Projet de remise en état et de modernisation du réservoir de Little Bow

Attribution d'une aide financière fédérale aux fins de participation à l'évaluation environnementale

OTTAWA, le 25 oct. /CNW/ - L'Agence canadienne d'évaluation environnementale a attribué un montant total de 4 000 $ à la Métis Nation of Alberta Association Region 3 afin d'appuyer leur participation à l'évaluation environnementale fédérale du projet de remise en état et de modernisation du réservoir de Little Bow en Alberta.

L'aide financière est attribuée par l'entremise du Programme d'aide financière aux participants, administré par l'Agence, et est fournie afin d'appuyer la participation du récipiendaire aux prochaines étapes de l'étude approfondie, incluant l'examen public de l'étude d'impact environnemental et du rapport d'étude approfondie.

Un comité d'examen de l'aide financière a étudié la demande d'aide financière. Le rapport du comité ainsi que des renseignements supplémentaires concernant le projet peuvent être consultés dans le Registre canadien d'évaluation environnementale sur le site web de l'Agence au www.acee-ceaa.gc.ca , au numéro de référence 09-03-49421.

Le ministère de l'Infrastructure et des Transports de l'Alberta [Alberta Infrastructure and Transportation] et le ministère de l'Environnement de l'Alberta [Alberta Environment] proposent de rénover et de moderniser le réservoir de Little Bow. Le projet comprend la modernisation du barrage et des canaux connexes du réservoir de Little Bow et le remplacement de l'ouvrage régulateur du canal de communication entre les réservoirs de Travers et de Little Bow. Ces travaux auront pour effet d'accroître la superficie du réservoir Little Bow de 6,16 km carrés à 8,86 km carrés et de permettre l'exploitation simultanée des deux réservoirs selon le niveau commun le plus haut admis pour leur exploitation.

L'Agence canadienne d'évaluation environnementale administre le processus fédéral d'évaluation environnementale, qui permet de déterminer les effets environnementaux des projets à l'étude et de prendre les mesures appropriées pour y remédier tout en favorisant le développement durable.

Renseignements:

Maxine Léger-Haskell
Conseillère en communications
Agence canadienne d'évaluation environnementale
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