Près de 80 % des grands-parents québécois se disent impliqués dans la vie de leurs petits-enfants English
Parmi ceux qui s'impliquent dans leur éducation scolaire, 25 % soutiennent financièrement les études
QUÉBEC, le 20 avril 2015 /CNW Telbec/ - La grande majorité des grands-parents québécois (78 %) ont au moins une chose en commun : ils sont impliqués dans la vie de leurs petits-enfants. Mais pour ceux-ci, cette implication peut se traduire de plusieurs façons. C'est ce que révèle un récent sondage CROP réalisé pour le compte d'Universitas, spécialiste en épargne-études, qui a voulu en savoir davantage sur la question. Disposant souvent de plus de temps libres et de moyens financiers à la retraite, les grands-parents s'investissent davantage dans leur vie familiale. Fait intéressant, parmi ceux qui se disent « beaucoup » impliqués, les grands-mères semblent l'être davantage que les grands-pères (45 % contre 29 %). De manière générale, le gardiennage (76 %), l'accompagnement lors d'activités scolaires (44 %) et lors des vacances annuelles (43 %), sont les formes les plus courantes d'implication dans la vie des petits-enfants.
L'éducation en héritage
L'implication des grands-parents dans l'éducation de leurs petits-enfants se résume surtout à la participation et à l'accompagnement aux diverses activités scolaires (42 %), suivi du soutien financier pour les études (25 %). Parmi ceux qui investissent pour les études, leur contribution moyenne annuelle pour l'ensemble de leurs petits-enfants se situe aux alentours de 2 000 $. Il semble d'ailleurs que plus les grands-parents « gagnent en sagesse », plus leur implication financière est significative. En effet, 8 % des répondants âgés de 55 à 64 ans ont affirmé offrir un soutien financier pour les études, alors que ce pourcentage augmente à 36 % chez les 65 ans et plus.
Les grands-parents qui soutiennent financièrement les études post-secondaires de leurs petits-enfants semblent bien comprendre tous les avantages d'investir dans un régime enregistré d'épargne-études (REEE). En effet, la majorité d'entre eux (79 %) a choisi de le faire via un REEE, suivi par le compte épargne (16 %) et le CELI (12 %). De plus, près des deux tiers des grands-parents québécois (64 %) savent qu'en investissant dans un REEE, les gouvernements du Québec et du Canada offrent des subventions visant à bonifier le montant disponible. « Nous sommes très heureux, voire même un peu surpris, de constater que les grands-parents sont si nombreux à investir dans un REEE plutôt qu'un autre type de placement pour les études de leurs petits-enfants », affirme Tina Fournier Ouellet, porte-parole chez Universitas. « Le REEE est le type de placement le plus avantageux pour planifier les études d'un enfant, principalement en raison des généreuses subventions. Ceci dit, le REEE reste un type de placement méconnu et les Québécois ont tendance à choisir des modes de placement plus traditionnels (selon un sondage que nous avons effectué à l'automne dernier). Constater que le REEE est privilégié par les grands-parents signifie que nos efforts visant à promouvoir les bénéfices du REEE vont bon train. C'est très positif ! »
Le don posthume
Le sondage indique cependant que moins du tiers des répondants savent qu'il est possible de faire ajouter une demande de don posthume dans le REEE d'un enfant sur leur testament. Deux options sont d'ailleurs possibles :
- Pour le donateur : il suffit d'indiquer dans son testament le nom du (ou des) bénéficiaire(s) et le montant du don à titre de legs particulier. Les démarches habituelles pour ouvrir le REEE suivront.
- Pour l'exécuteur testamentaire : si le donateur n'a pas spécifié de cause à soutenir lors du décès, il est possible pour l'exécuteur testamentaire de choisir Universitas comme fondation auprès de laquelle faire un don posthume, au nom d'un ou plusieurs enfants. Universitas ouvrira alors un REEE au nom des légataires ou fera un dépôt forfaitaire dans leur REEE existant, s'il y a lieu.
« Dans ce contexte, comme prévu au testament, le capital reviendra à 100 % aux enfants, en plus des subventions et des intérêts sur le capital et sur les subventions. L'éducation est un héritage qui durera toute une vie, pourquoi donc ne pas léguer l'accès au savoir ? », ajoute Mme Fournier-Ouellet.
Autres données intéressantes tirées du sondage :
- La majorité des grands-parents québécois (80 %) offrent des cadeaux en argent à leurs petits-enfants à Noël.
- Les grands-mères offrent leur soutien davantage en gardiennage (82 % contre 69 % pour les grands-pères), alors que ces derniers semblent plus enclins à s'impliquer dans l'éducation personnelle (discipline, savoir-vivre, comportement, etc.) de leurs petits-enfants (39 % c. 25 %).
- En terme d'implication dans l'éducation, les grands-pères optent davantage pour un soutien financier (35 % c. 16 % chez les grands-mères) alors que celles-ci accompagnement davantage leurs petits-enfants lors d'activités scolaires (53 % contre 30 %);
- Quand vient le temps de faire plaisir à leurs petits-enfants, les grands-parents vont surtout leur acheter des petits cadeaux (70 %), préparer leurs mets préférés (59 %) et participer, avec eux, à une activité qu'ils aiment (57 %).
Les grands-parents Universitas
Universitas offre différents avantages aux grands-parents qui souhaitent ouvrir un REEE pour leurs petits-enfants, dont la possibilité de participer à un concours spécialement conçu pour eux. Cliquez ici pour tous les détails.
À propos d'Universitas
Depuis sa création en 1964, Universitas est un chef de file en matière de régimes enregistrés d'épargne-études servant des clients au Québec et au Nouveau-Brunswick. Il s'agit de la seule fondation de cette spécialité à avoir son siège social au Québec. Ayant pour mission de favoriser l'éducation postsecondaire au moyen de l'épargne et de versements de PAE, Universitas a remis plus de 500 M$ en PAE et en remboursement d'épargne, gère plus d'un (1) milliard $ d'actifs et compte à ce jour plus de 210 000 bénéficiaires. Pour obtenir plus de renseignements, veuillez visiter le site universitas.ca.
Le sondage a été réalisé par CROP en ligne du 11 au 15 mars 2015 auprès de 207 Québécois âgés de 55 ans et plus ayant un ou plusieurs petits-enfants.
SOURCE Les Fonds Universitas
Lydia Juliano | Julie Deschambault, Matom Communication, [email protected] | [email protected], 514 949-1446 | 514 891-8645; Tina Fournier Ouellet, Conseillère principale, communication et relations publiques, Gestion Universitas inc., [email protected], 418 651-8977, poste 2314
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