L'Impériale communique ses résultats financiers et d'exploitation du deuxième trimestre 2017 English
- Perte nette de 77 millions de dollars par rapport à une perte nette de 181 millions de dollars pour le 2e trimestre 2016
- Progression d'un vaste plan visant à améliorer la fiabilité et à atteindre les objectifs de production à Kearl
- Meilleure capacité d'offrir de la valeur aux actionnaires grâce à un programme élargi de rachat d'actions
CALGARY, le 28 juill. 2017 /CNW/ -
Deuxième trimestre |
Période de six mois |
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en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire |
2017 |
2016 |
% |
2017 |
2016 |
% |
|
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
(77) |
(181) |
57 |
256 |
(282) |
191 |
|
Bénéfice (perte) net par action ordinaire |
(0,09) |
(0,21) |
57 |
0,30 |
(0,33) |
191 |
|
- compte tenu d'une dilution (en dollars) |
|||||||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
143 |
335 |
(57) |
296 |
743 |
(60) |
|
L'Impériale a enregistré une perte nette de 77 millions de dollars au cours du deuxième trimestre 2017, contre une perte nette de 181 millions de dollars pour la même période en 2016. Ce résultat trimestriel reflète les effets du contexte économique actuel, combinés à ceux de fermetures d'installations en amont et de redressements prévus d'établissements. La différence avec le deuxième trimestre 2016 est principalement due aux cours plus élevés du brut et à la réduction des activités de redressement de raffineries.
Durant ce trimestre, l'Impériale a fait avancer un vaste plan visant à améliorer la fiabilité et à atteindre les objectifs de production à Kearl. L'entreprise prend des mesures pour résoudre des problèmes de fiabilité, principalement dans les secteurs de l'exploitation minière et de la préparation du minerai. Ces mesures, dont la mise en oeuvre se fera tout au long de 2017 et 2018, devraient augmenter les niveaux de production et réduire les coûts unitaires. D'autres améliorations seront réalisées en coordination avec des activités d'entretien programmées, afin d'optimiser le rendement global.
« Le gisement Kearl est un actif durable de qualité supérieure très important pour l'entreprise », a déclaré Rich Kruger, président et chef de la direction. « Nous cherchons à combler des écarts de performance au moyen d'améliorations aux infrastructures existantes tout en évaluant diverses idées novatrices susceptibles d'améliorer les résultats. »
Durant le deuxième trimestre, l'Impériale a versé plus de 250 millions de dollars à ses actionnaires sous forme de dividendes et de rachats d'actions. L'entreprise a aussi réaffirmé sa volonté de maximiser la valeur offerte aux actionnaires en élargissant substantiellement son programme de rachat d'actions, fin juin.
L'Impériale a une longue tradition de rétribution de ses actionnaires au moyen de rachats d'actions. La dernière utilisation de ce programme pour réduire les actions en circulation remonte à 2009 alors que l'Impériale était au début d'une période de forte croissance du secteur Amont. L'achèvement récent de plusieurs grands projets de croissance justifie la reprise des rachats d'actions.
« Notre approche d'allocation des capitaux met l'accent sur un bilan solide, sur le versement d'un dividende régulier et croissant, ainsi que sur des investissements dans des opportunités de croissance prometteuses », ajoute M. Kruger. « L'augmentation de notre capacité d'offrir de la valeur dans le cadre de l'extension de notre programme de rachat d'actions nous permet de verser nos surplus de trésorerie aux actionnaires avec souplesse. »
La flexibilité financière de l'Impériale démontre la force et la résilience de son modèle de gestion intégré sur tout le cycle d'affaires.
Faits saillants du deuxième trimestre
- Perte nette de 77 millions de dollars, soit 0,09 $ par action sur une base diluée. Au deuxième trimestre 2016, l'entreprise avait enregistré une perte nette de 181 millions de dollars, soit 0,21 $ par action.
- Le flux de trésorerie des activités d'exploitation s'est établi à 492 millions de dollars, soit une hausse de 49 millions de dollars par rapport au deuxième trimestre de 2016.
- Les dépenses en immobilisations et frais d'exploration ont totalisé 143 millions de dollars, soit une baisse de 192 millions de dollars par rapport au deuxième trimestre de 2016. Les dépenses totales de l'année devraient s'élever à environ 800 millions de dollars, alors que l'entreprise maintient le cap sur la discipline financière tout en profitant de gains de marché et de productivité caractérisant l'environnement économique actuel.
- Le coût des dividendes et des rachats d'actions a totalisé 254 millions de dollars, incluant le rachat d'environ 3,3 millions d'actions au coût de 127 millions de dollars.
- La production s'est établie en moyenne à 331 000 barils d'équivalent pétrole brut par jour, en légère hausse par rapport aux 329 000 barils par jour à la même période en 2016. La production des gisements Kearl et Syncrude a augmenté par rapport au deuxième trimestre de l'année précédente, marqué par les grands feux de forêt d'Alberta. Ces augmentations ont cependant été annulées par l'absence de production sur le site Norman Wells d'une capacité de 11 000 barils par jour, à cause de la fermeture prolongée de l'oléoduc d'exportation Enbridge Ligne 21. La reprise des activités de production sur ce site est prévue pour la fin 2018, après des évaluations de l'Office national de l'énergie, les délais d'approbation des autorités et les travaux d'amélioration de l'oléoduc.
- Le site Syncrude a poursuivi la progression de sa production et l'optimisation de ses activités de maintenance après l'incendie ayant ravagé l'unité de valorisation à Mildred Lake en mars. Durant les derniers mois, l'Impériale a fourni à Syncrude un important soutien technique et logistique sur ce site. Syncrude a profité de cet arrêt non programmé pour accélérer ses activités de redressement, évitant ainsi un arrêt programmé qui devait avoir lieu plus tard cette année. La quote-part de l'entreprise dans la production brute de Syncrude était en moyenne de 27 000 barils par jour durant le deuxième trimestre et devrait retrouver des niveaux d'exploitation normaux en août.
- Progression d'un vaste plan visant à améliorer la fiabilité et à atteindre les objectifs de production à Kearl. Avec un calendrier s'étendant sur 2017 et 2018, ce plan comprend diverses actions d'amélioration, principalement au niveau de l'exploitation minière et de la préparation du minerai, qui devraient permettre de maintenir les taux de production prévus pour la durée de vie utile de cet actif. Durant le deuxième trimestre, des travaux d'amélioration ont été réalisés durant des opérations programmées d'entretien, comprenant diverses améliorations mécaniques. Au cours du trimestre, la production moyenne de bitume sur le site Kearl a atteint 171 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 121 000 barils). La production a été réduite d'environ 38 000 barils par jour (dont 27 000 barils correspondant à la part de l'Impériale) à cause d'activités de maintenance programmées.
- Le débit moyen des raffineries était de 358 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 246 000 barils par jour du deuxième trimestre 2016, principalement grâce à une réduction des activités de redressement. Les installations de raffinage ont été utilisées à 85 % de leur capacité, ce qui reflète l'impact d'un redressement planifié sur 71 jours à l'installation de Sarnia et achevé début juillet.
- Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 486 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 470 000 barils par jour du deuxième trimestre 2016. La croissance des ventes est toujours soutenue par une solide collaboration dans notre chaîne de valeur du secteur Aval, ainsi que par l'extension des réseaux de l'Impériale couvrant les ventes au détail et en gros, ainsi que le secteur industriel et le secteur commercial.
- Meilleure capacité d'offrir de la valeur aux actionnaires grâce à un programme élargi de rachat d'actions. Ce programme permet à l'Impériale de racheter jusqu'à 3 % de ses actions ordinaires en circulation, soit environ 25 millions d'actions, durant la période de douze mois se terminant le 26 juin 2018. Le programme soutient l'approche d'allocation de capitaux de l'entreprise, mettant l'accent sur un bilan solide, sur le versement d'un dividende régulier et croissant, ainsi que sur des investissements dans des opportunités de croissance prometteuses. L'augmentation de la capacité de l'Impériale d'offrir de la valeur à ses actionnaires dans le cadre de l'extension de son programme de rachat d'actions lui permet de verser ses surplus de trésorerie aux actionnaires avec souplesse.
Comparaison des deuxièmes trimestres 2017 et 2016
La perte nette de l'entreprise au deuxième trimestre 2017 a été de 77 millions de dollars, soit 0,09 $ par action sur une base diluée, alors que le deuxième trimestre 2016 s'était soldé par une perte nette de 181 millions de dollars, soit 0,21 $ par action.
Le secteur Amont a enregistré une perte nette de 201 millions de dollars au cours du deuxième trimestre, contre une perte nette de 290 millions de dollars pour la même période en 2016. Les résultats du deuxième trimestre 2017 font écho à une augmentation du prix touché pour les ventes de brut canadien d'environ 140 millions de dollars et à des variations favorables de taux de change, partiellement annulées par une augmentation des coûts de l'énergie d'environ 50 millions de dollars et une augmentation des coûts d'exploitation d'environ 50 millions de dollars, principalement sur le site Syncrude.
Le cours moyen du West Texas Intermediate (WTI) fut de 48,20 $ US par baril durant le deuxième trimestre 2017, contre 45,64 $ US durant le même trimestre 2016. Le cours moyen du Western Canada Select (WCS) fut respectivement de 37,18 $ US et 32,36 $ US pour les mêmes périodes. Le différentiel entre les cours WTI et WCS s'est réduit à 23 % au deuxième trimestre 2017, comparativement à 29 % pour la même période en 2016.
Le dollar canadien valait en moyenne 0,74 $ US durant le deuxième trimestre 2017, soit une baisse de 0,04 $ US par rapport au deuxième trimestre 2016.
Les réalisations moyennes de l'Impériale en dollars canadiens pour le bitume et le pétrole brut synthétique ont augmenté de manière généralement conforme aux références nord-américaines, ajustées en fonction des variations du taux de change et des coûts du transport. Le prix moyen obtenu pour le bitume s'est élevé à 38,22 $ par baril durant le deuxième trimestre 2017, ce qui correspond à une hausse de 8,77 $ par baril par rapport au deuxième trimestre 2016. Le prix moyen obtenu pour le pétrole brut synthétique était de 65,07 $ par baril, soit une augmentation de 6,49 $ pour la même période en 2016.
La production brute de bitume de Cold Lake s'est élevée en moyenne à 160 000 barils par jour durant le deuxième trimestre, en regard de 163 000 barils par jour pour la même période de l'exercice précédent.
La production moyenne brute de bitume à Kearl s'est établie à 171 000 barils par jour au cours du deuxième trimestre (la part de l'Impériale se chiffrant à 121 000 barils), contre 155 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 110 000 barils) durant le deuxième trimestre 2016. Cette hausse de production est principalement attribuable à l'absence de feux de forêt en Alberta. Durant le deuxième trimestre 2017, des activités de redressement programmées ont réduit la production du site Kearl d'environ 38 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 27 000 barils par jour).
La quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude fut en moyenne de 27 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 18 000 barils par jour du deuxième trimestre 2016. La production du deuxième trimestre 2017 sur le site Syncrude a été affectée par un incendie qui a ravagé l'unité de valorisation de Mildred Lake à la mi-mars, ainsi que par des activités d'entretien programmées. La hausse de la production est attribuable à l'absence de feux de forêt en Alberta et à une diminution des activités d'entretien programmées par rapport à la même période en 2016.
Les revenus nets du secteur Aval se sont élevés à 78 millions de dollars au deuxième trimestre, contre 71 millions de dollars pour la même période en 2016. Cette augmentation est principalement attribuable à une réduction des activités de redressement programmées d'environ 130 millions de dollars et à une réduction des dépenses de marketing, partiellement annulées par des marges de marketing plus basses d'environ 80 millions de dollars (comprenant les effets de cessions d'actifs de vente au détail et d'une réduction générale des marges de l'industrie), ainsi que par des marges de raffinage réduites d'environ 70 millions de dollars, principalement à cause d'une interruption des approvisionnements de brut à la suite de l'incendie de l'unité de valorisation Syncrude à Mildred Lake en mars dernier.
Le débit moyen des raffineries était de 358 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 246 000 barils par jour du deuxième trimestre 2016. Cette augmentation de débit fait écho à la réduction des activités de redressement durant le deuxième trimestre 2017 par rapport à la même période en 2016.
Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 486 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 470 000 barils par jour du deuxième trimestre 2016. La croissance des ventes est toujours soutenue par une solide collaboration dans notre chaîne de valeur du secteur Aval, ainsi que par l'extension des réseaux de l'Impériale couvrant les ventes au détail et en gros, ainsi que le secteur industriel et le secteur commercial.
Les revenus nets du secteur Produits chimiques étaient de 64 millions de dollars au deuxième trimestre, en hausse par rapport aux 55 millions de dollars du même trimestre en 2016.
Dans le calcul du bénéfice net, les comptes d'entreprise et non sectoriels ont affiché un solde négatif de 18 millions de dollars au deuxième trimestre, comparativement à un solde négatif de 17 millions de dollars pour la période correspondante de 2016.
Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 492 millions de dollars au deuxième trimestre, contre 443 millions de dollars pour la période correspondante de 2016.
Les activités d'investissement ont donné lieu à des décaissements nets de 281 millions de dollars au deuxième trimestre, comparativement à 297 millions de dollars durant la période correspondante de 2016.
Les activités de financement ont généré des décaissements de 260 millions de dollars durant le deuxième trimestre, contre 106 millions de dollars durant le deuxième trimestre 2016. Les dividendes payés au cours du deuxième trimestre 2017 se sont élevés à 127 millions de dollars. Les dividendes par action versés au deuxième trimestre ont atteint 0,15 $ comparativement à 0,14 $ pour la période correspondante de 2016. Durant le deuxième trimestre 2017, l'Impériale a repris ses achats d'actions dans le cadre de son programme de rachat. L'entreprise a racheté environ 3,3 millions d'actions pour un total approximatif de 127 millions de dollars.
Le solde de trésorerie s'élevait à 623 millions de dollars au 30 juin 2017, comparativement à 195 millions de dollars à la fin du deuxième trimestre 2016.
Le 22 juin 2017, l'entreprise a annoncé dans un communiqué de presse qu'elle avait reçu de la Bourse de Toronto l'autorisation de lancer une offre publique de rachat ordinaire et qu'elle poursuivait son programme existant de rachat d'actions. Ce programme permet à l'entreprise de racheter un maximum de 25 395 927 actions ordinaires entre le 27 juin 2017 et le 26 juin 2018, ce qui comprend les actions rachetées dans le cadre de l'offre publique de rachat ordinaire et à la société Exxon Mobil Corporation, une opération réalisée concurremment, mais hors de l'offre publique de rachat ordinaire. Dans le passé, la société Exxon Mobil Corporation avait informé l'entreprise qu'elle avait l'intention de conserver la propriété d'environ 69,6 % du capital. Le programme prendra fin le 26 juin 2018 ou lorsque l'entreprise aura racheté le maximum autorisé d'actions.
Les prévisions d'achat d'actions pour le troisième trimestre 2017 se chiffrent actuellement à environ 250 millions de dollars. Les plans d'achats peuvent être modifiés en tout temps sans préavis.
Faits saillants du semestre
- Bénéfice net de 256 millions de dollars, en hausse par rapport à la perte nette de 282 millions de dollars de l'exercice précédent.
- Le bénéfice net par action sur une base diluée se chiffre à 0,30 $, en hausse par rapport à la perte nette par action de 0,33 $ enregistrée en 2016.
- Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 846 millions de dollars, comparativement à 492 millions de dollars en 2016.
- La moyenne de production de pétrole brut équivalent a été de 354 000 barils par jour, soit une réduction de 6 % par rapport aux 376 000 barils par jour de 2016.
- Le débit moyen des raffineries était de 378 000 barils par jour, en hausse par rapport aux 323 000 barils par jour sur la même période en 2016.
- Les dividendes par action déclarés depuis le début de l'exercice se sont élevés à 0,31 $, en hausse de 0,02 $ par action par rapport à 2016.
Comparaison du premier semestre 2017 avec le premier semestre 2016
Le bénéfice net des six premiers mois 2017 s'est établi à 256 millions de dollars ou 0,30 $ par action sur une base diluée, comparativement à une perte nette de 282 millions de dollars ou 0,33 $ par action pour les six premiers mois 2016.
Le secteur Amont a enregistré une perte nette de 287 millions de dollars au cours des six premiers mois 2017, contre une perte nette de 738 millions de dollars durant la même période en 2016. Ces résultats reflètent l'impact de meilleures réalisations du pétrole brut canadien d'environ 740 millions de dollars, partiellement annulées par des redevances plus élevées d'environ 100 millions de dollars et des coûts énergétiques d'environ 80 millions de dollars, une augmentation des dépenses d'exploitation sur le site Syncrude d'environ 70 millions de dollars et par une diminution des volumes de l'ordre de 70 millions de dollars, tenant compte de l'absence de production sur le site Norman Wells.
Le cours moyen du West Texas Intermediate (WTI) fut de 49,96 $ US par baril durant le premier semestre 2017, contre 39,78 $ US durant la même période en 2016. Le cours moyen du Western Canada Select (WCS) fut respectivement de 37,22 $ US et 25,88 $ US pour les mêmes périodes. Le différentiel entre les cours WTI et WCS s'est réduit à 26 % au premier semestre 2017, comparativement à 35 % pour la même période en 2016.
Le dollar canadien valait en moyenne 0,75 $ US au premier semestre de 2017, ce qui est essentiellement identique au cours de la même période en 2016.
Les réalisations moyennes de l'Impériale en dollars canadiens pour le bitume et le pétrole brut synthétique ont augmenté de manière généralement conforme aux références nord-américaines, ajustées en fonction des variations du taux de change et des coûts du transport. Le prix moyen obtenu pour le bitume s'est élevé à 37,21 $ par baril pour les six premiers mois de l'année 2017, soit une augmentation de 16,45 $ par baril par rapport à la même période en 2016. Le prix moyen obtenu pour le pétrole brut synthétique était de 67,00 $ par baril, soit une augmentation de 18,41 $ pour la même période en 2016.
La production brute de bitume de Cold Lake s'est élevée en moyenne à 159 000 barils par jour durant le premier semestre 2017, en regard de 164 000 barils par jour pour la même période de l'exercice précédent. La baisse des volumes est principalement attribuable au calendrier des cycles de vapeur.
La production moyenne brute de bitume à Kearl s'est établie à 177 000 barils par jour au cours du premier semestre de 2017 (la part de l'Impériale se chiffrant à 125 000 barils), contre 175 000 barils par jour (la part de l'Impériale se chiffrant à 124 000 barils) pour la même période en 2016.
Au cours des six premiers mois de 2017, la quote-part de l'entreprise dans la production brute de Syncrude s'est élevée en moyenne à 46 000 barils par jour, comparativement à 49 000 barils par jour pour la période correspondante de 2016. Le total de production depuis le début de l'année du site Syncrude a été affecté par un incendie dans l'unité de valorisation Syncrude de Mildred Lake en mars 2017, ainsi que par des travaux d'entretien programmés. En 2016, la production avait été affectée par les feux de forêt en Alberta et par des travaux d'entretien programmés.
Le bénéfice net du secteur Aval s'est établi à 458 millions de dollars, en hausse par rapport aux 391 millions de dollars de la période correspondante en 2016. Cette augmentation est principalement attribuable à un gain de 151 millions de dollars sur la vente d'un actif excédentaire et à une réduction des activités de redressement programmées d'environ 130 millions de dollars. Ces gains ont été partiellement annulés par des marges de marketing plus basses d'environ 140 millions de dollars (comprenant les effets de cessions d'actifs de vente au détail et d'une réduction générale des marges de l'industrie), ainsi que par des marges de raffinage réduites d'environ 50 millions de dollars, principalement à cause d'une interruption des approvisionnements de brut à la suite de l'incendie de l'unité de valorisation Syncrude à Mildred Lake en mars dernier.
Le débit moyen des raffineries était de 378 000 barils par jour durant les six premiers mois de 2017, en hausse par rapport aux 323 000 barils par jour de la même période en 2016. L'utilisation des capacités de production a augmenté à environ 90 % contre 77 % pour la même période en 2016, ce qui fait écho à une réduction des activités de redressement.
Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 486 000 barils par jour au cours des six premiers mois de 2017, contre 469 000 barils par jour durant la même période en 2016. La croissance des ventes est toujours soutenue par une solide collaboration dans notre chaîne de valeur du secteur Aval, ainsi que par l'extension des réseaux de l'Impériale couvrant les ventes au détail et en gros, ainsi que le secteur industriel et le secteur commercial.
Le bénéfice net du secteur chimique s'est établi à 109 millions de dollars, en hausse par rapport aux 104 millions de dollars de la période correspondante en 2016.
Pour les six premiers mois de 2017, les comptes non sectoriels et autres ont affiché un solde négatif de 24 millions de dollars, comparativement à un solde négatif de 39 millions de dollars au cours de l'exercice précédent.
Les flux de trésorerie générés par les activités d'exploitation se sont élevés à 846 millions de dollars au premier semestre 2017, contre 492 millions de dollars pour la période correspondante de 2016, reflétant des revenus plus élevés partiellement annulés par des effets défavorables du fonds de roulement.
Les activités d'investissement ont donné lieu à des décaissements nets de 220 millions de dollars durant les six premiers mois 2017, comparativement à 655 millions de dollars au cours de la période correspondante de 2016, faisant écho à une baisse des acquisitions d'immobilisations corporelles et de meilleurs profits lors de la vente d'actifs.
Les activités de financement ont généré des décaissements de 394 millions de dollars durant le premier semestre 2017, par rapport à de nouvelles liquidités de 155 millions de dollars générées par les activités de financement durant la même période en 2016, faisant écho à une absence d'émission de nouvelles dettes durant l'exercice en cours. Les dividendes payés au cours des six premiers mois de 2017 ont totalisé 254 millions de dollars. Les dividendes par action versés au cours des six premiers mois 2017 se sont élevés à 0,30 $ comparativement à 0,28 $ pour la période correspondante en 2016. En 2017, l'Impériale a repris ses achats d'actions dans le cadre de son programme de rachat. L'entreprise a racheté environ 3,3 millions d'actions pour un total approximatif de 127 millions de dollars.
Des données financières et d'exploitation clés suivent.
Énoncés prospectifs
Les énoncés contenus dans le présent rapport qui sont liés à des situations ou des événements futurs y compris les prévisions, les objectifs, les attentes, les estimations et les plans d'affaires sont des énoncés prévisionnels. Les futurs résultats financiers et d'exploitation réels, y compris la croissance de la demande et la combinaison de sources énergétiques; la croissance et la répartition de la production; les plans, les dates, les coûts et les capacités des projets; les taux de production; la durée de production et la récupération des ressources; les économies de coûts; les ventes de produits; les sources de financement; et les dépenses reliées aux immobilisations et à l'environnement sont susceptibles d'être substantiellement différents en raison d'un certain nombre de facteurs, comme les fluctuations de l'offre et de la demande de pétrole brut, de gaz naturel et de produits pétroliers et pétrochimiques, et des prix et des impacts des marges qui en découlent; les restrictions en matière de transport pour accéder aux marchés, les évènements politiques ou l'évolution de la réglementation, y compris des changements apportés aux lois et aux politiques gouvernementales; les taux de redevance applicables et les lois fiscales; l'obtention en temps opportun de l'approbation des organismes de réglementation et de tierces parties; l'opposition de tiers à des opérations et projets; les risques environnementaux inhérents aux activités d'exploration et de production pétrolière et gazière; la réglementation environnementale, y compris les restrictions en matière de changements climatiques et d'émissions de gaz à effet de serre; les taux de change; la disponibilité et l'allocation de capitaux; le rendement de tiers fournisseurs de services; les interruptions opérationnelles imprévues; l'efficacité de gestion, les négociations commerciales, la gestion de projet et des échéanciers; les développements technologiques inattendus; les dangers et risques opérationnels; la planification préalable aux catastrophes ; la capacité de développer ou d'acquérir de nouvelles réserves; et d'autres facteurs analysés sous la rubrique 1A du formulaire 10-K le plus récent de l'Impériale. Les énoncés prévisionnels ne garantissent pas le rendement futur et comportent un certain nombre de risques et d'incertitudes, qui sont parfois similaires à ceux d'autres entreprises pétrolières et gazières, parfois exclusifs à l'Impériale. Les résultats réels de l'Impériale peuvent être sensiblement différents des résultats implicites ou explicites selon les énoncés prévisionnels, et les lecteurs sont priés de ne pas s'y fier aveuglément. L'Impériale ne s'engage aucunement à publier une mise à jour de toute révision des prévisions contenues aux présentes, sauf si la loi l'exige.
Dans ce document, tous les montants sont exprimés en dollars canadiens, à moins d'avis contraire. Le présent document doit être lu conjointement avec le rapport annuel de l'entreprise sur formulaire 10-K couvrant l'exercice ayant pris fin le 31 décembre 2016. Par ailleurs, il est possible que les totaux indiqués ne concordent pas exactement à la somme des valeurs correspondantes à cause des arrondissements.
Le terme « projet » tel qu'il est utilisé dans ce rapport peut renvoyer à toute une gamme d'activités différentes et n'a pas nécessairement le même sens que celui qu'on lui donne dans les rapports sur la transparence des paiements au gouvernement.
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||||
Annexe I |
|||||||
Deuxième trimestre |
Six mois |
||||||
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire |
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
|||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
|||||||
Total des produits et des autres revenus |
7 033 |
6 248 |
14 189 |
11 470 |
|||
Total des dépenses |
7 158 |
6 500 |
13 894 |
11 871 |
|||
Bénéfice (perte) avant impôts |
(125) |
(252) |
295 |
(401) |
|||
Impôts |
(48) |
(71) |
39 |
(119) |
|||
Bénéfice (perte) net |
(77) |
(181) |
256 |
(282) |
|||
Bénéfice (perte) net par action ordinaire (en dollars) |
(0,09) |
(0,21) |
0,30 |
(0,33) |
|||
Bénéfice (perte) net par action ordinaire - compte tenu d'une dilution (dollars) |
(0,09) |
(0,21) |
0,30 |
(0,33) |
|||
Autres données financières |
|||||||
Gain (perte) à la vente d'actifs, après impôts |
28 |
10 |
186 |
34 |
|||
Total de l'actif au 30 juin |
41 105 |
43 244 |
|||||
Total du passif au 30 juin |
5 222 |
8 908 |
|||||
Couverture des intérêts par le bénéfice (nombre de fois couverts) |
26,3 |
4,0 |
|||||
Autres obligations à long terme au 30 juin |
3 678 |
3 455 |
|||||
Capitaux propres au 30 juin |
25 000 |
23 072 |
|||||
Capitaux engagés au 30 juin |
30 240 |
31 998 |
|||||
Rendement des capitaux engagés moyens (en pourcentage) (a) |
9,0 |
1,1 |
|||||
Dividendes déclarés sur les actions ordinaires |
|||||||
Total |
136 |
127 |
263 |
246 |
|||
Par action ordinaire (dollars) |
0,16 |
0,15 |
0,31 |
0,29 |
|||
Millions d'actions ordinaires en circulation |
|||||||
Au 30 juin |
844,3 |
847,6 |
|||||
Moyenne - compte tenu d'une dilution |
849,9 |
850,6 |
850,1 |
850,5 |
|||
(a) |
Le rendement du capital engagé correspond à la moyenne mobile du bénéfice net, coûts de financement après impôts non déduits, divisée par la moyenne du capital engagé sur les quatre derniers trimestres. |
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
||||||
Annexe II |
||||||
Deuxième trimestre |
Six mois |
|||||
en millions de dollars canadiens |
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la fin de la période |
623 |
195 |
623 |
195 |
||
Bénéfice (perte) net |
(77) |
(181) |
256 |
(282) |
||
Ajustements relatifs aux éléments hors trésorerie : |
||||||
Dépréciation et épuisement |
352 |
407 |
744 |
831 |
||
(Gain) perte à la vente d'actifs |
(31) |
(13) |
(213) |
(43) |
||
Impôts sur les bénéfices reportés et autres |
(37) |
(98) |
163 |
(180) |
||
Variations de l'actif et du passif d'exploitation : |
285 |
328 |
(104) |
166 |
||
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation |
492 |
443 |
846 |
492 |
||
Flux de trésorerie liés aux activités d'investissement |
(281) |
(297) |
(220) |
(655) |
||
Produits associés à la vente d'actifs |
39 |
17 |
222 |
50 |
||
Flux de trésorerie liés aux activités de financement |
(260) |
(106) |
(394) |
155 |
||
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
||||||
Annexe III |
||||||
Deuxième trimestre |
Six mois |
|||||
en millions de dollars canadiens |
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
||||||
Secteur Amont |
(201) |
(290) |
(287) |
(738) |
||
Secteur Aval |
78 |
71 |
458 |
391 |
||
Produits chimiques |
64 |
55 |
109 |
104 |
||
Comptes non sectoriels et autres |
(18) |
(17) |
(24) |
(39) |
||
Bénéfice (perte) net |
(77) |
(181) |
256 |
(282) |
||
Revenus et autres produits |
||||||
Secteur Amont |
2 081 |
1 733 |
4 415 |
3 211 |
||
Secteur Aval |
5 193 |
4 790 |
10 667 |
8 984 |
||
Produits chimiques |
349 |
317 |
690 |
615 |
||
Élimination / comptes non sectoriels et autres |
(590) |
(592) |
(1 583) |
(1 340) |
||
Revenus et autres produits |
7 033 |
6 248 |
14 189 |
11 470 |
||
Achats de pétrole brut et de produits |
||||||
Secteur Amont |
1 026 |
905 |
2 142 |
1 723 |
||
Secteur Aval |
4 014 |
3 555 |
8 023 |
6 312 |
||
Produits chimiques |
193 |
171 |
394 |
330 |
||
Éliminations |
(591) |
(590) |
(1 584) |
(1 338) |
||
Achats de pétrole brut et de produits |
4 642 |
4 041 |
8 975 |
7 027 |
||
Dépenses de production et de fabrication |
||||||
Secteur Amont |
1 051 |
838 |
2 024 |
1 747 |
||
Secteur Aval |
426 |
421 |
775 |
736 |
||
Produits chimiques |
48 |
51 |
101 |
98 |
||
Éliminations |
- |
- |
- |
- |
||
Dépenses de production et de fabrication |
1 525 |
1 310 |
2 900 |
2 581 |
||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
||||||
Secteur Amont |
91 |
250 |
194 |
596 |
||
Secteur Aval |
39 |
64 |
73 |
107 |
||
Produits chimiques |
3 |
8 |
7 |
14 |
||
Comptes non sectoriels et autres |
10 |
13 |
22 |
26 |
||
Dépenses en immobilisations et frais d'exploration |
143 |
335 |
296 |
743 |
||
Frais d'exploration imputés au bénéfice inclus ci-dessus |
- |
42 |
22 |
59 |
||
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
||||||
Annexe IV |
||||||
Données d'exploitation |
Deuxième trimestre |
Six mois |
||||
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
|||
Production brute de pétrole brut et de liquides de gaz naturel (LGN) |
||||||
(milliers de barils par jour) |
||||||
Cold Lake |
160 |
163 |
159 |
164 |
||
Kearl |
121 |
110 |
125 |
124 |
||
Syncrude |
27 |
18 |
46 |
49 |
||
Classique |
3 |
15 |
4 |
15 |
||
Total de la production de pétrole brut |
311 |
306 |
334 |
352 |
||
LGN mis en vente |
1 |
1 |
1 |
2 |
||
Total de la production de pétrole brut et de LGN |
312 |
307 |
335 |
354 |
||
Production brute de gaz naturel (en millions de pieds cubes par jour) |
116 |
129 |
116 |
129 |
||
Production brute d'équivalent pétrole (a) |
331 |
329 |
354 |
376 |
||
(en milliers de barils d'équivalent pétrole par jour) |
||||||
Production nette de pétrole brut et de LGN (en milliers de barils par jour) |
||||||
Cold Lake |
132 |
132 |
129 |
139 |
||
Kearl |
118 |
109 |
122 |
123 |
||
Syncrude |
25 |
18 |
43 |
49 |
||
Classique |
3 |
13 |
4 |
13 |
||
Total de la production de pétrole brut |
278 |
272 |
298 |
324 |
||
LGN mis en vente |
1 |
1 |
1 |
1 |
||
Total de la production de pétrole brut et de LGN |
279 |
273 |
299 |
325 |
||
Production nette de gaz naturel (en millions de pieds cubes par jour) |
105 |
127 |
106 |
127 |
||
Production nette d'équivalent pétrole (a) |
297 |
294 |
317 |
346 |
||
(en milliers de barils d'équivalent pétrole par jour) |
||||||
Ventes de brut fluidifié de Cold Lake (en milliers de barils par jour) |
209 |
219 |
215 |
220 |
||
Ventes de brut fluidifié de Kearl (en milliers de barils par jour) |
161 |
157 |
166 |
168 |
||
Ventes de LGN (en milliers de barils par jour) |
6 |
5 |
6 |
5 |
||
Prix de vente moyens (en dollars canadiens) |
||||||
Prix touché pour le bitume (le baril) |
38,22 |
29,45 |
37,21 |
20,76 |
||
Prix touché pour le pétrole synthétique (le baril) |
65,07 |
58,58 |
67,00 |
48,59 |
||
Prix touché pour le pétrole brut classique (le baril) |
51,62 |
36,04 |
52,39 |
30,22 |
||
Prix touché pour le LGN (le baril) |
27,83 |
13,70 |
28,54 |
14,10 |
||
Prix touché pour le gaz naturel (le millier de pieds cubes) |
3,05 |
1,58 |
3,18 |
1,98 |
||
Débit des raffineries (en milliers de barils par jour) |
358 |
246 |
378 |
323 |
||
Utilisation de la capacité de raffinage (en pourcentage) |
85 |
58 |
90 |
77 |
||
Ventes de produits pétroliers (en milliers de barils par jour) |
||||||
Essence |
257 |
263 |
250 |
255 |
||
Mazout domestique, carburant diesel et carburéacteur |
175 |
158 |
182 |
164 |
||
Mazout lourd (b) |
19 |
8 |
19 |
13 |
||
Huiles lubrifiantes et autres produits |
35 |
41 |
35 |
37 |
||
Ventes nettes de produits pétroliers |
486 |
470 |
486 |
469 |
||
Ventes de produits pétrochimiques (en milliers de tonnes) (b) |
201 |
232 |
394 |
462 |
||
(a) |
Gaz converti en équivalent pétrole à raison de six millions de pieds cubes pour mille barils. |
(b) |
En 2017, les ventes de produit de noir de carbone sont présentées avec le mazout lourd, tandis qu'elles figuraient dans les ventes de produits pétrochimiques en 2016. |
COMPAGNIE PÉTROLIÈRE IMPÉRIALE LTÉE |
|||||
Annexe V |
|||||
Bénéfice (perte) net par |
|||||
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) |
action ordinaire - résultat dilué |
||||
en millions de dollars canadiens |
dollars |
||||
2013 |
|||||
Premier trimestre |
798 |
0,94 |
|||
Deuxième trimestre |
327 |
0,38 |
|||
Troisième trimestre |
647 |
0,76 |
|||
Quatrième trimestre |
1 056 |
1,24 |
|||
Exercice |
2 828 |
3,32 |
|||
2014 |
|||||
Premier trimestre |
946 |
1,11 |
|||
Deuxième trimestre |
1 232 |
1,45 |
|||
Troisième trimestre |
936 |
1,10 |
|||
Quatrième trimestre |
671 |
0,79 |
|||
Exercice |
3 785 |
4,45 |
|||
2015 |
|||||
Premier trimestre |
421 |
0,50 |
|||
Deuxième trimestre |
120 |
0,14 |
|||
Troisième trimestre |
479 |
0,56 |
|||
Quatrième trimestre |
102 |
0,12 |
|||
Exercice |
1 122 |
1,32 |
|||
2016 |
|||||
Premier trimestre |
(101) |
(0,12) |
|||
Deuxième trimestre |
(181) |
(0,21) |
|||
Troisième trimestre |
1 003 |
1,18 |
|||
Quatrième trimestre |
1 444 |
1,70 |
|||
Exercice |
2 165 |
2,55 |
|||
2017 |
|||||
Premier trimestre |
333 |
0,39 |
|||
Deuxième trimestre |
(77) |
(0,09) |
|||
Exercice |
256 |
0,30 |
|||
Après plus d'un siècle d'existence, l'Impériale demeure un acteur majeur dans la promotion de la technologie et de l'innovation visant à mettre en valeur les ressources énergétiques du Canada de façon responsable. Principal raffineur de produits pétroliers du Canada, producteur incontournable de pétrole brut et de gaz naturel, producteur clé de produits pétrochimiques et chef de file dans la distribution de carburant à l'échelle du pays, notre compagnie continue de viser les normes les plus élevées qui soient, et ce, dans tous les secteurs d'activité.
SOURCE Compagnie Pétrolière Impériale Ltée
Relations avec les investisseurs, Dave Hughes, (587) 476-4743; Relations avec les médias, Lisa Schmidt, (587) 476-7010
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