Mine Éléonore : une mine d'envergure mondiale qui démontre le potentiel du Nord québécois
MONTRÉAL, le 31 juill. 2015 /CNW Telbec/ - La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) salue l'inauguration officielle de la mine Éléonore de la société Goldcorp. Située sur le territoire de la Baie-James, la mine aurifère prévoit être en activité pour une durée minimale de
quinze ans.
« Avec la mine Éléonore, Goldcorp démontre tout le potentiel minier qu'est en mesure d'offrir le Québec », déclare Stéphane Forget, vice-président, Stratégie et affaires économiques à la FCCQ. « La FCCQ félicite la société Goldcorp d'avoir choisi d'investir au Québec dans ce projet minier d'envergure. »
La mine Éléonore est située dans la partie nord-est du réservoir Opinaca, à 320 kilomètres au nord de la municipalité de Matagami. Depuis sa découverte en 2004, le site a fait l'objet d'un programme d'exploration intensif qui a mené, en octobre 2014, au coulage d'un premier lingot d'or. Depuis le 1er avril 2015, la mine est passée en phase d'exploitation commerciale avec 300 000 onces par année. En 2018, la production escomptée est de 500 000 à 600 000 onces par année.
« Ce projet est un bel exemple où toutes les parties impliquées ont mis l'épaule à la roue afin d'en faire un réel projet de développement durable qui tient compte à la fois du développement économique, de l'environnement et des communautés », ajoute Stéphane Forget.
Dans sa phase d'exploration et de construction, de 2011 à 2014, la mine a généré plus de 950 emplois. En phase d'exploitation, on estime que le projet générera plus de 4500 emplois directs, indirects et induits. Après son lancement, on estime la contribution d'Éléonore à près d'un milliard de dollars au PIB, incluant des revenus annuels de 230 millions de dollars pour les gouvernements.
« Tous les Québécois bénéficient des retombées économiques liées à l'industrie minière. C'est manifeste dans le cas du projet Éléonore pour les régions de l'Abitibi-Témiscamingue, du Nord-du-Québec, de la Capitale-Nationale et de Montréal, où des retombées concrètes sont mesurées », conclut Stéphane Forget.
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SOURCE Fédération des chambres de commerce du Québec
Marilyne Marcoux, Conseillère, communications, Fédération des chambres de commerce du Québec, Tél. : 514 844-9571, poste 3227, Cell. : 514 647-4745, [email protected]
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