Projection de presse : 24 jours. La vérité sur l'affaire Halimi
Nouvelles fournies par
Centre consultatif des relations juives et israéliennes28 mai, 2014, 08:54 ET
MONTRÉAL, le 28 mai 2014 L'Alliance israélite universelle-Canada a le grand plaisir de convier les représentants des médias à une projection de presse du long-métrage 24 jours. La vérité sur l'affaire Halimi en présence du directeur Alexandre Arcady le lundi 2 juin 2014 à 10h00, au Cinéma Impérial.
Ce long métrage bouleversant revient sur l'enlèvement d'Ilan Halimi en janvier 2006, à Paris, par le gang des Barbares. Ciblé parce que juif, Ilan Halimi ne survivra pas aux trois semaines de séquestration et de torture. L' « affaire Halimi » a provoqué une puissante onde de choc et mis en lumière la recrudescence troublante de l'antisémitisme en France.
Alexandre Arcady répondra aux questions de la presse après la projection.
SYNOPSIS
Elle est entrée dans une boutique de téléphonie sur le boulevard Voltaire. Elle a fait mine de s'intéresser aux nouveaux portables, a obtenu le numéro du vendeur et s'en est allée. Elle l'a rappelé dès le lendemain, lui a dit qu'elle voulait le revoir. Ilan ne s'est pas méfié. Il avait vingt-trois ans, la vie devant lui…
Comment pouvait-il se douter qu'en rejoignant cette jolie fille dans un café de la porte d'Orléans, il avait rendez-vous avec la mort ?
Le vendredi 20 janvier 2006, Ilan Halimi, choisi par le gang des Barbares parce qu'il était juif, est enlevé et conduit dans un appartement de Bagneux. Il y sera séquestré et torturé pendant trois semaines avant d'être jeté dans un bois par ses bourreaux. Retrouvé gisant nu le long d'une voie de chemin de fer à Sainte-Geneviève-des-Bois, il ne survivra pas à son calvaire.
Dans ce film, Ruth Halimi revient sur ces 24 jours de cauchemar. 24 jours au cours desquels elle aura reçu, elle et son mari, Didier, plus de six cents appels, des demandes de rançon dont le montant ne cessera de changer, des insultes, des menaces, des photos de son fils supplicié… 24 jours d'angoisse de toute une famille, contrainte de garder le silence pour laisser travailler la police criminelle.
Mais le 36 Quai des Orfèvres ne sait pas à quels individus il a affaire. Personne ne mesure la haine antisémite qui habite les ravisseurs, et ne s'imagine qu'Ilan allait perdre la vie…
SOURCE : Centre consultatif des relations juives et israéliennes
RSVP, dossier de presse et demandes d'entrevue avec Alexandre Arcady : David Ouellette, directeur associé, affaires publiques, Le Centre consultatif des relations juives et israéliennes, 514-294-4420, [email protected]
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