Lettre ouverte publiée au nom d'Alpine Canada Alpin (« ACA ») dans l'affaire de l'ancien entraîneur de ski Bertrand Charest English
CALGARY, le 27 févr. 2017 /CNW Telbec/ - ACA souhaite en premier lieu souligner le courage qu'ont eu ces anciens athlètes à dénoncer afin que le dossier puisse être porté devant les tribunaux. Il ne peut être toléré ni dans le sport ni dans la société en général un individu qui abuse de ses pouvoirs d'autorité et de la confiance comme celle qui existe dans la relation entre un athlète et un entraîneur.
Notre principale préoccupation chez ACA demeure nos athlètes et nous devons nous assurer qu'ils puissent s'entraîner et courser dans un climat de sécurité et de soutien. Le Conseil d'administration et le personnel d'ACA traitent toutes les allégations de la nature de celles décrites dans les plus récentes parutions médiatiques avec le plus grand des sérieux.
ACA adhère à un code de conduite et à des normes éthiques strictes afin de gérer les comportements de ses entraîneurs, officiels et autres membres de son personnel dans le but de protéger nos athlètes et les participants. Nous possédons une politique de tolérance zéro quant à toute forme d'abus. Nous considérons que tous les abus, quels qu'ils soient, sont inacceptables et intolérables et nous faisons tout en notre pouvoir pour les éradiquer et les prévenir.
Tous les entraîneurs à l'embauche d'ACA font l'objet d'une vérification de leurs antécédents judiciaires et doivent adhérer à un code de conduite des entraîneurs qui prohibe toute forme de harcèlement ou d'abus envers tout athlète au sein de notre organisation.
ACA a offert son entière collaboration à l'enquête de la GRC dans la présente affaire qui a débuté en 1998. Nous ne connaissons pas les conclusions de cette enquête.
ACA continuera de coopérer avec les autorités responsables afin de s'assurer que tous les faits allégués relativement aux événements en cause soient déterminés et pris en compte.
ACA s'abstiendra de faire d'autres commentaires dans cette affaire pour le moment puisque le dossier est toujours devant les tribunaux.
SOURCE Canada Alpin
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