- Des bénéfices pour l'ensemble de l'exercice de 2,2 milliards de dollars, incluant les gains sur les ventes d'actifs de vente au détail de 1,7 milliard de dollars.
- Une augmentation de la production annuelle de tous les principaux actifs du secteur Amont; un niveau record de production de liquides.
- Le meilleur rendement en matière de sécurité, d'intégrité des opérations et d'environnement.
CALGARY, le 31 janv. 2017 /CNW/ -
Quatrième trimestre |
12 mois |
||||||||
(en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire) |
2016 |
2015 |
% |
2016 |
2015 |
% |
|||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
1 444 |
102 |
1 316 |
2 165 |
1 122 |
93 |
|||
Bénéfice (perte) net par action ordinaire |
1,70 |
0,12 |
1 316 |
2,55 |
1,32 |
93 |
|||
- compte tenu d'une dilution (en dollars) |
|||||||||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
213 |
584 |
(64) |
1 161 |
3 595 |
(68) |
|||
Les bénéfices estimés pour l'année 2016 étaient de 2 165 M$ contre 1 122 M$ en 2015, reflétant un gain de 1,7 milliard de dollars provenant de la vente de sites de vente au détail et de la capacité de l'entreprise à produire des résultats dans le contexte actuel du cours du pétrole brut.
« Les résultats de cette année démontrent un fort rendement d'exploitation dans tous les secteurs d'activité et une attention soutenue sur ce que nous pouvons contrôler, » a déclaré Rich Kruger, président du conseil, président et chef de la direction. « Notre discipline en matière de capitaux et notre état d'esprit orienté vers l'efficacité, associés à la vente d'actifs stratégiques, nous ont conduits à réaliser des améliorations durables et à renforcer l'entreprise pour l'avenir. »
L'une des grandes réalisations en 2016 a été la vente des 500 derniers sites de vente au détail possédés par Esso à cinq distributeurs de carburant opérant selon le modèle d'exploitation de grossistes sous marque. L'Impériale continuera d'investir dans l'innovation de produits, le marketing de pointe et les programmes de fidélisation, tout en s'appuyant sur le savoir-faire opérationnel de ses distributeurs dans le but d'accroître la présence de la marque Esso dans le marché hautement concurrentiel des carburants.
L'Impériale a réalisé une croissance annuelle de la production dans l'ensemble de ses principaux actifs du secteur Amont, avec un total de production de liquides atteignant le plus haut niveau de l'histoire de la compagnie. Le quatrième trimestre de production de Syncrude correspond à son précédent sommet record, ce qui reflète les efforts continus déployés pour améliorer la fiabilité des actifs. Bien que le rendement financier ait continué d'être touché par la faiblesse du cours du pétrole brut, les bénéfices du secteur Amont du quatrième trimestre de la compagnie sont la preuve de sa capacité à s'adapter au contexte commercial actuel. L'Impériale a continué à faire preuve de discipline avec les coûts d'exploitation et d'immobilisation, représentés par une réduction de 1,3 milliard de dollars en 2016 par rapport aux plans antérieurs. Les coûts unitaires décaissés en Amont ont été 10 pour cent plus bas sur douze mois.
L'Impériale a amélioré sa capacité à continuer à mener l'industrie vers l'innovation en matière de sables bitumineux avec l'ouverture de son Centre de recherche ultramoderne de Calgary. Ce centre accueille une équipe de chercheurs consacrés exclusivement à la recherche de percées technologiques qui produiront des avantages considérables pour l'environnement et des améliorations de la rentabilité.
« En dernier lieu, 2016 a été marquée par notre meilleure performance en matière de sécurité et d'environnement », a ajouté Kruger. « Nous avons enregistré notre plus petit nombre de déversements de pétrole, d'incidents de conformité et de blessures reliées à la sécurité au travail de toute l'histoire de la compagnie. En ce qui concerne l'avenir, l'Impériale demeurera résolument axée sur la sécurité, l'intégrité opérationnelle, la fiabilité et la rentabilité. »
Faits saillants du quatrième trimestre
- Le bénéfice net a été de 1 444 M$, ou 1,70 $ par action, sur une base diluée, en hausse par rapport au bénéfice net de 102 M$, ou 0,12 $ par action, au quatrième trimestre de 2015. Les résultats du quatrième trimestre de 2016 comprennent un gain de 988 M$ (1,16 $ par action) provenant de la vente des sites de vente au détail.
- La production s'est établie en moyenne à 399 000 barils d'équivalent pétrole brut par jour, contre 400 000 barils par jour au cours de la même période en 2015. La production de 87 000 barils par jour de Syncrude (la part de l'Impériale), correspond à sa meilleure performance trimestrielle, ce qui reflète la poursuite des efforts visant à améliorer la fiabilité de l'actif.
- Le débit moyen des raffineries était de 401 000 barils par jour, en hausse par rapport à 390 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2015. Le débit accru est attribuable à l'augmentation des ventes de produits raffinés dans le quatrième trimestre de 2016. L'utilisation de la capacité de raffinage est restée élevée à 95 pour cent, une augmentation de 2 pour cent par rapport à la même période en 2015.
- Les ventes de produits pétroliers ont été de 493 000 barils par jour, en hausse par rapport à 467 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2015. La croissance des ventes est principalement attribuable à l'accent mis par la compagnie sur l'établissement d'ententes d'approvisionnement à long terme avec d'importants partenaires.
- La vente des derniers sites de vente au détail possédés par Esso a été effectuée comme prévu, entraînant un gain de près de 1 milliard de dollars pour le trimestre et de 1,7 milliard de dollars pour l'année. Environ 500 sites ont été convertis avec succès en distributeurs de marque Esso à la fin de l'année. L'Impériale continue de fournir des programmes de commercialisation ainsi que du carburant Synergie aux sites d'Esso à l'échelle du pays.
- La vente des activités d'aviation générale a été effectuée comme prévu, entraînant un gain de 134 M$. La vente a transféré la propriété des actifs, y compris l'équipement de ravitaillement mobile, les bâtiments et les installations de stockage de carburant, tout en conservant les ententes d'approvisionnement de carburants avec 34 aéroports du Canada. L'Impériale continue d'exploiter ses activités d'aviation commerciale dans 11 aéroports majeurs.
- Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 751 M$, en hausse de 346 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2015.
- Le produit de la vente d'actifs s'est chiffré à près de 1,8 milliard de dollars, avant impôts, en raison de la vente des sites de vente au détail et des activités de l'aviation générale.
- La dette totale a été réduite de 2,1 milliards de dollars pour se chiffrer à 5,2 milliards de dollars, renforçant davantage le bilan de l'Impériale et augmentant sa marge de manœuvre financière.
- Les dépenses en immobilisations et frais d'exploration ont totalisé 213 M$, soit une baisse de 371 M$ par rapport au quatrième trimestre de 2015. La réduction s'explique par l'achèvement d'importants projets de croissance du secteur Amont et par l'examen accru des investissements discrétionnaires de l'Impériale.
- Nous avons accompli notre meilleur rendement en matière de sécurité et d'environnement à vie en 2016. La réduction du nombre et de la gravité des incidents reflète la priorité commerciale accordée par l'impériale à l'intégrité des opérations ainsi que ses efforts continus pour offrir un milieu de travail où personne ne se blesse.
- Les employés déménagent au Centre de recherche de Calgary à Quarry Park, un centre ultramoderne axé sur l'innovation en matière d'exploitation des sables bitumineux et la technologie. L'édifice de 40 000 pieds carrés, qui accueille une variété d'espaces fonctionnels et adaptables de laboratoire, a été achevé plus tôt que prévu et à un moindre coût que prévu, et continuera d'assurer le rôle de meneur de l'Impériale dans la technologie des sables bitumineux.
- Le renouvellement du partenariat de premier ordre avec Hockey Canada, prolongeant l'engagement de l'entreprise jusqu'en 2023. Le nom Esso a été synonyme de hockey depuis plus de 80 ans, y compris plus de 30 ans en tant que principal commanditaire de Hockey Canada. Le soutien de l'Impériale se concentre à la fois sur la croissance du hockey à l'échelle du pays et sur la facilitation de la participation, tant au niveau communautaire qu'au niveau amateur.
Comparaison des quatrièmes trimestres de 2016 et de 2015
Le bénéfice net de la compagnie au quatrième trimestre de 2016 a été de 1 444 M$ ou 1,70 $ par action sur une base diluée, comparativement à 102 M$ ou 0,12 $ par action pour la même période de l'année dernière. Les résultats du quatrième trimestre de 2016 ont compris un gain de 988 M$ (1,16 $ par action) provenant de la vente des sites de vente au détail.
Le secteur Amont a enregistré un bénéfice net de 103 M$ au cours du quatrième trimestre, contre une perte nette de 289 M$ pour la même période en 2015. Les bénéfices du quatrième trimestre de 2016 reflètent l'impact de l'augmentation des prix obtenus pour le pétrole brut au Canada d'environ 280 M$ et la hausse des volumes de Syncrude d'environ 110 M$.
West Texas Intermediate (WTI) s'est établi en moyenne à 49,34 USD par baril au quatrième trimestre de 2016, une hausse par rapport à 42,08 USD par baril au cours du même trimestre de 2015. Western Canada Select (WCS) s'est établi en moyenne à 34,87 USD par baril, contre 27,69 USD par baril pour les mêmes périodes. Le différentiel entre WTI et WCS s'est creusé à 29 % au quatrième trimestre de 2016, comparativement à 34 % pour la même période en 2015.
Le dollar canadien atteignait en moyenne 0,75 USD au quatrième trimestre de 2016 et est demeuré essentiellement inchangé par rapport à la même période de 2015.
Les réalisations moyennes de l'Impériale en dollars canadiens pour le bitume et le pétrole brut synthétique ont augmenté de manière essentiellement conforme aux références nord-américaines, ajustées en fonction des coûts du transport. Le prix moyen obtenu pour le bitume s'est élevé à 34,66 $ par baril pour le quatrième trimestre de 2016, soit une augmentation de 11,84 $ par baril par rapport au quatrième trimestre de 2015. Le prix moyen obtenu pour le pétrole brut synthétique était de 64,85 $ par baril, soit une augmentation de 8,29 $ pour la même période en 2015.
La production brute de bitume de Cold Lake s'est élevée en moyenne à 159 000 barils par jour au quatrième trimestre, une hausse par rapport à 155 000 barils par jour pour la même période de l'exercice précédent, principalement en raison de la cadence des cycles à vapeur.
La production moyenne brute de bitume à Kearl s'est établie à 169 000 barils par jour au cours du quatrième trimestre (la part de l'Impériale se chiffrant à 120 000 barils), contre 203 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 144 000 barils) lors du quatrième trimestre de 2015. La baisse de production était le résultat d'activités de maintenance prévues et imprévues.
La quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude s'est élevée à 87 000 barils par jour, rejoignant ainsi son plus haut niveau historique, une hausse par rapport à 64 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2015. L'accroissement de la production reflète la poursuite des efforts visant à améliorer la fiabilité des opérations.
Les bénéfices nets du secteur Aval étaient de 1 361 M$ dans le quatrième trimestre, contre 352 M$ pour la même période en 2015. Les bénéfices ont augmenté principalement en raison d'un gain de 1 122 M$ provenant de la vente des sites de vente au détail et des activités d'aviation générale, l'amélioration de l'exploitation des raffineries d'environ 50 M$, partiellement contrebalancé par la baisse des marges bénéficiaires dans le secteur Aval d'environ 120 M$.
Le débit moyen des raffineries était de 401 000 barils par jour, une hausse par rapport à 390 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2015. Le débit accru est attribuable à l'augmentation des ventes de produits raffinés dans le quatrième trimestre de 2016.
Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 493 000 barils par jour, une hausse par rapport à 467 000 barils par jour au quatrième trimestre de 2015. La croissance des ventes est principalement attribuable à l'accent mis par la compagnie sur l'établissement d'ententes d'approvisionnement à long terme.
Le bénéfice net tiré des produits chimiques s'est chiffré à 27 M$ au quatrième trimestre, comparativement à 74 M$ au même trimestre de 2015, principalement en raison de l'affaiblissement des marges bénéficiaires dans toutes les principales gammes de produits et des volumes inférieurs.
Dans le calcul du bénéfice net, les comptes de compagnie et non sectoriels ont affiché un solde négatif de 47 M$ au quatrième trimestre, comparativement à un solde négatif de 35 M$ pour la période correspondante de 2015.
Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 751 M$ au quatrième trimestre, comparativement à 405 M$ pour la période correspondante de 2015, ce qui tient compte de l'augmentation des revenus, en excluant les gains sur la vente des sites de vente au détail, et des activités d'aviation générale.
Les activités d'investissement ont généré des flux nets de trésorerie de 1 597 M$ au quatrième trimestre, comparativement à des flux de trésorerie de 539 M$ utilisés pour les activités d'investissement pendant la même période de 2015, reflétant le produit de la vente d'actifs en 2016 et l'achèvement d'importants projets de croissance du secteur Amont.
Les liquidités affectées aux activités de financement étaient de 2 205 M$ au cours du quatrième trimestre, contre 29 M$ au cours du quatrième trimestre de 2015. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et au produit de la vente d'actifs ont été principalement utilisés dans le quatrième trimestre de 2016 pour réduire l'encours de la dette. Les dividendes payés au cours du quatrième trimestre de 2016 étaient de 128 M$. Les dividendes par action versés au quatrième trimestre se sont élevés à 0,15 $, une hausse par rapport à 0,14 $ pour la période correspondante de 2015.
Le solde de trésorerie s'élevait à 391 M$ au 31 décembre 2016, comparativement à 203 M$ à la fin du quatrième trimestre de 2015.
Faits saillants pour l'exercice financier
- Le bénéfice net s'est élevé à 2 165 M$, une augmentation par rapport au bénéfice net de 1 122 M$ au cours de l'exercice précédent.
- Le bénéfice net par action sur une base diluée a été de 2,55 $, une hausse par rapport au bénéfice net par action ordinaire de 1,32 $ en 2015.
- Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 2 015 M$, comparativement à 2 167 M$ en 2015.
- Les dépenses en immobilisations et frais d'exploration ont totalisé 1 161 M$. En 2017, on s'attend à des dépenses en immobilisations d'environ 1 milliard de dollars.
- La moyenne de la production de pétrole brut équivalent a été de 386 000 barils par jour, soit une hausse de 5 % par rapport aux 366 000 barils par jour en 2015.
- Le débit moyen des raffineries était de 362 000 barils par jour, par rapport à 386 000 barils par jour en 2015.
- Les dividendes par action déclarés depuis le début de l'exercice se sont élevés à 0,59 $, en hausse de 0,05 $ par action par rapport à 2015.
Comparaison des exercices complets de 2016 et de 2015
Le bénéfice net en 2016 a été de 2 165 M$, ou 2,55 $ par action sur une base diluée, en incluant un gain de 1,7 milliard de dollars (2,01 $ par action) provenant de la vente des sites de vente au détail, par rapport à un bénéfice net de 1 122 M$ ou 1,32 $ par action en 2015.
Le secteur Amont a enregistré une perte nette de 661 millions $ en 2016, comparativement à une perte nette de 704 millions $ en 2015. La perte enregistrée en 2016 a reflété une baisse en matière de réalisations d'environ 700 M$, l'impact des feux de forêt au Nord de l'Alberta à hauteur de 155 M$ et l'augmentation de la dépense d'amortissement d'environ 120 M$. Ces facteurs ont été partiellement compensés par les volumes plus élevés d'environ 320 M$, l'effet de la faiblesse du dollar canadien d'environ 130 M$, l'effet favorable de la baisse des redevances d'environ 80 M$, les frais d'exploitation plus bas d'environ 80 M$, et la baisse de coûts de l'énergie d'environ 50 M$. La perte en 2015 reflète l'impact associé à l'augmentation de 327 M$ de l'impôt sur le revenu des sociétés en Alberta.
La valeur moyenne de West Texas Intermediate s'est établie à 43,44 $ USD par baril en 2016, une baisse par rapport à 48,83 $ USD par baril en 2015. Western Canada Select s'est établi en moyenne à 29,49 USD par baril, contre 35,34 USD par baril pour les mêmes périodes. Le différentiel WTI et WCS s'est élargi à 32 pour cent en 2016, contre 28 % en 2015.
Le dollar canadien atteignait en moyenne 0,75 $ USD en 2016, soit une baisse de 0,03 $ USD par rapport à 2015.
Les réalisations moyennes de l'Impériale en dollars canadiens pour le bitume et le pétrole brut synthétique ont reculé de manière essentiellement conforme aux références nord-américaines, ajustées en fonction des variations du taux de change et des coûts du transport. Le prix moyen obtenu pour le bitume s'est établi en moyenne à 26,52 $ pour 2016, soit une diminution de 5,96 $ par baril par rapport à 2015. Le prix moyen obtenu pour le pétrole brut synthétique était de 57,12 $ par baril, soit une baisse de 4,21 $ par baril par rapport à la même période en 2015.
La production brute de bitume de Cold Lake s'est élevée en moyenne à 161 000 barils par jour en 2016, une hausse par rapport à 158 000 barils par jour en 2015.
La production moyenne brute de bitume à Kearl s'est établie à 169 000 barils par jour en 2016 (la part de l'Impériale se chiffrant à 120 000 barils), contre 152 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 108 000 barils) en 2015. L'augmentation a été le résultat du lancement du projet d'expansion.
Au cours de 2016, la quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude s'est élevée en moyenne à 68 000 barils par jour, une hausse par rapport à 62 000 barils par jour en 2015. L'accroissement de la production reflète la poursuite des efforts visant à améliorer la fiabilité des opérations, ce qui a largement compensé l'impact des feux de forêt de l'Alberta.
Le bénéfice net du secteur Aval s'est établi à 2 754 M$, une hausse par rapport à 1 586 M$ en 2015. Les bénéfices ont augmenté principalement en raison d'un gain de 1 841 M$ provenant de la vente des sites de vente au détail et des activités d'aviation générale, de l'impact de la faiblesse du dollar canadien d'environ 130 M$, des volumes de ventes plus élevées obtenues grâce à la commercialisation d'environ 50 M$, partiellement contrebalancé par la baisse d'environ 910 M$ des marges bénéficiaires dans le secteur Aval.
Le débit moyen des raffineries a été de 362 000 barils par jour en 2016, comparativement à 386 000 barils par jour en 2015. L'utilisation de la capacité a diminué à 86 pour cent par rapport à 92 pour cent en 2015, reflétant la plus grande portée des activités de remise en état et d'entretien dans l'année en cours.
Les ventes de produits pétroliers ont été de 484 000 barils par jour en 2016, en hausse par rapport à 478 000 barils par jour en 2015. La croissance des ventes est attribuable à l'accent mis par la compagnie sur l'établissement d'ententes d'approvisionnement à long terme.
Le bénéfice net tiré des produits chimiques s'est chiffré à 187 M$, contre 287 M$ en 2015, principalement en raison de l'affaiblissement des marges bénéficiaires dans toutes les principales gammes de produits et des volumes inférieurs.
En 2016, le calcul du bénéfice net des comptes de compagnie et non sectoriels ont affiché un solde négatif de 115 M$, comparativement à un solde négatif de 47 M$ en 2015, principalement en raison de la hausse des charges liées à la rémunération à base d'actions, à l'absence de l'impact provenant de l'augmentation de l'impôt sur le revenu de l'Alberta en 2015 et des intérêts capitalisés plus bas.
Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 2 015 M$ en 2016, comparativement à 2 167 M$ en 2015, compte tenu de la baisse des revenus, en excluant le gain sur la vente des sites de vente au détail et des activités d'aviation générale.
Les activités d'investissement ont généré des flux nets de trésorerie de 1 947 M$ en 2016, comparativement aux flux de trésorerie de 2 884 M$ utilisés pour les activités d'investissement en 2015, reflétant le produit de la vente d'actifs et l'achèvement d'importants projets de croissance du secteur Amont.
Les flux de trésorerie utilisés lors d'activités de financement ont été de 3 774 M$ en 2016, comparativement aux flux de trésorerie provenant d'activités de financement de 705 M$ en 2015. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et le produit de la vente d'actifs ont été utilisés pour réduire l'encours de la dette. Les dividendes versés en 2016 ont été de 492 M$. Le dividende versé par action a été de 0,58 $, une hausse par rapport à 0,53 $ en 2015.
Réserves de pétrole et de gaz
Comme divulgué dans le formulaire 10-K 2015 et mis à jour par la suite dans le formulaire10-Q du troisième trimestre 2016 de l'Impériale, les faibles cours du pétrole brut et du gaz naturel peuvent avoir un impact sur les réserves de l'impériale tel qu'il est mentionné en vertu des règles de la Commission des valeurs mobilières des États-Unis (SEC). La moyenne des cours du pétrole brut en 2016 a été touchée de manière significative par la faiblesse des cours du premier trimestre de 2016, mais s'est redressée considérablement depuis ce temps. En vertu de la définition de réserves prouvées de la SEC, certaines quantités de pétrole, associées à l'exploitation des sables bitumineux de Kearl et de Cold Lake ne seront pas considérés comme des réserves prouvées à la fin de l'année 2016. Les quantités estimées qui devront perdre leur statut de réserve prouvée selon les critères de la SEC s'élèvent à environ 2,6 milliards de barils de bitume à Kearl et environ 0,2 milliard de barils à Cold Lake. Les montants définitifs font encore l'objet d'un examen par la direction et seront divulgués au moyen du formulaire 10-K 2016. Parmi les facteurs qui pourraient donner lieu au comptage de ces réserves comme réserves prouvées à une date ultérieure sont un redressement du niveau moyen des cours, une nouvelle baisse des coûts, et/ou l'efficacité de l'exploitation. Selon les termes de régimes de redevances gouvernementales, une réduction des cours peut également conduire à une augmentation des réserves prouvées de l'Impériale. La compagnie ne s'attend pas à ce que le comptage des réserves prouvées déclarées en vertu des définitions de la SEC n'affecte les opérations de projets sous‑jacents ou ne modifie nos perspectives pour les volumes de production.
Les informations sur l'Imperial requises aux termes de la Norme canadienne 51-101F1, Déclaration des données sur les réserves et autres informations sur le pétrole et le gaz, sont fournies selon un processus distinct, tel qu'il est ordonné par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières. La société ne mettra pas en œuvre la perte de statut de réserve prouvée de Kearl Lake et de Cold Lake en vertu de ces règles canadiennes.
Des données financières et d'exploitation clés suivent.
Énoncés prospectifs
Les énoncés contenus dans le présent rapport qui sont liés à des situations ou des événements futurs y compris les prévisions, les objectifs, les attentes, les estimations et les plans d'affaires sont des énoncés prévisionnels. Les futurs résultats financiers et d'exploitation réels, y compris la croissance de la demande et la combinaison de sources énergétiques; la croissance et la répartition de la production; les plans, les dates, les coûts et les capacités des projets; les taux de production; la durée de production et la récupération des ressources; les économies de coûts; les ventes de produits; les sources de financement; et les dépenses reliées aux immobilisations et à l'environnement sont susceptibles d'être substantiellement différents en raison d'un certain nombre de facteurs, comme les fluctuations de l'offre et de la demande de pétrole brut, de gaz naturel et de produits pétroliers et pétrochimiques, et des prix et des impacts des marges qui en découlent; les restrictions en matière de transport pour accéder aux marchés, les évènements politiques ou l'évolution de la réglementation, y compris des changements apportés aux lois et aux politiques gouvernementales; les taux de redevance applicables et les lois fiscales; l'obtention en temps opportun de l'approbation des organismes de réglementation et de tierces parties; l'opposition de tiers à des opérations et projets; les risques environnementaux inhérents aux activités d'exploration et de production pétrolière et gazière; la réglementation environnementale, y compris les restrictions en matière de changements climatiques et d'émissions de gaz à effet de serre; les taux de change actuels; la disponibilité et l'allocation de capitaux; le rendement de tiers fournisseurs de services; les interruptions opérationnelles imprévues; l'efficacité de gestion, les négociations commerciales, la gestion de projet et des échéanciers; les développements technologiques inattendus; les dangers et risques opérationnels; la planification préalable aux catastrophes ; la capacité de développer ou d'acquérir de nouvelles réserves; et d'autres facteurs analysés sous la rubrique 1A du formulaire 10-K le plus récent de l'Impériale. Les énoncés prévisionnels ne garantissent pas le rendement futur et comportent un certain nombre de risques et d'incertitudes, qui sont parfois similaires à ceux d'autres entreprises pétrolières et gazières, parfois exclusifs à l'Impériale. Les résultats réels de l'Impériale peuvent être sensiblement différents des résultats implicites ou explicites selon les énoncés prévisionnels, et les lecteurs sont priés de ne pas s'y fier aveuglément. L'Impériale ne s'engage aucunement à publier une mise à jour de toute révision des prévisions contenues aux présentes, sauf si la loi l'exige.
Le terme « projet » tel qu'il est utilisé dans ce rapport peut renvoyer à toute une gamme d'activités différentes et n'a pas nécessairement le même sens que celui qu'on lui donne dans les rapports sur la transparence des paiements au gouvernement.
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||
Annexe I |
|||||||
Quatrième trimestre |
Exercice |
||||||
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire |
2016 |
2015 |
2016 |
2015 |
|||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
|||||||
Total des produits et des autres revenus |
8 442 |
6 229 |
27 354 |
26 888 |
|||
Total des dépenses |
6 779 |
6 100 |
24 910 |
24 965 |
|||
Bénéfice (perte) avant impôts |
1 663 |
129 |
2 444 |
1 923 |
|||
Impôts |
219 |
27 |
279 |
801 |
|||
Bénéfice (perte) net |
1 444 |
102 |
2 165 |
1 122 |
|||
Bénéfice (perte) net par action ordinaire (dollars) |
1,70 |
0,12 |
2,55 |
1,32 |
|||
Bénéfice (perte) net par action ordinaire - compte tenu d'une |
1,70 |
0,12 |
2,55 |
1,32 |
|||
Autres données financières |
|||||||
Taxe d'accise fédérale comprise dans les produits d'exploitation |
413 |
388 |
1 650 |
1 568 |
|||
Gain (perte) à la vente d'actifs, après impôts |
1 100 |
14 |
1 908 |
79 |
|||
Total de l'actif au 31 décembre |
41 654 |
43 170 |
|||||
Total du passif au 31 décembre |
5 234 |
8 516 |
|||||
Couverture des intérêts par le bénéfice (nombre de fois couverts) |
21,2 |
19,8 |
|||||
Autres obligations à long terme au 31 décembre |
3 656 |
3 597 |
|||||
Capitaux propres au 31 décembre |
25 021 |
23 425 |
|||||
Capital engagés au 31 décembre |
30 272 |
31 959 |
|||||
Rendement des capitaux utilisés moyens (en pourcentage) (a) |
7,1 |
3,8 |
|||||
Dividendes déclarés sur les actions ordinaires |
|||||||
Total |
127 |
119 |
500 |
458 |
|||
Par action ordinaire (dollars) |
0,15 |
0,14 |
0,59 |
0,54 |
|||
Millions d'actions ordinaires en circulation |
|||||||
Au 31 décembre |
847,6 |
847,6 |
|||||
Moyenne - compte tenu d'une dilution |
850,2 |
850,2 |
850,5 |
850,6 |
|||
(a) |
Le rendement sur les capitaux employés est constitué du bénéfice net annuel du secteur d'activité excluant les coûts |
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||||
Annexe II |
|||||||||
Quatrième trimestre |
Exercice |
||||||||
en millions de dollars canadiens |
2016 |
2015 |
2016 |
2015 |
|||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période |
391 |
203 |
391 |
203 |
|||||
Bénéfice (perte) net |
1 444 |
102 |
2 165 |
1 122 |
|||||
Ajustements relatifs aux éléments hors trésorerie : |
|||||||||
Dépréciation et épuisement |
399 |
398 |
1 628 |
1 450 |
|||||
(Gain) perte à la vente d'actifs |
(1 292) |
(17) |
(2 244) |
(97) |
|||||
Dépréciation de l'inventaire à la valeur marchande |
- |
59 |
- |
59 |
|||||
Impôts sur les bénéfices reportés et autres |
79 |
9 |
114 |
367 |
|||||
Variations de l'actif et du passif d'exploitation : |
121 |
(146) |
352 |
(734) |
|||||
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation |
751 |
405 |
2 015 |
2 167 |
|||||
Flux de trésorerie liés aux activités d'investissement |
1 597 |
(539) |
1 947 |
(2 884) |
|||||
Produits associés à la vente d'actifs |
1 777 |
24 |
3 021 |
142 |
|||||
Flux de trésorerie liés aux activités de financement |
(2 205) |
(29) |
(3 774) |
705 |
|||||
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||
Annexe III |
|||||||
Quatrième trimestre |
Exercice |
||||||
en millions de dollars canadiens |
2016 |
2015 |
2016 |
2015 |
|||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
|||||||
Secteur Amont |
103 |
(289) |
(661) |
(704) |
|||
Secteur Aval |
1 361 |
352 |
2 754 |
1 586 |
|||
Produits chimiques |
27 |
74 |
187 |
287 |
|||
Comptes non sectoriels et autres |
(47) |
(35) |
(115) |
(47) |
|||
Bénéfice (perte) net |
1 444 |
102 |
2 165 |
1 122 |
|||
Revenus et autres produits |
|||||||
Secteur Amont |
2 483 |
1 874 |
7 720 |
8 284 |
|||
Secteur Aval |
6 718 |
4 882 |
21 796 |
20 919 |
|||
Produits chimiques |
303 |
336 |
1 258 |
1 418 |
|||
Éliminations/autres |
(1 062) |
(863) |
(3 420) |
(3 733) |
|||
Revenus et autres produits |
8 442 |
6 229 |
27 354 |
26 888 |
|||
Achats de pétrole brut et de produits |
|||||||
Secteur Amont |
1 082 |
981 |
3 666 |
3 768 |
|||
Secteur Aval |
4 039 |
3 354 |
14 178 |
14 526 |
|||
Produits chimiques |
187 |
162 |
705 |
725 |
|||
Éliminations |
(1 072) |
(866) |
(3 429) |
(3 735) |
|||
Achats de pétrole brut et de produits |
4 236 |
3 631 |
15 120 |
15 284 |
|||
Production et fabrication |
|||||||
Secteur Amont |
957 |
940 |
3 591 |
3 766 |
|||
Secteur Aval |
369 |
336 |
1 428 |
1 461 |
|||
Produits chimiques |
56 |
53 |
205 |
207 |
|||
Éliminations |
- |
- |
- |
- |
|||
Production et fabrication |
1 382 |
1 329 |
5 224 |
5 434 |
|||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
|||||||
Secteur Amont |
151 |
491 |
896 |
3 135 |
|||
Secteur Aval |
45 |
64 |
190 |
340 |
|||
Produits chimiques |
5 |
19 |
26 |
52 |
|||
Comptes non sectoriels et autres |
12 |
10 |
49 |
68 |
|||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
213 |
584 |
1 161 |
3 595 |
|||
Frais d'exploration imputés au bénéfice inclus ci-dessus |
19 |
21 |
94 |
73 |
|||
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||
Annexe IV |
|||||||
Données d'exploitation |
Quatrième trimestre |
Exercice |
|||||
2016 |
2015 |
2016 |
2015 |
||||
Production brute de pétrole brut et de liquides de gaz naturel |
|||||||
(milliers de barils par jour) |
|||||||
Cold Lake |
159 |
155 |
161 |
158 |
|||
Kearl |
120 |
144 |
120 |
108 |
|||
Syncrude |
87 |
64 |
68 |
62 |
|||
Classique |
11 |
15 |
14 |
15 |
|||
Total de la production de pétrole brut |
377 |
378 |
363 |
343 |
|||
LGN mis en vente |
1 |
2 |
1 |
1 |
|||
Total de la production de pétrole brut et de LGN |
378 |
380 |
364 |
344 |
|||
Production brute de gaz naturel (en millions de pieds cubes par jour) |
123 |
122 |
129 |
130 |
|||
Production brute d'équivalent pétrole (a) |
399 |
400 |
386 |
366 |
|||
(en milliers de barils d'équivalent pétrole par jour) |
|||||||
Production nette de pétrole brut et de LGN (en milliers de barils par |
|||||||
Cold Lake |
139 |
136 |
138 |
139 |
|||
Kearl |
118 |
142 |
118 |
106 |
|||
Syncrude |
86 |
61 |
67 |
58 |
|||
Classique |
8 |
13 |
12 |
14 |
|||
Total de la production de pétrole brut |
351 |
352 |
335 |
317 |
|||
LGN mis en vente |
1 |
1 |
1 |
1 |
|||
Total de la production de pétrole brut et de LGN |
352 |
353 |
336 |
318 |
|||
Production nette de gaz naturel (en millions de pieds cubes par |
113 |
119 |
122 |
125 |
|||
Production nette d'équivalent pétrole (a) |
371 |
373 |
356 |
339 |
|||
(en milliers de barils d'équivalent pétrole par jour) |
|||||||
Ventes de brut fluidifié de Cold Lake(en milliers de barils par jour) |
209 |
207 |
212 |
211 |
|||
Ventes de brut fluidifié de Kearl (en milliers de barils par jour) |
166 |
191 |
162 |
138 |
|||
Ventes de LGN (en milliers de barils par jour) |
5 |
4 |
5 |
5 |
|||
Prix de vente moyens (en dollars canadiens) |
|||||||
Prix touché pour le bitume (le baril) |
34,66 |
22,82 |
26,52 |
32,48 |
|||
Prix touché pour le pétrole synthétique (par baril) |
64,85 |
56,56 |
57,12 |
61,33 |
|||
Prix touché pour le pétrole brut classique (par baril) |
30,42 |
33,61 |
32,93 |
36,58 |
|||
Prix touché pour le LGN (le baril) |
22,47 |
17,74 |
15,58 |
14,70 |
|||
Prix touché pour le gaz naturel (le millier de pieds cubes) |
3,29 |
2,25 |
2,41 |
2,78 |
|||
Débit des raffineries (en milliers de barils par jour) |
401 |
390 |
362 |
386 |
|||
Utilisation de la capacité de raffinage (en pourcentage) |
95 |
93 |
86 |
92 |
|||
Ventes de produits pétroliers (en milliers de barils par jour) |
|||||||
Essence |
260 |
245 |
261 |
247 |
|||
Mazout domestique, carburant diesel et carburéacteur |
179 |
163 |
170 |
170 |
|||
Mazout lourd |
21 |
15 |
16 |
16 |
|||
Huiles lubrifiantes et autres produits |
33 |
44 |
37 |
45 |
|||
Ventes nettes de produits pétroliers |
493 |
467 |
484 |
478 |
|||
Ventes de produits pétrochimiques (en milliers de tonnes) |
204 |
239 |
908 |
945 |
|||
(a) |
Gaz converti en équivalent pétrole à raison de six millions de pieds cubes pour mille barils. |
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||
Annexe V |
|||||||
Bénéfice (perte) net par |
|||||||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
action ordinaire - résultat dilué |
||||||
(en millions de dollars canadiens) |
(dollars) |
||||||
2012 |
|||||||
Premier trimestre |
1 015 |
1,19 |
|||||
Deuxième trimestre |
635 |
0,75 |
|||||
Troisième trimestre |
1 040 |
1,22 |
|||||
Quatrième trimestre |
1 076 |
1,26 |
|||||
Exercice |
3 766 |
4,42 |
|||||
2013 |
|||||||
Premier trimestre |
798 |
0,94 |
|||||
Deuxième trimestre |
327 |
0,38 |
|||||
Troisième trimestre |
647 |
0,76 |
|||||
Quatrième trimestre |
1 056 |
1,24 |
|||||
Exercice |
2 828 |
3,32 |
|||||
2014 |
|||||||
Premier trimestre |
946 |
1,11 |
|||||
Deuxième trimestre |
1 232 |
1,45 |
|||||
Troisième trimestre |
936 |
1,10 |
|||||
Quatrième trimestre |
671 |
0,79 |
|||||
Exercice |
3 785 |
4,45 |
|||||
2015 |
|||||||
Premier trimestre |
421 |
0,50 |
|||||
Deuxième trimestre |
120 |
0,14 |
|||||
Troisième trimestre |
479 |
0,56 |
|||||
Quatrième trimestre |
102 |
0,12 |
|||||
Exercice |
1 122 |
1,32 |
|||||
2016 |
|||||||
Premier trimestre |
(101) |
(0,12) |
|||||
Deuxième trimestre |
(181) |
(0,21) |
|||||
Troisième trimestre |
1 003 |
1,18 |
|||||
Quatrième trimestre |
1 444 |
1,70 |
|||||
Exercice |
2 165 |
2,55 |
|||||
Après plus d'un siècle, l'Impériale reste un meneur de l'industrie en appliquant la technologie et l'innovation pour développer les ressources énergétiques canadiennes de manière responsable. En tant que principal raffineur de pétrole, important producteur de pétrole brut et de gaz naturel, un producteur pétrochimique clé et principal distributeur de combustibles du Canada, notre compagnie s'engage à respecter des normes élevées dans tous ses secteurs.
SOURCE Compagnie Pétrolière Impériale Ltée
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