TSX/NYSE/PSE : MFC | SEHK : 945 |
WATERLOO, ON, le 24 oct. 2012 /CNW/ - Selon un récent sondage sur l'endettement mené pour le compte de la Banque Manuvie du Canada, un peu plus de la moitié des femmes (54 %) mais seulement 39 % des hommes vivant en couple estiment que la responsabilité de gérer les dettes du ménage est équitablement partagée.
Dans les cas où les répondants estiment que la responsabilité n'est pas équitablement partagée, les hommes comme les femmes sont beaucoup plus susceptibles d'indiquer que la responsabilité leur incombe que de dire qu'elle incombe à leur conjoint. Un peu plus de la moitié des hommes (56 %) et d'un tiers des femmes (36 %) disent assumer la responsabilité de la gestion des dettes de leur ménage la plupart du temps ou exclusivement. À l'inverse, seulement 10 % des femmes et 4 % des hommes affirment que cette responsabilité incombe à leur conjoint la plupart du temps ou exclusivement. Il est intéressant de remarquer que le pourcentage d'hommes ayant indiqué que cette responsabilité incombe exclusivement à leur conjoint est négligeable.
Les perceptions différentes quant au responsable de la gestion des dettes au sein du couple pourraient refléter un manque de communication, qui complique la tâche de se libérer des dettes. « La bonne nouvelle, c'est que la plupart des gens estiment avoir une certaine responsabilité à l'égard de la gestion des dettes du ménage, souligne Doug Conick, président et chef de la direction de la Banque Manuvie du Canada. Cependant, les résultats semblent indiquer que de nombreux couples ne se parlent pas de leurs dettes. Je recommande fortement à tout Canadien n'ayant pas établi un plan de remboursement de ses dettes de communiquer avec un conseiller financier indépendant pour obtenir des conseils personnalisés sur la gestion des dettes. »
L'analyse des réponses au sondage en fonction du groupe d'âge révèle que les répondants dans la cinquantaine sont plus susceptibles d'indiquer que la responsabilité de la gestion des dettes est partagée (52 %) que ceux dans la trentaine (43 %). Selon l'analyse régionale, les propriétaires québécois (53 %) et albertains (52 %) sont les plus susceptibles de dire que la responsabilité de gérer les dettes du ménage est partagée; les propriétaires ontariens, quant à eux, sont les moins susceptibles (42 %) de trouver cette responsabilité partagée.
Les femmes se soucient plus des dettes et sont moins optimistes que les hommes
En général, les femmes semblent se soucier plus des dettes que les hommes, mais elles sont aussi moins sûres qu'eux d'être en mesure de les réduire ou de les éliminer. Un peu plus de femmes (81 %) que d'hommes (75 %) indiquent que l'une de leurs priorités financières est de n'avoir aucune dette ou de se libérer de leurs dettes.
Les hommes et les femmes accordent à peu près la même importance à l'absence de dettes à la retraite : environ huit personnes interrogées sur dix indiquent que se libérer de leurs dettes avant la retraite est une priorité majeure. Cependant, les hommes (55 %) sont plus sûrs que les femmes (49 %) d'être en mesure d'atteindre cet objectif. Cette différence de perception peut s'expliquer par l'expérience récente, puisqu'un plus faible pourcentage de femmes (47 %) que d'hommes (54 %) dit avoir réduit leurs dettes au cours des 12 derniers mois.
De plus, les femmes semblent moins disposées que les hommes à avoir encore des dettes à rembourser à la retraite : 60 % des répondantes contre à peine 42 % des répondants indiquent que cette situation serait très stressante. « Les attitudes, les perceptions et les attentes par rapport aux dettes diffèrent au sein de nombreux couples, sans doute parce que chacun gère ses propres dettes séparément ou parce que les conjoints ne se parlent simplement pas assez des finances », ajoute M. Conick.
Selon le sondage, tous les Canadiens ont à peu près le même désir de ne plus avoir de dettes à leur départ à la retraite. Cependant, les répondants britanno-colombiens et québécois (57 % dans chaque province) sont les plus sûrs d'être en mesure d'atteindre cet objectif; ceux des provinces atlantiques (44 %) sont les moins sûrs de le réaliser.
La réduction des dettes demeure une priorité et la plupart sont prêts à réduire leurs dépenses… autres que technologiques
Plus de trois quarts des propriétaires canadiens interrogés (77 %) jugent très important de réduire leurs dettes au cours des 12 prochains mois, mais seulement 56 % se croient en mesure de réaliser cet objectif. Ce manque relatif de confiance pourrait refléter leur expérience au cours de la dernière année. Près d'un quart des répondants (24 %) signalent en effet une augmentation de leurs dettes au cours des 12 derniers mois, et 15 % indiquent que leurs dettes n'ont pas changé sur cette période. Selon l'analyse régionale, les propriétaires de la Colombie-Britannique (56 %) et des provinces atlantiques (54 %) sont les plus susceptibles de signaler une réduction de leurs dettes au cours des 12 derniers mois. Les propriétaires du Manitoba et de la Saskatchewan (30 %) sont les plus susceptibles de faire état d'une augmentation de leurs dettes au cours de la dernière année.
À la question de savoir dans quelles dépenses discrétionnaires ils seraient prêts à couper si cela devait les aider à rembourser leurs dettes plus rapidement, seulement 12 % des propriétaires interrogés se disent prêts à réduire le téléphone, Internet ou les services de câblodiffusion, ce qui reflète la nature de plus en plus « branchée » de notre société. À l'autre extrême, les catégories de dépenses discrétionnaires que les répondants sont le plus enclins à réduire sont l'ameublement/les électroménagers (42 %) et les sorties au restaurant (41 %).
« Trouver les dépenses non essentielles et les réduire est une bonne première mesure à prendre pour réduire ses dettes, soutient M. Conick. Une autre mesure efficace est de faire fructifier davantage ses avoirs par une meilleure organisation de ses finances. » Le sondage révèle que pour près d'un tiers des propriétaires (31 %), le taux d'intérêt sur leurs dettes est un facteur qui rend le remboursement des dettes difficile. « Étant donné la faiblesse actuelle des taux d'intérêt, le regroupement des dettes à un taux plus favorable serait un bon moyen pour de nombreux propriétaires de réduire leurs frais d'intérêt », affirme M. Conick
La réticence à réduire le téléphone, Internet ou les services de câblodiffusion est générale au Canada, mais il y a des différences quant aux dépenses discrétionnaires que les répondants sont le plus disposés à réduire. Ainsi, les habitants des provinces atlantiques (50 %) et les Ontariens (44 %) sont le plus disposés à couper dans les sorties au restaurant. En Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba, par contre, 48 % des répondants indiquent qu'ils seraient prêts à couper dans l'ameublement et les électroménagers.
Les réponses des femmes diffèrent aussi de celles des hommes à cet égard : les femmes sont plus enclines à réduire les dépenses en ameublement (45 %), en sorties au restaurant (44 %) et en divertissement (39 %) que les hommes (respectivement 40 %, 37 % et 32 %).
« Dans l'ensemble, ce sondage nous apprend que les propriétaires canadiens veulent se libérer de leurs dettes, mais que les conjoints ne se parlent pas pour savoir comment y arriver, observe M. Conick. Pour éviter d'arriver à la préretraite et à la retraite sans avoir remboursé ses dettes, il est important d'établir un plan de gestion des dettes. »
À propos du sondage de la Banque Manuvie du Canada sur l'endettement et la retraite
Le sondage de la Banque Manuvie du Canada a été mené auprès de 2 127 propriétaires canadiens de toutes les provinces, âgés de 30 à 59 ans et dont le ménage a un revenu supérieur à 50 000 $. Ce sondage a été réalisé en ligne par la société Research House, Environics du 13 au 23 août 2012. Pour consulter l'ensemble des résultats du sondage, y compris les divers tableaux comparant les résultats d'après la région, le sexe et l'âge des répondants, visitez le site banquemanuvie.ca/recherche-endettement.
Les graphiques ci-joints sont également accessibles sur le site public d'inforep (repsourcepublic.manulife.com)
À propos de la Banque Manuvie
Créée en 1993, la Banque Manuvie a été la première banque de droit fédéral à être fondée par une société d'assurance au Canada. Banque à charte fédérale de l'annexe I et filiale en propriété exclusive de la Financière Manuvie, elle est la première banque au Canada à exercer ses activités par l'entremise de conseillers. Son actif s'élève à plus de 21 milliards de dollars et ses clients sont répartis dans tout le pays. La Banque Manuvie estime qu'une gestion efficace des dettes est un élément essentiel de la santé financière et qu'en ayant recours aux services d'un conseiller en services financiers pour établir un plan financier personnalisé prenant en compte la gestion des dettes et des liquidités, bon nombre de Canadiens pourraient économiser, se libérer de leurs dettes plus rapidement et atteindre un plus grand nombre de leurs objectifs financiers. C'est pour cette raison que la Banque Manuvie offre des produits de dépôt et de prêt novateurs par l'intermédiaire d'un réseau de conseillers indépendants en services financiers en vue d'aider les clients à tirer le maximum de leur plan financier. La Banque Manuvie a mis en place une équipe de spécialistes répartis dans tout le pays qui aident les propriétaires et les conseillers en services financiers à élaborer des stratégies de gestion des liquidités plus efficaces et plus souples. Pour en savoir davantage sur les produits de la Banque Manuvie, veuillez communiquer avec votre conseiller en services financiers ou visiter le site banquemanuvie.ca. Pour en savoir davantage sur le produit Manuvie Un ou Sélect Banque Manuvie pour trouver un spécialiste de la Banque Manuvie dans votre région, demandez à votre conseiller de vous recommander auprès d'un conseiller en services bancaires ou visitez le site manuvieun.ca.
À propos de la Financière Manuvie
La Financière Manuvie, groupe canadien et chef de file des services financiers, exerce ses activités principalement en Asie, au Canada et aux États-Unis. Elle célèbre en 2012 son 125e anniversaire et continue d'offrir des solutions solides, fiables, sûres et avant-gardistes pour appuyer ses clients dans leurs décisions financières les plus importantes. Son réseau international d'employés, d'agents et de partenaires de distribution offre des produits et services de protection financière et de gestion de patrimoine à des millions de clients. Elle propose aussi des services de gestion d'actifs à des institutions. Au 30 juin 2012, les fonds gérés par la Financière Manuvie et ses filiales se chiffraient à 514 milliards de dollars canadiens (504 milliards de dollars américains). La Société exerce ses activités sous le nom de Financière Manuvie au Canada et en Asie, et principalement sous le nom de John Hancock aux États-Unis.
La Société Financière Manuvie est inscrite aux bourses de Toronto (TSX), de New York (NYSE) et des Philippines (PSE) sous le symbole « MFC », et à la Bourse de Hong Kong (SEHK) sous le symbole « 945 ». La Financière Manuvie est présente sur le Web, à l'adresse manuvie.com.
Bas de vignette : "L'endettement : une question de genre? Bien que les femmes et les hommes s'entendent pour classer le remboursement des dettes au premier rang de leurs prioritiés, leurs avis divergent légèrement à certains egards. (Groupe CNW/Société Financière Manuvie)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20121024_C9638_PHOTO_FR_19673.jpg
SOURCE : Société Financière Manuvie
Communications avec les médias
Tracy Van Kalsbeek
Consultante, Relations publiques
Division canadienne, Financière Manuvie
519 594-4697
[email protected]
À propos de Manuvie La Société Financière Manuvie, fournisseur mondial et chef de file des services financiers, vise à rendre les décisions des gens plus simples et à les aider à vivre mieux. Son siège social mondial se trouve à Toronto, au Canada. Elle propose des conseils...
Autres communiqués de la compagnie
Partager cet article