Luc Ferrandez rejette catégoriquement les accusations faites par ses opposants politiques
MONTRÉAL, le 4 oct. 2013 /CNW Telbec/ - Luc Ferrandez, maire de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, rejette les accusations formulées dans une plainte soumise à l'EPIM concernant l'utilisation de fonds publiques à des fins partisanes.
Dans sa mission d'animer l'espace public, le maire Ferrandez a mis sur pied trois marchés publics pour que les résidents du Plateau puissent bénéficier d'une offre alimentaire variée, à prix abordable, dans des déserts alimentaires. Le marché, animé par Plateau Milieu de Vie et chapeauté par l'organisme Marché solidaire Frontenac, a reçu une subvention de 31 792 $ pour construire un chapiteau pour la vente de fruits et légumes. Notons que cette installation demeure la propriété de la Ville de Montréal et que l'aide de l'arrondissement a été bonifiée par des contributions de Communauto et de Desjardins. L'organisme a aussi reçu une subvention de 4 800 $, le 8 avril 2013, pour l'aider essentiellement dans l'achat de fruits et légumes. L'arrondissement accompagne aussi financièrement les deux autres marchés publics sur le territoire du Plateau, en conformité avec les règles en vigueur.
« Je suis sidéré que nos opposants s'attaquent à des bénévoles qui donnent généreusement de leur temps les dimanches d'été pour offrir des fruits et légumes à prix abordables aux résidents du secteur. Permettez-moi d'être clair : les 20 citoyens qui animent le marché le font gratuitement et ne retirent aucun bénéfice de l'exploitation de celui-ci », a affirmé Luc Ferrandez.
Quant à l'affirmation selon laquelle Michel Camus siège au conseil d'administration de Plateau Milieu de Vie, elle est fausse. Michel Camus est devenu président de Projet Montréal en août 2011 et, à ce moment, il avait cessé toute implication au sein de Plateau Milieu de Vie. Ces informations sont facilement vérifiables auprès du Registraire des entreprises du Québec.
Projet Montréal est irréprochable. Projet Montréal dérange dans cette campagne électorale par ses idées et son dynamisme. Ses opposants essaieront malheureusement par tous les moyens de compromettre son excellente réputation d'intégrité et de transparence d'ici la fin de la campagne. Leur objectif est simple : convaincre la population que tous les politiciens sont croches et qu'il n'y a pas d'espoir. « Ça existe encore des gens intègres, et ils sont à Projet Montréal », a conclu Richard Bergeron.
En terminant, Projet Montréal demande au journal La Presse et à sa journaliste Kathleen Lévesque de rectifier rapidement les informations erronées de son article publiée le 4 octobre 2013, à 14 h 10, sans quoi le parti entend déposer une plainte au Conseil de presse du Québec.
SOURCE : Projet Montréal
Marie-Eve Gagnon
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