Mise au point d'Arrimage Québec
« Comment peut-on nous accuser de manquer de transparence à l'égard d'un comité pour lequel on ne nous a jamais rien demandé ? Quelles sont les questions précises qui ont été posées à Arrimage par le Comité et auxquelles la ministre fait référence pour affirmer que nous n'avons pas répondu et manqué de transparence? » - Jean-François Dupuis, vice-président d'Arrimage Québec
QUÉBEC, le 25 févr. 2014 /CNW Telbec/ - C'est en ces termes que la direction d'Arrimage Québec a réagi aux propos inexacts véhiculés hier lors d'un point de presse tenu par la ministre responsable de la région de Québec, madame Agnès Maltais. Elle avait convoqué les journalistes pour faire le point sur la première année d'existence du Comité de surveillance du Port de Québec. Arrimage Québec ayant été visée directement par certains propos erronés, l'entreprise a décidé de faire la mise au point suivante.
L'entreprise déplore elle aussi que l'arbre cache la forêt et que le dossier de la poussière rouge serve à masquer la véritable problématique de la qualité de l'air dans Limoilou. Bien qu'Arrimage Québec ne fasse pas partie du Comité de surveillance du Port, l'entreprise siège sur le comité de la qualité de l'air dans Limoilou, mis sur pied par la direction de la Santé publique, et contribue activement à ses travaux. Arrimage participe également aux réflexions du comité de relations avec les citoyens du Port de Québec et répond positivement à chaque fois qu'une demande d'information lui est faite, que ce soit par ce comité, la Santé publique, la Ville de Québec ou même le MDDEFP.
La direction d'Arrimage du St-Laurent est consciente que ses activités industrielles doivent cohabiter avec la population avoisinante. Arrimage n'a jamais hésité à agir en citoyen responsable et dès l'incident des poussières rouges d'octobre 2012, l'entreprise a agi de façon ouverte et proactive, en informant et en rassurant nos voisins sur la nature de l'incident survenu, tout en les invitant à lui adresser leurs réclamations, le cas échéant.
Ajoutons que depuis cette date, l'entreprise a investi près de 15 millions de dollars pour mieux contrôler ses opérations portuaires et limiter les poussières provenant de ses installations. Arrimage du St-Laurent travaille constamment à améliorer le système déployé.
Tout en notant le moment de la déclaration de la ministre, à quelques jours seulement du déclenchement de la prochaine campagne électorale, Arrimage a tenu à préciser, en dernier lieu, qu'il est faux de prétendre, comme l'a fait la ministre Maltais, que l'entreprise poursuit le ministère de l'Environnement du Québec. La multiplication des avis d'infraction depuis un an, un phénomène très récent pour l'entreprise qui existe depuis 1978, ne pourra jamais pallier à l'absence de juridiction du MDDEFP, de l'avis de l'entreprise. C'est d'ailleurs pourquoi Arrimage a demandé au tribunal de clarifier toute la question de la juridiction et espère être fixée rapidement sur cette question.
SOURCE : Arrimage du St-Laurent
Source : Arrimage Québec
Pour information : Richard Thibault
(418) 840-4040 ou (418) 570-4964
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