Pour un règlement qui plafonne le profit de la spéculation immobilière résidentielle
Rassemblement:
Le 25 novembre de midi à 14h
Place Émilie-Gamelin, Montréal
MONTRÉAL, le 25 nov. 2021 /CNW Telbec/ - ATSA, Quand l'Art passe à l'Action invite le grand public à venir manifester et à signer la pétition pour un règlement municipal et provincial qui plafonne les profits de la spéculation immobilière résidentielle. Une distribution de paires de bas chauds aura lieu en l'honneur de feu Pierre Allard (1964-2018), cofondateur de ATSA.
Revendication :
Que la Ville de Montréal adopte un règlement qui plafonne à 15% le profit de tout bien immobilier résidentiel qui n'a pas été habité par le propriétaire ou sa famille et qui est revendu en moins de 5 ans.
Une pétition en ligne sollicite tous les citoyens à appuyer ce combat: https://www.leslignesbougent.org/petitions/pour-un-reglement-municipal-et-provincial-qui-plafonne-les-profits-de-la-speculation-immobiliere-residentielle-4802/
Nous demandons à la mairesse de Montréal, à la Ministre de la Métropole Madame Chantal Rouleau et à toute la classe politique de réagir activement à cette proposition afin que cesse le cirque exponentiel de la hausse immobilière résidentielle.
La construction de logements abordables est primordiale mais évite le cœur du problème qui est l'utilisation du logement comme moyen d'investissement à haut rendement. Nous voulons que Montréal se démarque comme une ville où il fait bon vivre et cela passe par la capacité de se loger, de pouvoir devenir propriétaire, de rêver à son avenir et à celui de sa famille.
Nos jeunes ont le droit d'espérer accéder à la propriété.
En plafonnant à 15% sur 5 ans le profit sur la vente résidentielle spéculative, un bien immobilier de 500 000$ engendrera un profit de 15 000$ par année. Peu d'investissements offrent autant de garanties de rendement. Réagissons aux impacts négatifs sur la société et la planète et accueillons les gains pour l'économie locale : Plus d'argent dans les poches des gens = plus d'argent dans les commerces locaux, plus de temps avec nos jeunes, moins d'étalement urbain à l'heure où les changements climatiques sont sur toutes les lèvres. Les villes doivent trouver d'autres sources de revenus que les impôts fonciers.
Plus d'info sur www.atsa.qc.ca
SOURCE ATSA
Relation de presse, Daniel Meyer attaché de presse, [email protected]; 514 233-3056; Source: Annie Roy, cofondatrice ATSA | [email protected] C. 514-581-5457
Partager cet article