Permettre aux membres de la Gendarmerie royale du Canada de négocier
collectivement, constitue une étape positive
OTTAWA, le 17 juin /CNW Telbec/ - Le projet de Loi sur la modernisation de la Gendarmerie royale du Canada, déposé à la Chambre des communes aujourd'hui, constitue une étape importante, visant à permettre aux membres de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de négocier collectivement avec leur employeur, un droit présentement conféré à tous les autres policiers du Canada, affirme le président de l'Association canadienne des policiers (ACP), Charles Momy.
"d'étudier ce projet de loi mais de prime abord, le droit à la négociation collective se fait attendre depuis trop longtemps", ajoute M. Momy. "Nous applaudissons certainement le gouvernement pour être intervenu dans ce dossier."
L'ACP préconise depuis des années un système plus démocratique de représentation des membres de la GRC, soit un système qui accroîtrait sensiblement l'efficacité, l'imputabilité et la transparence du service policier national du Canada, tout en réduisant le fardeau fiscal des contribuables canadiens.
"Nous espérons que ce projet de loi sera l'un des premiers dossiers sur lesquels se penchera le Parlement lors de la rentrée après les vacances d'été. Les membres de la GRC ont déjà attendu ces changements pendant 20 années", conclut M. Momy.
L'Association canadienne des policiers (ACP) est le porte-parole national de quelque 43 000 membres du personnel policier à la grandeur du Canada. L'ACP comprend le personnel oeuvrant dans 160 corps policiers à la grandeur du Canada, desservant tant les plus petits villages que les grandes agglomérations urbaines au sein de services policiers municipaux et provinciaux, ainsi que des membres de la GRC, de la Police des chemins de fer et de la Police des Premières Nations.
Renseignements: Michael Gendron, Agent des relations avec le gouvernement et les médias, Bureau - 613-231-4168 - poste 229, Cellulaire - 613-299-6516, [email protected]
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