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WATERLOO, ON, le 22 mai 2013 /CNW/ - Signe que les Canadiens se préoccupent davantage de la réduction de leur dette, un sondage de la Banque Manuvie du Canada révèle que 55 % des propriétaires ont déclaré être moins endettés qu'il y a 12 mois, ce qui représente une légère amélioration par rapport à août 2012, alors qu'ils étaient 50 % à déclarer avoir réduit leur dette comparativement à l'année précédente. Seulement un propriétaire sur cinq (20 %) se dit plus endetté que l'an dernier, alors que 16 % d'entre eux ne rapportent aucun changement à leur niveau d'endettement et 9 % déclarent avoir remboursé leurs dettes au cours des 12 mois précédents.
« Ces résultats sont encourageants, déclare Doug Conick, président et chef de la direction de la Banque Manuvie du Canada. En effet, la gestion efficace des dettes devrait être au cœur de tout plan financier, que l'on entre dans la vie adulte et tente de bien gérer les intérêts que l'on paie, ou encore que l'on approche de la retraite et tente de rembourser toutes ses dettes. »
Les propriétaires de l'Alberta sont ceux qui réussissent le mieux à réduire leurs dettes (six sur dix ou 60 %), tandis qu'un peu moins de la moitié des propriétaires du Québec (49 %) y parviennent.
De nombreux Canadiens doutent de pouvoir rembourser leurs dettes avant la retraite
Même si huit propriétaires canadiens sur dix (80 %) qui ont des dettes estiment qu'il est très important de ne plus avoir de dette à leur départ à la retraite, moins de six propriétaires sur dix (56 %) pensent atteindre cet objectif. Fait intéressant, parmi ceux qui pensent atteindre cet objectif, 66 % obtiennent, auprès d'un conseiller financier, des conseils sur la gestion des dettes.
« Rembourser ses dettes peut sembler, à première vue, plus facile que d'épargner et faire des placements, ajoute M. Conick. Mais si l'on veut vraiment rembourser ses dettes et réduire les intérêts que l'on paie tout en disposant d'une marge de manœuvre financière, il faut avoir un plan. Un conseiller financier peut vous montrer comment le remboursement des dettes s'intègre aux objectifs financiers généraux et élaborer un plan personnalisé qui permet de se libérer de ses dettes plus rapidement. Et surtout, un conseiller peut aider à garder le cap, ce qui peut être un grand avantage. »
Selon l'analyse régionale, les propriétaires de l'Alberta (60 %) et de l'Ontario (58 %) sont les plus susceptibles de croire qu'ils n'auront plus de dettes à la retraite, alors que ceux du Manitoba et de la Saskatchewan (53 %) et des provinces atlantiques (50 %) sont les moins susceptibles d'y croire.
Lorsqu'on leur demande ce qu'ils feront s'ils sont toujours endettés à l'âge prévu du départ à la retraite, les réponses sont partagées. Un peu moins de la moitié des propriétaires (47 %) ont indiqué qu'ils continueraient de travailler jusqu'à ce qu'ils aient remboursé leurs dettes, et un pourcentage semblable (45 %) a indiqué qu'ils prendraient leur retraite même s'ils étaient encore endettés. Selon l'analyse régionale, les propriétaires du Québec (32 %) et des provinces atlantiques (40 %) étaient les moins susceptibles de continuer à travailler, alors que ceux de la Colombie-Britannique (60 %) étaient le plus susceptibles de le faire.
« Quand il est question de planification de la retraite, l'élimination des dettes est tout aussi importante que la création d'une source de revenu, parce qu'il s'agit en fait des deux volets d'une même question, explique M. Conick. Si on est endetté durant la retraite, les sommes utilisées pour rembourser le capital et les intérêts proviendront généralement de la même source que celle qui doit provisionner la retraite. Par conséquent, au moment de planifier sa retraite, il faut penser également à ses dettes et élaborer un plan en fonction de ses objectifs et de sa situation. »
La plupart des propriétaires ne prévoient pas utiliser la valeur nette de leur propriété pour obtenir un revenu à la retraite
Lorsqu'on leur demande où ils vivront durant la retraite, près de la moitié (46 %) des propriétaires indiquent qu'ils resteront dans leur résidence actuelle alors que le tiers (33 %) prévoient aller vivre ailleurs et une personne sur cinq (20 %) n'a pas encore pris de décision à ce sujet. Un peu plus de un propriétaire sur huit (13 %) prévoit utiliser la valeur nette de sa propriété pour compléter son revenu de retraite, alors que 4 % d'entre eux prévoient emprunter en donnant leur propriété en garantie et 9 % envisagent de vendre leur maison et d'en acheter une plus petite, puis d'utiliser l'excédent de la vente comme revenu de retraite.
« Pour la plupart des gens, la résidence représente une partie importante de leur avoir net - et il pourrait être judicieux pour eux de l'inclure dans leur plan de revenu de retraite, précise M. Conick. Toutefois, avant de passer à l'action, il est important de s'assurer que cette stratégie cadre bien avec ses objectifs financiers généraux. Un conseiller financier pourrait donc aider à avoir une vue d'ensemble de la situation et élaborer un plan personnalisé qui répond aux besoins.
À propos du sondage de la Banque Manuvie du Canada sur l'endettement
Le sondage de la Banque Manuvie du Canada a été mené auprès de 2 141 propriétaires canadiens de toutes les provinces, âgés de 30 à 59 ans et dont le ménage a un revenu supérieur à 50 000 $. Ce sondage a été réalisé en ligne par Research House, une société d'Environics, du 4 au 19 mars 2013. Les résultats nationaux ont été pondérés par province et par sexe. Pour consulter l'ensemble des résultats du sondage, y compris les divers tableaux comparant les résultats d'après la région, le sexe et l'âge des répondants, visitez le site banquemanuvie.ca/recherche-endettement.
À propos de la Banque Manuvie
Créée en 1993, la Banque Manuvie a été la première banque de droit fédéral à être fondée par une société d'assurance au Canada. Banque à charte fédérale de l'annexe I et filiale en propriété exclusive de la Financière Manuvie, elle est la première banque au Canada à exercer ses activités par l'entremise de conseillers. Son actif s'élève à plus de 22 milliards de dollars et ses clients sont répartis dans tout le pays.
À propos de la Financière Manuvie
La Financière Manuvie, groupe canadien et chef de file des services financiers, exerce ses activités principalement en Asie, au Canada et aux États-Unis. Les clients se tournent vers les solutions solides, fiables, sûres et avant-gardistes qu'offre la Financière Manuvie pour prendre leurs décisions financières les plus importantes. Son réseau international d'employés, d'agents et de partenaires de distribution offre des produits et services de protection financière et de gestion de patrimoine à des millions de clients. Elle propose aussi des services de gestion d'actifs à des institutions. Au 31 mars 2013, les fonds gérés par la Financière Manuvie et ses filiales se chiffraient à 555 milliards de dollars canadiens (547 milliards de dollars américains). La Société exerce ses activités sous le nom de Financière Manuvie au Canada et en Asie, et principalement sous le nom de John Hancock aux États-Unis.
La Société Financière Manuvie est inscrite aux bourses de Toronto (TSX), de New York (NYSE) et des Philippines (PSE) sous le symbole « MFC », et à la Bourse de Hong Kong (SEHK) sous le symbole « 945 ». La Financière Manuvie est présente sur le Web, à l'adresse manuvie.com.
Bas de vignette : "Un sondage révèle que les Canadiens réduisent leurs dette. (Groupe CNW/Société Financière Manuvie)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20130522_C8929_PHOTO_FR_26971.jpg
SOURCE : Société Financière Manuvie
Communications avec les médias
Jana Miller, directrice principale, Relations avec les médias, Financière Manuvie
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À propos de Manuvie La Société Financière Manuvie, fournisseur mondial et chef de file des services financiers, vise à rendre les décisions des gens plus simples et à les aider à vivre mieux. Son siège social mondial se trouve à Toronto, au Canada. Elle propose des conseils...
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