais d'adhésion à une filiale ou à une section, viennent soutenir les frais d'opérations.
Renseignements erronés publiés le 11 juin et le 27 juillet 2016
FAUX : La Section spéciale - BSO de la Légion est en conflit avec le Programme de Soutien social - Blessures de stress opérationnel (SSBSO) offert par le gouvernement, à savoir qu'elle utilise son appellation, reproduit ses services et met sur pied la Section sans au préalable en informer le gouvernement.
LES FAITS : La Légion n'utilise pas l'acronyme SSBSO pour représenter la Section spéciale - BSO de la Légion. Toutefois, force est d'admettre que le sigle BSO est le terme le plus utilisé désignant les problèmes englobant les blessures de stress opérationnel et, à cet égard, il est utilisé dans le nom de la section. La Légion utilise d'autre part « Section spéciale » dans l'appellation afin de répondre aux exigences de ses Statuts généraux. Cela dit, et pour ces raisons, la Section a été nommé 'Section spéciale - BSO de la Légion'. Il a par ailleurs été convenu qu'en aucun temps la Section utiliserait le sigle SSBSO. Le nom de 'Section spéciale - BSO de la Légion' sera utilisé dans les documents juridiques; pour tout autre usage, la forme abrégée en français de la 'Section spéciale - BSO de la Légion' sera la « Section BSO de la Légion ».
LES FAITS : La Section BSO de la Légion est une initiative issue de la base, formée de membres et menée par des vétérans. Les membres de cette section verront à sensibiliser les gens au sein de leur communauté, à aiguiller les vétérans et leur familles affectés par des BSO vers le Bureau d'entraide de la Légion, et à rallier leur voix aux efforts de revendication de la Légion.
Renseignements erronés publiés le 11 juin 2016
FAUX : La Section spéciale - BSO de la Légion et la Direction nationale ont refusé d'informer le gouvernement au sujet de la Section spéciale ou même d'en parler.
LES FAITS : La Légion, lors d'une rencontre de son Conseil exécutif national en avril 2016, avait informé le Chef d'état-major de la défense (CEMD) à propos de la Section spéciale - BSO de la Légion. Bien que l'article relate le fait que la Légion n'ait pas répondu aux requêtes des Forces armées canadiennes et du ministère de la Défense nationale (MDN) sur la Section spéciale - BSO de la Légion, la Direction nationale n'a quant à elle jamais été contactée par le MDN ou le gouvernement à propos de la Section BSO.
LES FAITS : Le président intérimaire de la Section BSO de la Légion, M. Glynne Hines, a été invité à commenter sur la section le jour avant que celle-ci ne soit ratifiée lors du Congrès national. M. Hines avait refusé alors de commenter, mais avait accepté de se prêter à une entrevue après la ratification. M. David Pugliese de Postmedia a interviewé M. Glynne Hines le 15 juin 2016, et M. Hines y availt alors clarifié tous les malentendus à propos de la section, y compris les frais de 10 $, mais qu'importe, des informations incorrectes persistent à être publiées.
LES FAITS : M. David Pugliese de Postmedia a demandé une entrevue avec le vice-président intérimaire de la Section BSO de la Légion, M. Craig Hood, le 26 juillet, soit une journée avant la publication d'un autre article cinglant sur la Légion. M. Hood avait accepté l'entrevue, mais M. Pugliese n'a pas effectué de suivi avant la publication de son article, en y allant de questions qui auraient permis de clarifier les enjeux et d'atténuer toute la confusion qui en a résulté.
LES FAITS : M. David Pugliese prétend que la Direction nationale a mentionné sur sa page Facebook que les plus récents articles de Postmedia étaient dans l'erreur, mais que depuis ces commentaires ont été retirés de la page. Or, nous maintenons ce commentaire qui n'a pas été retiré de notre page. Vous pourrez le trouver ici : Facebook comment
TRANSPARENCE FINANCIÈRE
Renseignements erronés publiés le 25 février, le 7 juin, le 11 juin et le 27 juillet 2016
FAUX : De récents articles ont insinué que la Direction nationale manquait de transparence financière, que les cadres supérieurs étaient trop payés, que les dépenses de voyage étaient hors de contrôle, et que l'organisation n'était pas financièrement responsable devant ses membres.
LES FAITS : La Direction nationale est pleinement transparente et responsable, et ce, dans le plus grand respect des obligations juridiques de rendre compte de sa gestion financière, avec l'approbation par les membres de tous les budgets et rapports financiers. Les budgets de la Direction nationale sont approuvés par le Conseil exécutif national, lequel est composé de membres en provenance de chacune des directions provinciales. Le budget annuel (comprenant l'enveloppe salariale et les dépenses de voyage) et les rapports financiers, vérifiés par des auditeurs indépendants, sont ratifiés par les délégués lors du Congrès national. De plus, la Direction nationale affiche sur son site Web ses budgets et ses rapports financiers. Vous trouverez ainsi les rapports financiers à http://www.legion.ca/ressources-des-comites/ sous 'Publications des congrès'. Chacune de nos plus de 1 400 filiales de la Légion reçoit aussi une copie papier de ce rapport intitulé 'Rapports et résolutions des comités'.
LES FAITS : Une résolution demandant que les salaires des cadres supérieurs soient divulgués a été rejetée du fait qu'elle allait à l'encontre de lois canadiennes portant sur le respect de la vie privée. La Direction nationale est toutefois consciente que les attentes accrues du grand public en matière de transparence pourraient l'amener à revoir ses pratiques au fil du temps. Tout au long de cette réflexion sur la meilleure façon de faire, nous devons toutefois nous rappeler que les objectifs de pleine transparence et imputabilité doivent être examinés dans le cadre des exigences des lois applicables sur la protection des renseignements personnels. Or, puisque nous ne sommes pas une organisation fédérale ou que nous ne bénéficions pas d'un financement public, il n'y a aucune loi qui exige la divulgation des salaires. Donc, pour le moment, une divulgation publique des salaires individuels doit être faite d'une façon qui satisfasse pleinement les lois applicables sur la protection des renseignements personnels. L'information sur les salaires ne peut tout simplement pas être « diffusée » de façon unilatérale.
La Direction nationale détermine les salaires de son personnel par l'entremise d'un Comité de la solde, dont fait partie le président national, le trésorier national et les officiers supérieurs élus. Historiquement, les salaires sont régulièrement révisés et comparés aux normes du secteur dans la région d'Ottawa. Les budgets des enveloppes salariales de chaque département sont approuvés par le Conseil Exécutif national - dont l'adhésion comprend un représentant de chaque direction provinciale -, et font partie intégrante du budget annuel de la Légion soumis à la ratification par les membres. L'enveloppe salariale de chaque département est aussi publiée dans le rapport financier annuel.
Il est important de noter que le président national et les officiers supérieurs élus sont des bénévoles qui occupent des postes non rémunérés.
LES FAITS : Des frais de voyage sont prévus chaque année et font partie intégrante du processus budgétaire annuel. Ces budgets sont d'abord soumis à l'approbation de chaque président de comité et des officiers supérieurs élus, avant de recevoir l'approbation finale de notre conseil d'administration, soit le Conseil exécutif national, dont l'adhésion comprend un représentant de chaque direction provinciale. Tous les deux ans, lors du Congrès national, nous soumettons à l'approbation et à la ratification des délégués de la Légion, nos états financiers vérifiés, ainsi que nos prévisions budgétaires pour les prochaines années. Chaque occasion de voyage est passée à la loupe pour en établir le bien-fondé et s'assurer que la visite s'inscrit dans le cadre des opérations de la Légion. Au niveau national, les dépenses de voyages pour les conjoints et la famille ne sont pas couvertes par la Légion, quoique les conjoints puissent accompagner les cadres supérieurs dans leurs déplacements, mais à leurs propres frais. Le financement pour les frais de voyage provient du compte général de la Légion; les Fonds du coquelicot ne sont pas utilisés à cette fin.
UTILISATION DES FONDS DU COQUELICOT
Renseignements erronés publiés le 27 avril 2016
FAUX : Des citations dans un récent article laisse sous-entendre une mauvaise utilisation des Fonds du coquelicot pour soutenir les jeux Invictus qui se tiendront à Toronto en 2017.
LES FAITS : La Légion est fière d'appuyer les Jeux Invictus (éd. 2017) qui se tiendront à Toronto, les raisons étant que ces jeux s'inscrivent dans le cadre de notre mandat en sensibilisant les gens aux problèmes auxquels les vétérans canadiens font face, en apportant un soutien aux vétérans malades et blessés qui participeront aux jeux, et en aidant à dissiper les préjugés associés au fait d'être malade ou blessé
Les fonds alloués à partir des Fonds du coquelicot pour appuyer les Jeux Invictus de 2017 l'ont été de façon appropriée, en vertu de nos statuts, et ont reçu l'approbation unanime de tous les présidents provinciaux représentant chacune des directions provinciales. Ainsi, à l'article 403.ii.l du Manuel du Coquelicot, on peut y lire qu'une direction ou, avec l'approbation préalable d'une direction provinciale), un district, une zone, une filiale ou un groupe de filiales, « peut allouer jusqu'à 25 % du solde actuel du fonds du Coquelicot pour le financement de programmes de transition en lien avec la formation, l'éducation et les besoins en soutien des vétérans. »
Les Jeux Invictus est un organisme enregistré qui appuie la transition des vétérans malades ou blessés. Non seulement l'organisation viendra soutenir quelque 100 vétérans canadiens qui auront une aide grâce à leur participation aux Jeux Invictus 2017, mais encore verrons-nous d'innombrables vétérans blessés et malades à travers ce pays être inspirés à aller de l'avant, et le grand public à être sensibilisé aux défis auxquels les vétérans blessés et malades ont à faire face.
CAMARADE JOAN BEZNOSKI
Renseignements erronés publiés le 7 juin, le 15 juin et le 27 juin 2016
FAUX : La Légion royale canadienne a suspendu un membre de la Légion de longue date pour avoir appelé la Direction nationale dans le but de leur faire part de préoccupations concernant de mauvais traitements à l'endroit de vétérans.
LES FAITS : La cause en question, qui s'est passée à la filiale Lac-du-Bonnet, s'est déroulée sur une période de presque deux années. Or le dossier est un enjeu interne de la filiale même, et relève des dispositions et procédés établis dans nos Statuts généraux. Cela dit, la Direction nationale n'a, en vertu de ces statuts, aucune autorité ni juridiction pour intervenir dans le dossier. Pour ces raisons, les plaintes portées à notre attention par Mme Beznoski ont été redirigées à la filiale.
La Direction nationale n'est pas malheureusement autorisée à divulguer quelque information que ce soit sur les plaintes soumises par Mme Beznoski. Cette dernière peut toutefois les partager si c'est là son désir. Ce que nous pouvons partager avec vous toutefois sont que les plaintes de Mme Beznoski ont trait à des problèmes de comportement entre membres et clients, au processus proprement dit du traitement des plaintes et à de mauvaises interprétations individuelles des statuts. Or, la Direction nationale n'a aucune juridiction sur ce genre de situations. En effet, tout dossier impliquant une plainte contre un autre membre ou un client dans une filiale, doit respecter le processus de traitement des plaintes de la Légion, tel qu'établi dans les statuts. La Direction nationale est entrée en contact avec Mme Beznoski à quatre occasions pour lui expliquer les raisons pour lesquelles nous ne pouvions intervenir dans les questions relevant des filiales, et pour lui fournir de l'information sur la marche à suivre dans le dossier la liant à ses plaintes.
Nous sommes extrêmement désappointés que les récents articles aient laissé supposer que La Légion royale canadienne aurait suspendu un membre pour avoir fait part d'inquiétudes quant à des mauvais traitements infligés à des vétérans. La Direction nationale immanquablement entend répondre à toute allégation liée aux soins et aux avantages dus aux vétérans, et nous sommes engagés à appuyer les directions provinciales et les filiales pour régler tout problème en lien avec les soins à apporter aux vétérans.
OFFICIERS DU BUREAU D'ENTRAIDE
Renseignement erroné publié le 3 mai et le 30 mai 2016
FAUX : De récents articles laissent sous-entendre qu'il y a présentement des accès non autorisés aux dossiers confidentiels des vétérans par le personnel de la Légion.
LES FAITS : Le Bureau d'entraide de la Légion et les officiers d'entraide de direction respectent pleinement les processus et les procédures établis par Anciens Combattants Canada (ACC). La Légion apporte son aide aux vétérans - y compris les membres de la GRC en service actif ou à la retraite - et à leur famille, pour les accompagner pendant le processus, parfois complexe, de demande de prestation d'invalidité auprès d'ACC. Afin de pouvoir accomplir cet important travail, ACC s'est entendu avec la Légion, dans le cadre d'un protocole d'entente (PE), pour approuver la divulgation d'informations liées aux vétérans, à condition que la Légion s'engage à utiliser cette information dans le seul but du mandat de représentation qu'elle se voit confier par les vétérans. De plus, une autorisation dûment signée doit d'abord et avant tout être obtenue pour pouvoir accéder à tout dossier personnel. Voilà plusieurs années déjà, la Légion avait constaté un accès non autorisé au Réseau de prestation des services aux clients (RPSC), suite à quoi des mesures correctives avaient immédiatement été prises. Il n'y a eu depuis aucune plainte qui s'est avérée fondée.
Pour ce qui est de la mention dans l'article d'une enquête menée par le Commissariat à la protection de la vie privée (CPVP) en lien avec un accès non autorisé, et bien que la Légion n'ait pas été contactée par le CPVP, ACC nous a par contre contacté et nous lui avons fourni toute l'information demandée. Cela dit, nous sommes confiants que nos officiers d'entraide de direction ont agi correctement en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels et qu'aucun cas d'atteinte à la vie privée ne sera identifié.
Tous les officiers d'entraide de direction ont fait l'objet d'une enquête de sécurité de la part d'ACC pour avoir accès au RPSC, détiennent d'autre part une autorisation signée leur donnant droit de représenter leur client, et voient leur accès contrôlé et surveillé par ACC. La responsabilité de protéger la vie privée et la confidentialité de nos vétérans et de leur famille est de la plus haute importance pour les officiers d'entraide de la Légion qui, à cet égard, respectent les exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Bon an mal an, la Légion vient en aide en moyenne à quelque 3 200 vétérans dans leur demande de prestation d'invalidité.
À propos de la Légion
La Légion royale canadienne est organisation démocratique formée de membres, à but non lucratif, et dont la mission de venir en aide aux vétérans, y compris les membres en service actif des Forces armées canadiennes et de la GRC, et leur famille, de promouvoir le Souvenir, et d'être au service de nos collectivités et de notre pays.
Dans le cadre de son mandat, le Bureau d'entraide de la Légion offre un appui, des programmes et un service de représentation à toute personne qui est en service ou qui a servi honorablement :
Ces services leurs sont offerts tout à fait gratuitement, et être membre de la Légion ne constitue pas une condition préalable pour y avoir droit.
SOURCE Légion royale canadienne
Bas de vignette : "LOGO : La Légion royale canadienne (Groupe CNW/Légion royale canadienne)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20160803_C6147_PHOTO_FR_746967.jpg
Pour toute question ou requête médiatique, veuillez contacter M. Bruce Poulin à la Direction nationale, au 613‑292‑8760 ou à [email protected].
Partager cet article