TORONTO, le 2 févr. 2017 /CNW/ - À Toronto aujourd'hui, la Banque Scotia fait le point sur sa transformation numérique et explique comment les services bancaires numériques l'aideront à offrir une expérience client de qualité supérieure et à tirer profit d'un gain en efficacité.
Au deuxième trimestre de 2016, la Banque Scotia a annoncé que son programme visant les coûts structurels - lequel est hautement interconnecté avec la transformation numérique de la Banque - engendrerait une amélioration de son ratio de productivité de l'ordre de 200 à 250 points de base d'ici 2019. Il est prévu que les efforts visant à accroître la transformation numérique de la Banque se traduiront par une augmentation additionnelle de 100 points de base après 2019, de telle sorte que le ratio de productivité globale de la Banque Scotia devrait atteindre environ 50 pour cent en 2021.
À l'heure actuelle, la direction prévoit que la majorité des gains en efficacité additionnels, dont il est question aujourd'hui, touche la réduction des frais d'exploitation et le fait de faciliter l'expérience client dans les canaux de distribution. Les progrès réalisés à l'égard de la transformation numérique ont également eu pour effet de raffermir la confiance de la direction en la capacité de la Banque à atteindre les objectifs financiers à moyen terme qu'elle s'était fixés. Ces gains en productivité devraient également contribuer à une meilleure rentabilité à moyen terme.
« Nos clients souhaitent davantage utiliser les canaux numériques pour effectuer leurs opérations, » explique Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia. De plus, nous voulons les amener à faire davantage affaire avec notre Banque. Notre parti pris favorable pour le numérique doit envoyer un message clair à nos clients, employés et actionnaires : la Banque Scotia se positionne en tant que leader en matière de services bancaires numériques. Nous avons la ferme intention de devenir le leader des services bancaires numériques au sein de l'industrie, non seulement au Canada, mais aussi dans nos marchés clés de l'Alliance du Pacifique, soit le Mexique, le Pérou, la Colombie et le Chili. »
Nacho Deschamps, chef, Opérations internationales et transformation numérique, qui dirige les efforts de la Banque Scotia à cet égard ajoute: « Cette transformation numérique représente un effort important à l'échelle de la Banque - des ventes au marketing, en passant par la gestion du risque et la technologie. L'importance que nos leaders accordent à cette transformation, jumelée à la passion de nos équipes partout dans le monde, nous permet de créer une solide synergie entre toutes les régions où la Banque est présente et de réaliser des économies d'échelle. »
Pour mettre du vent dans les voiles de la transformation numérique, la Banque a mis en place une entité de services bancaires numériques distincte. En outre, cette entité a le mandat d'instaurer une mentalité agile, d'attirer des personnes talentueuses du secteur numérique et d'encourager l'innovation et la collaboration.
« Les services bancaires jouent un rôle clé dans la vie des gens, » souligne Shawn Rose, vice-président à la direction, Services bancaires numériques. Nous avons rapidement mis sur pied une équipe de leaders, qui sont ici pour une seule raison : leur passion pour la résolution de vrais problèmes pour les clients. C'est une occasion fantastique d'ajouter de la valeur concrète dans le quotidien de nos clients. C'est incroyablement enrichissant et motivant. »
Les présentations de la mise à jour sont disponibles sur http://www.banquescotia.com
Énoncés prospectifs
Les communications publiques de la Banque comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à d'autres communications. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol-perspectives », à la rubrique « Perspectives » se rapportant à la performance financière du groupe et à la rubrique « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation, ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États-Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « estimer », « projeter », « pourrait augmenter » et « pourrait fluctuer » et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait ». De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté et dont l'incidence peut être difficile à prévoir. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des cours du change; la liquidité et le financement; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; les changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales et aux lignes directrices relatives au capital au titre des risques, aux directives de présentation de l'information et aux directives réglementaires en matière de liquidité, ou les interprétations qui en sont faites; les changements aux notations de crédit attribuées à la Banque; le risque d'exploitation (y compris les technologies) et le risque lié aux infrastructures; et le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des conventions et des méthodes comptables utilisées par la Banque, comme il est indiqué dans les états financiers annuels de la Banque (se reporter à la rubrique « Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptables » figurant dans le rapport annuel 2016 de la Banque), compte tenu des ajouts figurant dans le présent document; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; le recours aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude ou d'autres comportements criminels perpétrés en interne ou par des tiers, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le risque accru de cybercriminalité, qui peut comprendre le vol d'actifs, l'accès non autorisé à de l'information confidentielle ou des perturbations des activités; la lutte contre le blanchiment d'argent; les regroupements au sein du secteur des services financiers au Canada et à l'échelle mondiale; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis, y compris dans le secteur des services bancaires par Internet et appareils mobiles; les procédures judiciaires et réglementaires; les catastrophes naturelles, y compris, sans toutefois s'y limiter, les tremblements de terre et les ouragans ainsi que les perturbations des infrastructures publiques, notamment les réseaux de transports, de communications, d'électricité et d'eau; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les activités terroristes et les guerres; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationales; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur sa liquidité. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion du risque » du rapport annuel 2016 de la Banque. Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol-perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans le présent document, ainsi qu'aux rubriques « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation. Ces rubriques « Perspectives » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. La liste des facteurs énoncés ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risques et autres facteurs potentiels pouvant avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom. Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.
À propos de la Banque Scotia
La Banque Scotia est la banque internationale du Canada et un leader parmi les fournisseurs de services financiers en Amérique du Nord, en Amérique latine, dans les Antilles, en Amérique centrale et en Asie-Pacifique. Elle s'est donné pour mission d'aider ses 23 millions de clients à améliorer leur situation au moyen de conseils et d'une vaste gamme de produits et de services, dont des services bancaires aux particuliers, aux entreprises et aux sociétés, des services bancaires privés, d'investissement et de gestion de patrimoine ainsi que des services liés aux marchés des capitaux. Au 31 octobre 2016, l'effectif de la Banque Scotia s'élevait à plus de 88 000 employés et son actif à 896 milliards de dollars. Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (TSX : BNS) et à New York (NYSE : BNS). Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.banquescotia.com et suivre le fil @ScotiabankViews sur Twitter.
SOURCE Scotiabank
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Relations avec les investisseurs seulement: Jake Lawrence, Premier vice-président, Relations avec les investisseurs, Banque Scotia, (416) 866-5712, [email protected]; Relations avec les médias seulement: Diane Flanagan, Relations publiques, Affaires de la société et Affaires gouvernementales, Banque Scotia, (416) 933-2176, [email protected]
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