Madame la première ministre : qu'en est-il de la réunion prévue pour discuter du financement de l'enseignement public? English
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Association des commissions scolaires anglophones du Québec11 sept, 2013, 13:20 ET
MONTRÉAL, le 11 sept. 2013 /CNW Telbec/ - Le président de l'Association des commissions scolaires anglophones du Québec (ACSAQ), David C. D'Aoust, a relancé son appel urgent à la première ministre, Pauline Marois, pour une réunion afin de clarifier ses commentaires controversés à l'égard du rôle et rendement des commissions scolaires en ce qui a trait aux services d'enseignement public dispensés. « Nos commissions scolaires continuent de maximiser chaque dollar de plus en plus réduit que le gouvernement alloue aux services éducatifs offerts à nos enfants. Nous devons savoir que Madame Marois agit à titre de partenaire et non pas de critique », a affirmé Monsieur D'Aoust. « La semaine dernière, Madame Marois s'est dite très insatisfaite de notre rendement et a indiqué qu'une réunion serait convoquée à cet égard. Nous n'avons pas encore eu de nouvelles. »
Monsieur D'Aoust a indiqué que l'ACSAQ et les neuf commissions scolaires membres aimeraient avoir l'occasion de faire une mise au point concernant le financement des commissions scolaires. « Nous commençons une nouvelle année scolaire et nous voulons maintenir nos efforts visant à appuyer notre personnel enseignant en ce qui a trait aux activités en classe et après l'école. Pour ce faire, il est essentiel de préciser le plus rapidement possible nos relations avec le gouvernement. »
L'ACSAQ a rendu publique la semaine dernière la lettre envoyée à la première ministre déplorant ses commentaires laissant entendre que les commissions scolaires ont fait face aux défis financiers en enseignement public « … sur le dos des citoyens du Québec ».
« En tant qu'association, nous devons nous préoccuper de l'avenir de nos élèves face à l'attitude de la première ministre qui suggère qu'elle a perdu le contact avec les réalités de l'enseignement primaire et secondaire ainsi que de l'éducation des adultes », a conclu Monsieur D'Aoust.
SOURCE : Association des commissions scolaires anglophones du Québec
Kim Hamilton
Directrice des communications et des projets spéciaux
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