Premier anniversaire de « Ma place au travail » : les parents n'ont pas le goût de fêter
QUÉBEC, le 17 mars 2022 /CNW Telbec/ - À l'occasion du premier anniversaire du mouvement « Ma place au travail », les porte-paroles de l'opposition officielle en matière de famille, Mme Jennifer Maccarone et de la condition féminine, Mme Isabelle Melançon, ont tenu à souligner l'évènement en rappelant l'urgence d'offrir des places en services de garde pour les milliers de parents qui désirent retourner sur le marché du travail.
Mme Maccarone a d'ailleurs déposé une motion aujourd'hui, à l'Assemblée nationale, pour souligner cet anniversaire et aussi rappeler au gouvernement caquiste son mauvais bilan dans la création de nouvelles places en services de garde. Malgré toutes les belles annonces de la CAQ en ce domaine, la liste d'attente atteint maintenant un sommet historique au Québec.
Dans un contexte de pénurie de main-d'œuvre, les deux élues libérales s'expliquent difficilement que François Legault refuse de reconnaître l'urgence d'agir afin de permettre à des milliers de parents de reprendre leurs activités professionnelles. De plus, le manque de places en services de garde plonge ces familles en situation de stress et de précarité financière en pleine période d'inflation.
« Nous devons à la fois saluer la détermination des milliers de parents qui ont embarqué dans ce mouvement sans précédent et aussi, malheureusement, déplorer l'attitude méprisante de la CAQ envers eux depuis maintenant un an. C'est bien beau les grandes annonces mais ce sont des résultats concrets dont ces parents ont besoin pour enfin pouvoir retourner au travail. »
-Jennifer Maccarone, députée de Westmount-St-Louis et porte-parole de l'opposition officielle en matière de famille
« Le piètre bilan de la CAQ en matière de services de garde force des milliers de parents à renoncer à un retour au travail. Malheureusement, ce sont le plus souvent des femmes qui en sont victimes et qui doivent mettre leur carrière sur pause. On n'est plus à l'époque de Duplessis où les femmes étaient forcées de demeurer au foyer pour élever les enfants à temps plein. »
-Isabelle Melançon, députée de Verdun et porte-parole de l'opposition officielle en matière de condition féminine
SOURCE Aile parlementaire du Parti libéral du Québec
Jack Roy, Attaché de presse, Cabinet de la Whip en chef de l'opposition officielle, 418 877-4991, [email protected]
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