/R E P R I S E -- La Légion rappelle le 99e anniversaire de la bataille de Vimy - Les filiales de la Légion de partout au pays procéderont à des cérémonies marquant l'anniversaire/

OTTAWA, le 7 avril 2016 /CNW/ - Pendant la journée du 9 avril 2016, du lever du soleil jusqu'à son coucher, toutes les filiales de la Légion mettront en berne leur drapeau canadien pour commémorer la bataille de Vimy; plusieurs de ces filiales en feront aussi mémoire par la tenue de cérémonies dans leur communauté respective.

« Le souvenir de cette bataille est particulièrement important pour la Légion et ses quelque 300 000 membres », de dire M. Tom Eagles, président de La Légion royale canadienne. « En effet, les Canadiens ce jour-là ont accompli ce qu'aucune autre force alliée n'avait réussi à faire durant la Première Guerre mondiale, soit de capturer la crête de Vimy », de rajouter M. Eagles.

« Les préparatifs vont déjà bon train pour marquer le 100^e anniversaire de l'an prochain, et qui coïncidera alors avec le 150^e anniversaire du Canada - coïncidence plutôt heureuse, car nombreux ceux qui sont d'avis à dire que c'est suite à la bataille de Vimy que le Canada s'est vraiment révélé comme une nation », de rappeler M. Eagles.

Historique

La capture de la crête de Vimy par les quatre divisions du Corps canadien, lesquelles, pour la toute première fois, se battaient alors ensemble, aura joué un rôle important pour le Canada en lui donnant le droit de participer, en 1919, comme signataire au traité de Versailles.

En 2003, le gouvernement fédéral décrétait par une loi du Parlement que le 9 avril serait dorénavant le Jour de la bataille de Vimy. En ce jour, le drapeau canadien de la Tour de la Paix sera aussi en berne, et ce, du lever du soleil jusqu'à son coucher, afin d'honorer tous ceux et celles qui, lors de cette mémorable bataille, ont fait l'ultime sacrifice. Il est à noter que c'est la seule bataille à avoir été reconnue de la sorte.

SOURCE Légion royale canadienne

M. Bruce Poulin, de la Direction nationale, au [phone] (p. 241) ou au [phone], ou encore par courriel à [email protected]